ONI?
Modérateur : Marc
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Re: ONI?
Pour breton de Guyane .le bureau de l oni se situe à Paris et n est pas gratuit. L ordre à une dette abyssale à combler.tu peux travailler gratuitement si ça te chanter mais obliger les infirmiers à payer pour avoir le droit de bosser je trouve ça délirant.jamais je ne paierai pour des guignols qui s en mettent pleins les fouilles alors que nous avons un manque cruel de soignants.je mettrais bien le personnel de l ordre dans les blocs ça serait plus utile
- breton de guyane
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Re: ONI?
tiboy 76 ,si tu lis attentivement le document en date du 27 novembre 2016 ,tu remarqueras rapidement que ce n' est pas l' oni qui publie dans le journal officiel !
- breton de guyane
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Re: ONI?
dg 64 : ne pas s 'informer avant de s exprimer , c 'est cela qui est délirant !
- breton de guyane
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Re: ONI?
pour ceux qui auraient encore un doute sur l' intérêt de la profession à s 'être doté d' un ordre je propose cette lecture :
http://www.ordre.pharmacien.fr/content/ ... dinale.pdf
http://www.ordre.pharmacien.fr/content/ ... dinale.pdf
- breton de guyane
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Re: ONI?
http://www.ordre.pharmacien.fr/content/ ... dinale.pdf
voici le lien qui fonctionne pour ceux qui souhaite s' informer
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- breton de guyane
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Re: ONI?
voici un extrait :
Rendre facultative l’inscription à une institution ordinale ?
Les cotisations que versent les professionnels, légalement obligatoires, financent
partiellement ou totalement l’activité des instances ordinales. Ce sont des res-
sources qui permettent à l’institution de remplir ses missions de service public et de
réaliser des actions initiées au service de la profession, dans son ensemble.
En cas d’inscription facultative, une institution ordinale s’apparenterait à un syndi-
cat professionnel : elle ne s’adresserait qu’à ses membres volontairement inscrits. À
la recherche d’« adhérents », elle développerait des services destinés à attirer des
membres, devenant ainsi « corporatiste ».
Pire, elle n’aurait plus de légitimité pour faire respecter les règles déontologiques
puisque certains professionnels du secteur s’en libèreraient. Qui adhèrerait à un
Ordre pour respecter des devoirs et risquer une sanction ?
Rendre facultative l’inscription à une institution ordinale, c’est :
• nier la mission de service public des institutions ordinales : qui dit facultatif,
dit faire passer les intérêts du professionnel devant ceux de l’usager. Cette
inversion de primauté est la négation du rôle des institutions ordinales ;
• favoriser ceux qui veulent échapper aux règles déontologiques. Le public ne
comprendrait pas que le respect des règles professionnelles soit optionnel ;
• fragiliser l’équilibre financier de l’institution ordinale concernée et précipiter
ainsi sa disparition et avec elle, le rôle social qu’elle remplit ;
• soustraire l’institution ordinale concernée au contrôle de la Cour des comptes.
Rendre facultative l’inscription à une institution ordinale ?
Les cotisations que versent les professionnels, légalement obligatoires, financent
partiellement ou totalement l’activité des instances ordinales. Ce sont des res-
sources qui permettent à l’institution de remplir ses missions de service public et de
réaliser des actions initiées au service de la profession, dans son ensemble.
En cas d’inscription facultative, une institution ordinale s’apparenterait à un syndi-
cat professionnel : elle ne s’adresserait qu’à ses membres volontairement inscrits. À
la recherche d’« adhérents », elle développerait des services destinés à attirer des
membres, devenant ainsi « corporatiste ».
Pire, elle n’aurait plus de légitimité pour faire respecter les règles déontologiques
puisque certains professionnels du secteur s’en libèreraient. Qui adhèrerait à un
Ordre pour respecter des devoirs et risquer une sanction ?
Rendre facultative l’inscription à une institution ordinale, c’est :
• nier la mission de service public des institutions ordinales : qui dit facultatif,
dit faire passer les intérêts du professionnel devant ceux de l’usager. Cette
inversion de primauté est la négation du rôle des institutions ordinales ;
• favoriser ceux qui veulent échapper aux règles déontologiques. Le public ne
comprendrait pas que le respect des règles professionnelles soit optionnel ;
• fragiliser l’équilibre financier de l’institution ordinale concernée et précipiter
ainsi sa disparition et avec elle, le rôle social qu’elle remplit ;
• soustraire l’institution ordinale concernée au contrôle de la Cour des comptes.
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Re: ONI?
quelle blague !! Qui a poussé à la roue pour sortir cette merde ? L'ONI !breton de guyane a écrit :tiboy 76 ,si tu lis attentivement le document en date du 27 novembre 2016 ,tu remarqueras rapidement que ce n' est pas l' oni qui publie dans le journal officiel !
Mais je remarque que tu n'es toujours pas disposé à te conformer à ce code de déontologie...
- breton de guyane
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Re: ONI?
tiboy 76, relis attentivement l' article en question ( l' ensemble des mots )...
et ensuite explique moi en quoi j' y dérogerai ?
et ensuite explique moi en quoi j' y dérogerai ?
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Re: ONI?
Art. R. 4312-50. – Il est interdit d’exercer la profession d’infirmier sous un pseudonyme.
« Un infirmier qui se sert d’un pseudonyme pour des activités se rattachant à sa profession est tenu d’en faire la
déclaration au conseil départemental de l’ordre.
« Il est interdit, pour un professionnel agissant à titre privé sous couvert d’un pseudonyme, et quel que soit le
moyen de communication utilisé, d’arguer de sa qualité de professionnel sans dévoiler son identité.
J'ai peut-être mal compris (tout comme certains avocats qui ont commencé à s'emparer de la chose...) et pourtant j'ai bien lu tous les mots (au passage, merci de me prendre pour un débile...), et dans ce cas tu pourras nous faire bénéficier de ton éclairage.... mais il me semble sur ce forum, tu agis à titre privé sous couvert d'un pseudo arguant d'une qualité d'IADE depuis 2003...
« Un infirmier qui se sert d’un pseudonyme pour des activités se rattachant à sa profession est tenu d’en faire la
déclaration au conseil départemental de l’ordre.
« Il est interdit, pour un professionnel agissant à titre privé sous couvert d’un pseudonyme, et quel que soit le
moyen de communication utilisé, d’arguer de sa qualité de professionnel sans dévoiler son identité.
J'ai peut-être mal compris (tout comme certains avocats qui ont commencé à s'emparer de la chose...) et pourtant j'ai bien lu tous les mots (au passage, merci de me prendre pour un débile...), et dans ce cas tu pourras nous faire bénéficier de ton éclairage.... mais il me semble sur ce forum, tu agis à titre privé sous couvert d'un pseudo arguant d'une qualité d'IADE depuis 2003...
- breton de guyane
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Re: ONI?
oui je te le confirme , tu as mal compris ... je vais donc t'expliquer en quoi je ne déroge aucunement à ce texte de loi ...
je vais bien décomposer pour que ce soit le plus simple possible :
Art. R. 4312-50.-Il est interdit d'exercer la profession d'infirmier sous un pseudonyme
Je n'exerce pas au bloc opératoire la profession d' infirmier sous un pseudonyme .
L' ensemble des salariés me connaît sous mon nom et prénom de naissance .
Cette identité apparaît sur mon badge en très gros caractère pour ceux qui ne me connaitraient pas.
Je le fixe consciencieusement chaque matin de façon à permettre également aux patients de le lire.
lorsque je me presente à eux ,je leurs donne mon prénom, ainsi si ils le souhaitent ,ils peuvent également connaître mon nom de famille
c'était la première partie
je vais bien décomposer pour que ce soit le plus simple possible :
Art. R. 4312-50.-Il est interdit d'exercer la profession d'infirmier sous un pseudonyme
Je n'exerce pas au bloc opératoire la profession d' infirmier sous un pseudonyme .
L' ensemble des salariés me connaît sous mon nom et prénom de naissance .
Cette identité apparaît sur mon badge en très gros caractère pour ceux qui ne me connaitraient pas.
Je le fixe consciencieusement chaque matin de façon à permettre également aux patients de le lire.
lorsque je me presente à eux ,je leurs donne mon prénom, ainsi si ils le souhaitent ,ils peuvent également connaître mon nom de famille
c'était la première partie
- breton de guyane
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Re: ONI?
suite pour tiboy 76
« Un infirmier qui se sert d'un pseudonyme pour des activités se rattachant à sa profession est tenu d'en faire la déclaration au conseil départemental de l'ordre
Mes premières interventions sur ce site datent d' avril 2015.
lors de la première réunion plénière qui en a suivit j' ai déclaré, comme indiqué , à l' ensemble des membres présents que
j' étais actif sur laryngo.com sous l' appellation : breton de Guyane , en les invitant à s'y connecter pour constater le travail d' information nécessaire.
une déclaration effective prés de 18 mois avant d' en être tenu par le code de déontologie.
c 'était la deuxième partie
« Un infirmier qui se sert d'un pseudonyme pour des activités se rattachant à sa profession est tenu d'en faire la déclaration au conseil départemental de l'ordre
Mes premières interventions sur ce site datent d' avril 2015.
lors de la première réunion plénière qui en a suivit j' ai déclaré, comme indiqué , à l' ensemble des membres présents que
j' étais actif sur laryngo.com sous l' appellation : breton de Guyane , en les invitant à s'y connecter pour constater le travail d' information nécessaire.
une déclaration effective prés de 18 mois avant d' en être tenu par le code de déontologie.
c 'était la deuxième partie
- breton de guyane
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Re: ONI?
suite et fin pour tiboy 76
« Il est interdit, pour un professionnel agissant à titre privé sous couvert d'un pseudonyme, et quel que soit le moyen de communication utilisé, d'arguer de sa qualité de professionnel sans dévoiler son identité
vérifie dans le dictionnaire la définition du mot " arguer "
et explique moi à quel moment ,j' ai arguer de ma qualité de professionnel depuis la publication au journal officiel du code de déontologie, soit donc le 27 novembre 2016
ordinalement votre
« Il est interdit, pour un professionnel agissant à titre privé sous couvert d'un pseudonyme, et quel que soit le moyen de communication utilisé, d'arguer de sa qualité de professionnel sans dévoiler son identité
vérifie dans le dictionnaire la définition du mot " arguer "
et explique moi à quel moment ,j' ai arguer de ma qualité de professionnel depuis la publication au journal officiel du code de déontologie, soit donc le 27 novembre 2016
ordinalement votre
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Re: ONI?
Définition du dictionnaire Larousse :breton de guyane a écrit :suite et fin pour tiboy 76
« Il est interdit, pour un professionnel agissant à titre privé sous couvert d'un pseudonyme, et quel que soit le moyen de communication utilisé, d'arguer de sa qualité de professionnel sans dévoiler son identité
vérifie dans le dictionnaire la définition du mot " arguer "
et explique moi à quel moment ,j' ai arguer de ma qualité de professionnel depuis la publication au journal officiel du code de déontologie, soit donc le 27 novembre 2016
ordinalement votre
1) "Déduire quelque chose de quelque chose, l'en tirer comme une conséquence ; conclure : De ces témoignages on ne peut arguer que l'accusé est coupable." De tes interventions sur ce forum, on peut déduire que tu es IADE, sinon IDE...
2) "Alléguer quelque chose, l'avancer en tant qu'argument ; prétexter : Il demanda un interprète, arguant qu'il ignorait la langue." Il me semble que tu prétends être IADE sur ton profil...
Bref...
- breton de guyane
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Re: ONI?
Les infirmiers pourront-ils continuer à
s'exprimer sur les réseaux sociaux sous
pseudonyme ?
[/u]© Fournis par Francetv info C'est une première. Au même titre que les médecins, les infirmiers
ont désormais leur code de déontologie . Le texte a été publié au Journal officiel, dimanche 27
novembre. Mais depuis, un article du code a particulièrement attiré l'attention sur les réseaux
sociaux. Bon ben adieu les infirmiers twittos, on vous aimait bien pourtant #CodeDéonto
https://t.co/uiePeoVZ9q pic.twitter.com/HrRTW4UUAl — Clara de BORT (@ClaradeBort) 28
novembre 2016 La lecture de l'article R. 4312-50 peut laisser à penser que les personnes se
réclamant du statut d'infirmier ne doivent plus recourir aux pseudos et doivent s'exprimer sous
leur véritable identité. "Cela part peut-être d'une bonne intention, mais cela entraîne un contrôle
de la parole , se désole auprès de franceinfo William Réjault, ancien infirmier qui a longtemps
tenu un blog sous le pseudo de Ron l'infirmier. Avoir un pseudo, c'est prendre la parole librement
sans avoir peur des retombées. C'est un métier où il y a peu d'espaces de parole. Ce n'est pas facile
de prendre la parole devant ses collègues, les réseaux sociaux sont une échappatoire." Sandra
Dupuis est infirmière. Elle s'exprime sur Twitter sous son vrai nom. Néanmoins, elle estime que
le dernier alinéa de l'article incriminé va trop loin et qu'il est sujet à interprétation, comme elle l'a
confirmé à franceinfo. @OrdreInfirmiers @ClaradeBort @karim_mameri mais c'est le à titre
privé qui pose pbe ? Comment le comprendre ? — Sandra dupuis (@dupuis_sandra) 28 novembre
2016 Sur Twitter, Caroline Lantero, avocate spécialisée en droit de la santé, émet également des
doutes sur la formulation de l'article. Que veut dire « agissant à titre privé » ? C’est « agissant en
tant qu’infirmier dans sa vie privée » ? pic.twitter.com/ugYRghAadW — Caroline Lantero
(@CarolineLto) 29 novembre 2016 De son côté, l'Ordre des infirmiers, qui se félicite de la mise
en place de ce code de déontologie, assure qu'il n'y a aucune volonté d'empêcher les infirmiers de
s'exprimer. "Il ne s'agit pas de limiter la liberté individuelle. Les infirmiers pourront toujours aller
sur les réseaux sociaux et avoir des pseudonymes. L'objectif de cet article est surtout de lutter
contre les usurpations du statut d'infirmier pour un usage commercial. On sait que certains se font
passer pour des infirmiers pour échanger des conseils contre rémunération, par exemple", assure
Karim Mameri, secrétaire général de l'Ordre des infirmiers à franceinfo.
Tous
s'exprimer sur les réseaux sociaux sous
pseudonyme ?
[/u]© Fournis par Francetv info C'est une première. Au même titre que les médecins, les infirmiers
ont désormais leur code de déontologie . Le texte a été publié au Journal officiel, dimanche 27
novembre. Mais depuis, un article du code a particulièrement attiré l'attention sur les réseaux
sociaux. Bon ben adieu les infirmiers twittos, on vous aimait bien pourtant #CodeDéonto
https://t.co/uiePeoVZ9q pic.twitter.com/HrRTW4UUAl — Clara de BORT (@ClaradeBort) 28
novembre 2016 La lecture de l'article R. 4312-50 peut laisser à penser que les personnes se
réclamant du statut d'infirmier ne doivent plus recourir aux pseudos et doivent s'exprimer sous
leur véritable identité. "Cela part peut-être d'une bonne intention, mais cela entraîne un contrôle
de la parole , se désole auprès de franceinfo William Réjault, ancien infirmier qui a longtemps
tenu un blog sous le pseudo de Ron l'infirmier. Avoir un pseudo, c'est prendre la parole librement
sans avoir peur des retombées. C'est un métier où il y a peu d'espaces de parole. Ce n'est pas facile
de prendre la parole devant ses collègues, les réseaux sociaux sont une échappatoire." Sandra
Dupuis est infirmière. Elle s'exprime sur Twitter sous son vrai nom. Néanmoins, elle estime que
le dernier alinéa de l'article incriminé va trop loin et qu'il est sujet à interprétation, comme elle l'a
confirmé à franceinfo. @OrdreInfirmiers @ClaradeBort @karim_mameri mais c'est le à titre
privé qui pose pbe ? Comment le comprendre ? — Sandra dupuis (@dupuis_sandra) 28 novembre
2016 Sur Twitter, Caroline Lantero, avocate spécialisée en droit de la santé, émet également des
doutes sur la formulation de l'article. Que veut dire « agissant à titre privé » ? C’est « agissant en
tant qu’infirmier dans sa vie privée » ? pic.twitter.com/ugYRghAadW — Caroline Lantero
(@CarolineLto) 29 novembre 2016 De son côté, l'Ordre des infirmiers, qui se félicite de la mise
en place de ce code de déontologie, assure qu'il n'y a aucune volonté d'empêcher les infirmiers de
s'exprimer. "Il ne s'agit pas de limiter la liberté individuelle. Les infirmiers pourront toujours aller
sur les réseaux sociaux et avoir des pseudonymes. L'objectif de cet article est surtout de lutter
contre les usurpations du statut d'infirmier pour un usage commercial. On sait que certains se font
passer pour des infirmiers pour échanger des conseils contre rémunération, par exemple", assure
Karim Mameri, secrétaire général de l'Ordre des infirmiers à franceinfo.
Tous
- breton de guyane
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Re: ONI?
Les infirmiers pourront-ils continuer à
s'exprimer sur les réseaux sociaux sous
pseudonyme ?
[/u]© Fournis par Francetv info C'est une première. Au même titre que les médecins, les infirmiers
ont désormais leur code de déontologie . Le texte a été publié au Journal officiel, dimanche 27
novembre. Mais depuis, un article du code a particulièrement attiré l'attention sur les réseaux
sociaux. Bon ben adieu les infirmiers twittos, on vous aimait bien pourtant #CodeDéonto
https://t.co/uiePeoVZ9q pic.twitter.com/HrRTW4UUAl — Clara de BORT (@ClaradeBort) 28
novembre 2016 La lecture de l'article R. 4312-50 peut laisser à penser que les personnes se
réclamant du statut d'infirmier ne doivent plus recourir aux pseudos et doivent s'exprimer sous
leur véritable identité. "Cela part peut-être d'une bonne intention, mais cela entraîne un contrôle
de la parole , se désole auprès de franceinfo William Réjault, ancien infirmier qui a longtemps
tenu un blog sous le pseudo de Ron l'infirmier. Avoir un pseudo, c'est prendre la parole librement
sans avoir peur des retombées. C'est un métier où il y a peu d'espaces de parole. Ce n'est pas facile
de prendre la parole devant ses collègues, les réseaux sociaux sont une échappatoire." Sandra
Dupuis est infirmière. Elle s'exprime sur Twitter sous son vrai nom. Néanmoins, elle estime que
le dernier alinéa de l'article incriminé va trop loin et qu'il est sujet à interprétation, comme elle l'a
confirmé à franceinfo. @OrdreInfirmiers @ClaradeBort @karim_mameri mais c'est le à titre
privé qui pose pbe ? Comment le comprendre ? — Sandra dupuis (@dupuis_sandra) 28 novembre
2016 Sur Twitter, Caroline Lantero, avocate spécialisée en droit de la santé, émet également des
doutes sur la formulation de l'article. Que veut dire « agissant à titre privé » ? C’est « agissant en
tant qu’infirmier dans sa vie privée » ? pic.twitter.com/ugYRghAadW — Caroline Lantero
(@CarolineLto) 29 novembre 2016 De son côté, l'Ordre des infirmiers, qui se félicite de la mise
en place de ce code de déontologie, assure qu'il n'y a aucune volonté d'empêcher les infirmiers de
s'exprimer. "Il ne s'agit pas de limiter la liberté individuelle. Les infirmiers pourront toujours aller
sur les réseaux sociaux et avoir des pseudonymes. L'objectif de cet article est surtout de lutter
contre les usurpations du statut d'infirmier pour un usage commercial. On sait que certains se font
passer pour des infirmiers pour échanger des conseils contre rémunération, par exemple", assure
Karim Mameri, secrétaire général de l'Ordre des infirmiers à franceinfo.
Tous
s'exprimer sur les réseaux sociaux sous
pseudonyme ?
[/u]© Fournis par Francetv info C'est une première. Au même titre que les médecins, les infirmiers
ont désormais leur code de déontologie . Le texte a été publié au Journal officiel, dimanche 27
novembre. Mais depuis, un article du code a particulièrement attiré l'attention sur les réseaux
sociaux. Bon ben adieu les infirmiers twittos, on vous aimait bien pourtant #CodeDéonto
https://t.co/uiePeoVZ9q pic.twitter.com/HrRTW4UUAl — Clara de BORT (@ClaradeBort) 28
novembre 2016 La lecture de l'article R. 4312-50 peut laisser à penser que les personnes se
réclamant du statut d'infirmier ne doivent plus recourir aux pseudos et doivent s'exprimer sous
leur véritable identité. "Cela part peut-être d'une bonne intention, mais cela entraîne un contrôle
de la parole , se désole auprès de franceinfo William Réjault, ancien infirmier qui a longtemps
tenu un blog sous le pseudo de Ron l'infirmier. Avoir un pseudo, c'est prendre la parole librement
sans avoir peur des retombées. C'est un métier où il y a peu d'espaces de parole. Ce n'est pas facile
de prendre la parole devant ses collègues, les réseaux sociaux sont une échappatoire." Sandra
Dupuis est infirmière. Elle s'exprime sur Twitter sous son vrai nom. Néanmoins, elle estime que
le dernier alinéa de l'article incriminé va trop loin et qu'il est sujet à interprétation, comme elle l'a
confirmé à franceinfo. @OrdreInfirmiers @ClaradeBort @karim_mameri mais c'est le à titre
privé qui pose pbe ? Comment le comprendre ? — Sandra dupuis (@dupuis_sandra) 28 novembre
2016 Sur Twitter, Caroline Lantero, avocate spécialisée en droit de la santé, émet également des
doutes sur la formulation de l'article. Que veut dire « agissant à titre privé » ? C’est « agissant en
tant qu’infirmier dans sa vie privée » ? pic.twitter.com/ugYRghAadW — Caroline Lantero
(@CarolineLto) 29 novembre 2016 De son côté, l'Ordre des infirmiers, qui se félicite de la mise
en place de ce code de déontologie, assure qu'il n'y a aucune volonté d'empêcher les infirmiers de
s'exprimer. "Il ne s'agit pas de limiter la liberté individuelle. Les infirmiers pourront toujours aller
sur les réseaux sociaux et avoir des pseudonymes. L'objectif de cet article est surtout de lutter
contre les usurpations du statut d'infirmier pour un usage commercial. On sait que certains se font
passer pour des infirmiers pour échanger des conseils contre rémunération, par exemple", assure
Karim Mameri, secrétaire général de l'Ordre des infirmiers à franceinfo.
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Re: ONI?
Tiens c'est marrant, il est passé où le ton condescendant envers quelqu'un qui devrait utiliser un dictionnaire ...?
Est-ce le fait que je ne suis pas le seul à "interpréter" cet article comme une grave atteinte à ma liberté individuelle ? Que même des avocats spécialisés s'interrogent sur la portée de la formulation de l'article incriminé ?
La vérité, c'est que ce n'est effectivement pas l'ONI qui a écrit ce code (même si je suis prêt à parier que le rédacteur était l'oreille de quelqu'un de l'Ordre...) mais c'est vous qui attaquerez mes semblables en utilisant ce Code avec tous ces biais. Peut-être pas aujourd'hui... mais demain... ?
Est-ce le fait que je ne suis pas le seul à "interpréter" cet article comme une grave atteinte à ma liberté individuelle ? Que même des avocats spécialisés s'interrogent sur la portée de la formulation de l'article incriminé ?
La vérité, c'est que ce n'est effectivement pas l'ONI qui a écrit ce code (même si je suis prêt à parier que le rédacteur était l'oreille de quelqu'un de l'Ordre...) mais c'est vous qui attaquerez mes semblables en utilisant ce Code avec tous ces biais. Peut-être pas aujourd'hui... mais demain... ?
- breton de guyane
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Re: ONI?
je vois tu n' as toujours pas compris tiboy 76 ...
arguer : Prétexter, tirer argument d’une chose.
arguer de sa qualité de sa qualité de professionnel : utiliser son statut d' iade comme argument !
et tu ne m' a toujours pas indiqué dans quel propos j' avais arguer de ma qualité de professionnel depuis le 27 novembre 2016
( le fait d' indiquer l' année de son diplome d' iade sur un forum est à différencier d' arguer de ce fait pour alléguer quelque chose !! )
arguer : Prétexter, tirer argument d’une chose.
arguer de sa qualité de sa qualité de professionnel : utiliser son statut d' iade comme argument !
et tu ne m' a toujours pas indiqué dans quel propos j' avais arguer de ma qualité de professionnel depuis le 27 novembre 2016
( le fait d' indiquer l' année de son diplome d' iade sur un forum est à différencier d' arguer de ce fait pour alléguer quelque chose !! )
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Re: ONI?
He le breton pro-ordre , tu m'énerve avec ta condescendance et ta subtile manière d'enculer les mouches, ton ordre personne n'en veut, arrête de faire le beau et va plutôt déposer une gerbe sur la tombe de petain , créateur des ordres professionnels, les fachos ont toujours préféré le corporatisme encadré au syndicalisme.
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Re: ONI?
J'ai cité la référence de ma définition du verbe arguer... Pas toi.
Après, Larousse n'est peut-être pas une référence en terme de définition... Pour une organisation Pétainiste. Mentionner son année de diplôme revient à mettre en avant ce même diplôme, donc oui tu argues de ton diplôme. Mais je suis probablement trop con pour comprendre, ceci dit je ne le prends pas mal puisque même des avocats spécialisés font état de la même bassesse d'esprit que moi...
Après, Larousse n'est peut-être pas une référence en terme de définition... Pour une organisation Pétainiste. Mentionner son année de diplôme revient à mettre en avant ce même diplôme, donc oui tu argues de ton diplôme. Mais je suis probablement trop con pour comprendre, ceci dit je ne le prends pas mal puisque même des avocats spécialisés font état de la même bassesse d'esprit que moi...
- breton de guyane
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Re: ONI?
« Errare humanum est, perseverare diabolicum » patleguen et tiboy 76 !
vous êtes mal tombé car je suis encore davantage pro-syndicat que je ne suis pro-ordre .
en plus d' être adhèrent au SNIA ,à jours de mes cotisations , je suis à l' UTG depuis 10 ans , c 'est la CGT locale , bien plus vaillante.
Qui ici peut arguer d' être adhèrent de plusieurs syndicats simultanément ?
alors vous et Pétain ...
d'ailleurs si vous mettiez autant d' énergie à promouvoir le SNIA, qu' a bloquer sur l'ordre , on serait plus qu' un iade sur 10 à être adhèrent !!!
Reçu
COTISATION 2016
adhésion n° 310
....a versé le 29/02/2016 la somme de : 106 euros au titre d'une adhésion volontaire pour l'année 2016
Fait à Paris le 31-03-2016 Pour le Trésorier
vous êtes mal tombé car je suis encore davantage pro-syndicat que je ne suis pro-ordre .
en plus d' être adhèrent au SNIA ,à jours de mes cotisations , je suis à l' UTG depuis 10 ans , c 'est la CGT locale , bien plus vaillante.
Qui ici peut arguer d' être adhèrent de plusieurs syndicats simultanément ?
alors vous et Pétain ...
d'ailleurs si vous mettiez autant d' énergie à promouvoir le SNIA, qu' a bloquer sur l'ordre , on serait plus qu' un iade sur 10 à être adhèrent !!!
Reçu
COTISATION 2016
adhésion n° 310
....a versé le 29/02/2016 la somme de : 106 euros au titre d'une adhésion volontaire pour l'année 2016
Fait à Paris le 31-03-2016 Pour le Trésorier