"L'IADE en pre-hospitalier sans médecin"
Auteur : SCHULZE Pascal
Passionné de médecine d’urgence et de médecine de catastrophe, le projet professionnel de l’auteur fait la part belle à l’activité « hors des murs ». Il rentre à l’école d’anesthésie au début du troisième millénaire, à l’époque où la paramédicalisation des secours voit le jour. Il suit de très près la reconnaissance du statut des infirmiers de sapeurs-pompiers et rencontre les instigateurs des premiers vecteurs paramédicalisés mis en place par des SAMU. Il a la chance et le bonheur de côtoyer les pionniers. Au cours de ses études, l’auteur prend soudain conscience que l’IADE n’est pas un acteur de choix dans cette paramédicalisation naissante et qu’il n’en a pas, contrairement au SMUR, la prédilection.
« Si la paramédicalisation se généralisait, quelle place y trouverait l’IADE ? ».
Pour répondre à cette question, l’auteur identifie les structures qui expérimentent cette paramédicalisation. Il présente les résultats de leurs travaux. Il expose la cadre juridique dans lequel évoluent ces paramédicaux. L’auteur aborde la formation des infirmiers et évoque, sans s’y attarder, la notion de compétences. Pour répondre à la question initiale, l’auteur mêle entretiens et questionnaires puis tente d’en analyser les résultats.
Enfin, l’auteur conclut en présentant la place actuelle de l’IADE dans cette activité sans médecin. Il envisage, par un mélange d’intuitions visionnaires et d’analyses plus objectives, les perspectives d’avenir de cette paramédicalisationet de la place que pourrait y trouver l’IADE.
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Auteur : SCHULZE Pascal
Passionné de médecine d’urgence et de médecine de catastrophe, le projet professionnel de l’auteur fait la part belle à l’activité « hors des murs ». Il rentre à l’école d’anesthésie au début du troisième millénaire, à l’époque où la paramédicalisation des secours voit le jour. Il suit de très près la reconnaissance du statut des infirmiers de sapeurs-pompiers et rencontre les instigateurs des premiers vecteurs paramédicalisés mis en place par des SAMU. Il a la chance et le bonheur de côtoyer les pionniers. Au cours de ses études, l’auteur prend soudain conscience que l’IADE n’est pas un acteur de choix dans cette paramédicalisation naissante et qu’il n’en a pas, contrairement au SMUR, la prédilection.
« Si la paramédicalisation se généralisait, quelle place y trouverait l’IADE ? ».
Pour répondre à cette question, l’auteur identifie les structures qui expérimentent cette paramédicalisation. Il présente les résultats de leurs travaux. Il expose la cadre juridique dans lequel évoluent ces paramédicaux. L’auteur aborde la formation des infirmiers et évoque, sans s’y attarder, la notion de compétences. Pour répondre à la question initiale, l’auteur mêle entretiens et questionnaires puis tente d’en analyser les résultats.
Enfin, l’auteur conclut en présentant la place actuelle de l’IADE dans cette activité sans médecin. Il envisage, par un mélange d’intuitions visionnaires et d’analyses plus objectives, les perspectives d’avenir de cette paramédicalisationet de la place que pourrait y trouver l’IADE.
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