Article Oxymag dec 2005 sur Formation IADE
Modérateur : Marc
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Article Oxymag dec 2005 sur Formation IADE
Suite à la lecture de l article page 25, rédigé par C. Triboulet, concernant l enseignement dans les ecoles d iade, nous nous inquietons quant à l évolution et la qualité de l enseignement futur dans les écoles d IADE. Est il question, d une part, de restreindre nos connaissances? d autre part doit on laisser les medecins seuls decideurs des plans de formation?
Merci de nous faire part de vos reactions.
L equipe d iade du ch pasteur de Cherbourg
NB: sujet déjà abordé dans l'Oxymag n°77 de aout 2004
Merci de nous faire part de vos reactions.
L equipe d iade du ch pasteur de Cherbourg
NB: sujet déjà abordé dans l'Oxymag n°77 de aout 2004
- bidule
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- Thomas L.
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Dans un premier temps, on aprend que le collège FAR a fait une session sur le sujet de la formation initiale des IADE....("initiative heureuse même si l'on peut regretter que cette session n'ait pas été ouverte au public infirmier"....ah la bourde!!! ils ont "oublié" de nous inviter...)
Les écoles étaient représentées par la présidente du CEEIADE
Ils expliquent en gros, qu'il faut distinguer les apports scientifiques dispensés par les médecins, et les autres apports, qui relèvent plus d'autres compétences: IADE proprement dit, Psychologues, sociologues, juristes...
L'ensemble pour conclure sur la nécessité de collaboration entre le CFAR et le CEEIADE pour que les enseignants médecins puissent identifier ce qui doit être aborder ou non...Il s'agirait visiblement d'un recueil de références aux médecins anest-réa qui s'impliquent dans la formation des élèves IADE...
Pour ma part, je crois que c'est une bonne chose de donner les cours spécifiques à des spécialistes pas forcément médecins, qui pourraient nous donner des infos tout autant voire plus précises dans certains domaines....
Je pense même que l'ensemble paraît plutôt logique, "chaque spécialiste à sa place et les élèves IADE seront bien gardés..."
Maintenant si je veux plus de connaissances qui me "manqueraient ou ne seraient pas, ou plus, assez précises" rien ne m'empêche de potasser; j'ajouterai même que cela serait formateur
C'est un avis, qui peut peut-être être nuancé par un vécu, des connaissances sur la formation que je suis juste en train de suivre; peut-être n'ai je pas l'objectivité des plus "anciens"....mais c mon avis
Les écoles étaient représentées par la présidente du CEEIADE
Ils expliquent en gros, qu'il faut distinguer les apports scientifiques dispensés par les médecins, et les autres apports, qui relèvent plus d'autres compétences: IADE proprement dit, Psychologues, sociologues, juristes...
L'ensemble pour conclure sur la nécessité de collaboration entre le CFAR et le CEEIADE pour que les enseignants médecins puissent identifier ce qui doit être aborder ou non...Il s'agirait visiblement d'un recueil de références aux médecins anest-réa qui s'impliquent dans la formation des élèves IADE...
Pour ma part, je crois que c'est une bonne chose de donner les cours spécifiques à des spécialistes pas forcément médecins, qui pourraient nous donner des infos tout autant voire plus précises dans certains domaines....
Je pense même que l'ensemble paraît plutôt logique, "chaque spécialiste à sa place et les élèves IADE seront bien gardés..."
Maintenant si je veux plus de connaissances qui me "manqueraient ou ne seraient pas, ou plus, assez précises" rien ne m'empêche de potasser; j'ajouterai même que cela serait formateur
C'est un avis, qui peut peut-être être nuancé par un vécu, des connaissances sur la formation que je suis juste en train de suivre; peut-être n'ai je pas l'objectivité des plus "anciens"....mais c mon avis
- Maxime
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La question, c'est quels vont être les changements du contenu scientifique, si changements il doit y avoir.
Car n'oublions pas que notre valeur au bloc, ca n'est pas nos cours de psychologie, pédagogie, droit ou autre sujets collateraux de notre formation qui feront notre valeur plus tard, mais bien le contenu scientifique pur et technique qui nous sera enseigné.
Car n'oublions pas que notre valeur au bloc, ca n'est pas nos cours de psychologie, pédagogie, droit ou autre sujets collateraux de notre formation qui feront notre valeur plus tard, mais bien le contenu scientifique pur et technique qui nous sera enseigné.
j'ai lu moi aussi cet article, la semaine dernière.
le moindre qu'on puisse dire, à mon avis, c'est que madame Triboulet sert la soupe aux médecins.
Mais il y a peut-être des raisons.
Cependant, je voudrais qu'on m'explique en quoi, une forme de "censure scientifique et d'apprentissage" devrait tomber sur les écoles d'anesthésie ?
n'est-ce pas là, une façon à peine voilée, de tenir en laisse les IADE qui ne risquent pas ainsi de trop archer sur les plates-bandes des MAR ?
"conducteur précieux" comme le dit madame Triboulet, prédidente du CEEIADE. oui, le recueil des objectifs scientifiques, déclinés de façon gradée, pour le programme d'enseignement dans les écoles d'IADE, m'apparait comme une white line à ne pas franchir afin de garder les moutons IADE dans le pré qu'on leur désigne.
Il est affligeant de constater qu'un comité d'entente ne voit pas plus loin.
Car si les ALR ne sont plus dispensées comme cours, aux nouveaux étudiants IADE, c'est à mon sens, le début de la fin.
car qui ne connaît pas, ne pratique pas.
et comme le législateur nous donne toute latitude pour ce faire, cf notre décret, cela doit gêner quelque peu certains de nos caciques.
Enfin, j'ose le croire...puisque les IADE (2 en fait), étaient présents.
Je ne suis pas certain du côté formateur de la chose.
Car l'enseignement encadré par un "appreneur" à un "apprenant" donne de meilleurs résultats qu'un travail en solitaire.
par définition, il y manque l'expérience du savoir de l'autre.
pour moi, aussi, c'est mon avis.
:starwars:
le moindre qu'on puisse dire, à mon avis, c'est que madame Triboulet sert la soupe aux médecins.
Mais il y a peut-être des raisons.
Cependant, je voudrais qu'on m'explique en quoi, une forme de "censure scientifique et d'apprentissage" devrait tomber sur les écoles d'anesthésie ?
n'est-ce pas là, une façon à peine voilée, de tenir en laisse les IADE qui ne risquent pas ainsi de trop archer sur les plates-bandes des MAR ?
"conducteur précieux" comme le dit madame Triboulet, prédidente du CEEIADE. oui, le recueil des objectifs scientifiques, déclinés de façon gradée, pour le programme d'enseignement dans les écoles d'IADE, m'apparait comme une white line à ne pas franchir afin de garder les moutons IADE dans le pré qu'on leur désigne.
Il est affligeant de constater qu'un comité d'entente ne voit pas plus loin.
Car si les ALR ne sont plus dispensées comme cours, aux nouveaux étudiants IADE, c'est à mon sens, le début de la fin.
car qui ne connaît pas, ne pratique pas.
et comme le législateur nous donne toute latitude pour ce faire, cf notre décret, cela doit gêner quelque peu certains de nos caciques.
je pense qu'elle parle du public IDE.Thomas L. a écrit :("initiative heureuse même si l'on peut regretter que cette session n'ait pas été ouverte au public infirmier"....ah la bourde!!! ils ont "oublié" de nous inviter...)
Enfin, j'ose le croire...puisque les IADE (2 en fait), étaient présents.
Cela enlèverait surtout une bonne partie de la compréhension qu'un orateur est capable de t'apporter par sa connaissance et sa maîtrise du sujet.
Maintenant si je veux plus de connaissances qui me "manqueraient ou ne seraient pas, ou plus, assez précises" rien ne m'empêche de potasser; j'ajouterai même que cela serait formateur
Je ne suis pas certain du côté formateur de la chose.
Car l'enseignement encadré par un "appreneur" à un "apprenant" donne de meilleurs résultats qu'un travail en solitaire.
par définition, il y manque l'expérience du savoir de l'autre.
pour moi, aussi, c'est mon avis.
:starwars:
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- Maxime
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