Bonjour et bonne année à tous et toutes.

La saison nous apporte son lot de grippes mais aussi celui de questionnaires pour le travail de fin d'étude.

J''aimerai demander à la communauté d'iade de m'aider en remplissant ce questionnaire en ligne.
Mon sujet est relatif à l'anxiété du patient en préopératoire.

Je vous laisse le lien:
https://docs.google.com/forms/d/1ift6E4 ... =send_form

merci encore pour votre aide, votre temps et votre connaissance du terrain.

Bonne lecture
Philou

Fait

merci grandement pour votre soutien et votre proactivité:)

Surtout ne soyez pas timide.. il est sexy mon questionnaire (faut bien attirer le chaland:)

Fait
sujet intéressant, bon courage et bonne chance pour la suite du travail.

philou a écrit :J''aimerai demander à la communauté d'iade de m'aider en remplissant ce questionnaire en ligne.
Mon sujet est relatif à l'anxiété du patient en préopératoire.

Ces questionnaires sur Internet sont à la mode et apportent pas mal d'avantages. Mais comme pour tous les questionnaires, il faut bien les gérer : bon questionnaire, bons renseignements. Quelques conseils en vrac...

1) Question obligatoire. Faut-il rendre toutes les questions obligatoires ? Si une personne ne souhaite pas répondre à certaines questions (pour des raisons qui le/la regardent), il/elle ne peut pas répondre au questionnaire.

2) Choix multiple, choix unique. Votre question « Bénéficiez-vous d'une expérience professionnelle d’IADE en pédiatrie ? » accepte les réponses « oui » et « non ». La question « Expérience professionnelle » n'accepte qu'une réponse.

3) Précision des termes et présentation. Par exemple, « semi-privé », ça n'existe pas.


Quand vous faites un questionnaire, il faut le tester avant de le diffuser. Et le donner à relire. Au départ, ça vous prend plus de temps, mais ça donne des résultats exploitables.

Bonjour,
merci pour ces remarques.

J'ai fait les modifications concernant vos remarques.

Concernant le fait de devoir répondre à toutes les questions, cela évite les oublis. De plus, les questionnaires restent anonymes donc n'engage à rien . Chacun y apporte sa vision des choses et nous trouvons cela intéressant

Merci encore et n'hésitez à nous faire des retours sur votre vécu.

philou a écrit :Concernant le fait de devoir répondre à toutes les questions, cela évite les oublis. De plus, les questionnaires restent anonymes donc n'engage à rien

La personne qui répond peut ne rien avoir à dire sur une question, peut ne pas souhaiter s'exprimer sur une question, peut considérer que son avis ne vaut pas la peine d'être exprimé.

Et même avec un questionnaire anonyme, certaines personnes deviennent identifiables.

Et sinon à part "il est perfectible ton questionnaire" (comme tout) moi j'ai envie de te dire surtout qu'il est bien. Qu'il est vraiment bien.
Et puis c'est tout.

merci c'est gentil de nous soutenir
cela fait chaud au cœur

Un grand merci à tous et à toutes qui ont participé à notre questionnaire... merci encore pour votre aide et votre contribution.:)

je suis étudiante en deuxième année comme toi, tu veux des réponses des EIADE ou juste des IADE

merci pour ta question.
en faite je souhaite des réponses que des iades pour respecter mon cadre conceptuel.
merci en tout cas pour ton interet et courage à toi pour la fin de formation:)

Fait.
Et si je peux ou dois répondre à toutes les questions à choix multiples, je fais
le choix unique de conclure : SVP pas cette outil d'évaluation dans notre pratique professionnelle ...
Laissons un peu d'humanité dans nos soins en anesthésie. Merci.

super , merci encore pour votre aide.

Je m'interroge. En quoi utiliser un outil pour objectiver l'anxiété rendrait inhumaine notre pratique ?
j'ai dans l'idée le dicton "on ne reconnait que ce que l'on connait" alors à mon sens, cela permettra justement de prendre l'anxiété de nos patients plus en compte.

bonne journée

Hello,

Je pense simplement qu'un tel outil est loin d'être indispensable à notre pratique quotidienne.
Je pense aussi qu'il est de notre rôle propre et de nos compétences d'objectiver et de "soigner" l'anxiété péri-opératoire de nos patients.
Aussi, la protocolisation abusive d'un tel acte n'est pas en faveur de la valorisation ni de notre métier ni de notre "grade".
La gestion pharmacologique (benzo, kéta...) et humaine (écoute, relation d'aide, gestion du stress, hypnose...) du stress a des conséquences sur notre gestion de l'anesthésie. C'est une partie intégrante de notre spécialité en collaboration et sous la responsabilité d'un MAR.
Nul besoin de cocher des cases dans toutes nos pratiques. L'anxiété est de plus individuelle,multifactorielle et concerne la prise en charge globale (parcourt hospitalier de l'admission à la mise à la rue). A quoi bon lui donner un score à l'arrivée dans nos couloirs de blocs alors que nous sommes les mieux placés pour l' "objectiver" et la "soigner" ?

merci beaucoup pour tes précisions et ton point de vue.

Jackson a écrit :Hello,

Je pense simplement qu'un tel outil est loin d'être indispensable à notre pratique quotidienne.
Je pense aussi qu'il est de notre rôle propre et de nos compétences d'objectiver et de "soigner" l'anxiété péri-opératoire de nos patients.
Aussi, la protocolisation abusive d'un tel acte n'est pas en faveur de la valorisation ni de notre métier ni de notre "grade".
La gestion pharmacologique (benzo, kéta...) et humaine (écoute, relation d'aide, gestion du stress, hypnose...) du stress a des conséquences sur notre gestion de l'anesthésie. C'est une partie intégrante de notre spécialité en collaboration et sous la responsabilité d'un MAR.
Nul besoin de cocher des cases dans toutes nos pratiques. L'anxiété est de plus individuelle,multifactorielle et concerne la prise en charge globale (parcourt hospitalier de l'admission à la mise à la rue). A quoi bon lui donner un score à l'arrivée dans nos couloirs de blocs alors que nous sommes les mieux placés pour l' "objectiver" et la "soigner" ?

On a longtemps pensé la même chose de l'évaluation et de la prise en charge de la douleur....

Pour en finir et faire avancer la réflection autour d un outil d évaluation du niveau d anxiété peri opératoire et l éventuel protocole de soin qui en découle, je pense que c'est une mauvaise piste. Fonctionner encore de façon binaire selon une echelle numérique, un score, une checklist pour l angoisse ? Non pour ma part. Peut être laisser un peu de sens à nos sens professionnels.
Composante émotionnelle de la douleur, l'anxiété ne peut pas être comparée à la prise en charge de la douleur ; elle en fait partie. Donc petit boy, c'est une remarque un peu trop consensuelle
La tracabilite et l évaluation de la douleur fait déjà défaut dans nos dossiers et elle doit pourtant être faite du début à la fin d un séjour hospitalier. .. alors créer un outil efficace, clinique, reproductible dédié à l anxiété ? Sur quel critère d'évaluation ? Perso, je serai déjà stressé d être en chambre double...

merci pour vos contributions..

il ne reste plus que 2 questionnaires à remplir pour avoir notre quota.. un dernier petit effort svp monsieurs, dames:)