ah bon ! alors j'ai du mal comprendre; autant pour moirevenge of anesthésith a écrit : De plus, ton travail de IADE t'éloigne de ta formation d'IDE.
Ce qui ne veux pas dire que tu ne sais plus parler aux patients, que tu les néglige ou je ne sais quoi sans qui tout exercice serait impossible et dont l'obtention serait une sorte d'apanage exclusif des IDE...
:starwars:
cahier des charges...
Modérateur : Marc
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Mais revenge la notion est tout à fait clair pour tout le monde je crois.
Il n'y a pas deux débat, mais un seul.
Tout le monde est d'accord sur le souhait de revaloriser la profession.
Là où on s'écarte c'est sur la façon dont on y arrive.
Tu penses ,et peut être as tu raison, que la revalorisation des IADE passe obligatoirement par le détachement de ces derniers du corps infirmier.
Je pense que beaucoup de choses peuvent être entendues par les pouvoirs publiques et les gens (ton patient, Mr Durant et sa voisine Odile, sa petite fille ..... tous le monde quoi). Pour être entendu il faut d'abord être audible.
Et je pense que vouloir sortir du cadre infirmier ne nous amenera pas forcement grand chose hormis beaucoup de questions auxquelles , a priori, personne ne veut répondre faute d'idée !?!
Qui crois que le changement de nomination changera les choses ? Les IDE n'ont qu'a s'appeller toilettologue ou sonnettologue peut être que ça marchera.
Il n'y a qu'à demander aux techniciens de surface si ils sont mieux payé que les balayeurs ....
La spécialité IADE est je pense (mais je me louze totalement peut être) une orientation très spécifique, hautement technique, à responsabilité accrue ............du métier d'IDE.
Cette spécialité .......acquise après un dur travail de 2 ans et reconnue par les MAR (la preuve c'est que certains se plaignent d'être exploité, c'est donc bien qu'ils sont reconnus à leur juste valeur), les IDE, les chirurgiens ....manque de valorisation.
J'ai une image :
> celle de la pub ou le mec gueulle que son portable lui coute trop cher mais qu'au final il n'a pas de solution...ou en tout cas pas celle qui convient.
Et en effet, les IDE n'ont pas la compétence des iade. On est d'accord.
Il n'en demeure pas moins à mon humble avis, que cet argument ne pèse pas lourd.
Il n'y a pas deux débat, mais un seul.
Tout le monde est d'accord sur le souhait de revaloriser la profession.
Là où on s'écarte c'est sur la façon dont on y arrive.
Tu penses ,et peut être as tu raison, que la revalorisation des IADE passe obligatoirement par le détachement de ces derniers du corps infirmier.
Je pense que beaucoup de choses peuvent être entendues par les pouvoirs publiques et les gens (ton patient, Mr Durant et sa voisine Odile, sa petite fille ..... tous le monde quoi). Pour être entendu il faut d'abord être audible.
Et je pense que vouloir sortir du cadre infirmier ne nous amenera pas forcement grand chose hormis beaucoup de questions auxquelles , a priori, personne ne veut répondre faute d'idée !?!
Qui crois que le changement de nomination changera les choses ? Les IDE n'ont qu'a s'appeller toilettologue ou sonnettologue peut être que ça marchera.
Il n'y a qu'à demander aux techniciens de surface si ils sont mieux payé que les balayeurs ....
La spécialité IADE est je pense (mais je me louze totalement peut être) une orientation très spécifique, hautement technique, à responsabilité accrue ............du métier d'IDE.
Cette spécialité .......acquise après un dur travail de 2 ans et reconnue par les MAR (la preuve c'est que certains se plaignent d'être exploité, c'est donc bien qu'ils sont reconnus à leur juste valeur), les IDE, les chirurgiens ....manque de valorisation.
J'ai une image :
> celle de la pub ou le mec gueulle que son portable lui coute trop cher mais qu'au final il n'a pas de solution...ou en tout cas pas celle qui convient.
Et en effet, les IDE n'ont pas la compétence des iade. On est d'accord.
Il n'en demeure pas moins à mon humble avis, que cet argument ne pèse pas lourd.
s'il est une chose quasi certaine, c'est que le gvt souhaite faire évoluer notre statut vers quelque chose de médical, ne serait-ce que pour pallier à la pénurie de docteurs, dont on ne peut pas dire aujourd'hui qu'elle n'ait pas été organisée de manière consciente par tous les gvts précédents.
Les MAR l'ont dénoncé depuis longtemps. Le seul objectif est économique.
je crois que la question qui va se poser dans les mois qui viennent est:
Qu'accepterons-nous de faire en plus, ou de manière plus clairement établie qu'avant, et à quel prix!!!!! Le pb est bien à ce niveau!
Accepter un statut de sage-femme avec trois sous en plus est un risque qu'il ne faut pas sous évaluer à cause de l'euphorie que cela pourrait générer.
Après tout nous avons un cursus plus long que les SF, nous devrions avoir une bonne longueur d'avance sur les grilles...Toute la difficulté résidera dans l'acquisition d'une grille satisfaisante pour l'ensemble des IADE ou autre appellation.
Les MAR l'ont dénoncé depuis longtemps. Le seul objectif est économique.
je crois que la question qui va se poser dans les mois qui viennent est:
Qu'accepterons-nous de faire en plus, ou de manière plus clairement établie qu'avant, et à quel prix!!!!! Le pb est bien à ce niveau!
Accepter un statut de sage-femme avec trois sous en plus est un risque qu'il ne faut pas sous évaluer à cause de l'euphorie que cela pourrait générer.
Après tout nous avons un cursus plus long que les SF, nous devrions avoir une bonne longueur d'avance sur les grilles...Toute la difficulté résidera dans l'acquisition d'une grille satisfaisante pour l'ensemble des IADE ou autre appellation.
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Elles font la 1er année de medecine + 4 ans à l'école de sage femme donc autant que nous.Den's a écrit : Après tout nous avons un cursus plus long que les SF, nous devrions avoir une bonne longueur d'avance sur les grilles...
Quoi qu'il en soit la grille des sages femmes classe normale est moins interressante que celle des IADE :
http://www.sante.gouv.fr/htm/dossiers/h ... esfemm.pdf
[/quote]stomy a écrit :Elles font la 1er année de medecine + 4 ans à l'école de sage femme donc autant que nous.Den's a écrit : Après tout nous avons un cursus plus long que les SF, nous devrions avoir une bonne longueur d'avance sur les grilles...
Quoi qu'il en soit la grille des sages femmes classe normale est moins interressante que celle des IADE :
http://www.sante.gouv.fr/htm/dossiers/h ... esfemm.pdf
la notion qur j'ai des guette au trou= 4 ans
IADE = 3 ans + 2 ans + 2ans...
Elrond a écrit :, mais pour le manque de respect que tu portes aux IDE en les cantonnant a ne savoir parler qu'aux patients. On y verrai presque du mépris, ce que je n'espère pas.
revenge of anesthésith a écrit : De plus, ton travail de IADE t'éloigne de ta formation d'IDE.
Ce qui ne veux pas dire que tu ne sais plus parler aux patients, que tu les néglige ou je ne sais quoi sans qui tout exercice serait impossible et dont l'obtention serait une sorte d'apanage exclusif des IDE...
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Hé oui tu as mal compris car cantonner c'est rester dans une limite stricte.ah bon ! alors j'ai du mal comprendre; autant pour moi
Moi je dis bien " ou je ne sais quoi..." ce qui implique bien d'autres actions non ?
:starwars:
le contraire non plus jusqu'à présent...KtKo a écrit : Et je pense que vouloir sortir du cadre infirmier ne nous amenera pas forcement grand chose
.
fais gaffe, Elrond va te dire que tu méprises les IDE...Les IDE n'ont qu'a s'appeller toilettologue ou sonnettologue peut être que ça marchera.
je te laisse la responsabilité de ta vision professionnelle. Si tu penses que ça ne suffit pas à commencer une reflexion sur ta spécificité.Et en effet, les IDE n'ont pas la compétence des iade. On est d'accord.
Il n'en demeure pas moins à mon humble avis, que cet argument ne pèse pas lourd
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Ce problème de savoir s'il faut rester dans le corps des infirmirères ( j'peux quand même pas rester dans le corps des infirmiers, j'suis un mec !) est une question peut-être pas si anodine que ça.
Les psychologues scolaires ont le même soucis que nous avec le corps des enseignants. Alors qu'ils sont bac +5 minimum, ils sont dans le corps des professeurs des écoles (BAC + 3). Leur soucis concernant la paye est identique au notre...
En ce qui concerne le nom pouvant remplacer IADE, je ne dis pas que c'est accessoire, cependant, attention de ne pas se faire avoir en se focalisant sur le nom au dépend du reste. Je fais environ 50% d'anesthésie et 50% de circulation extra-corporelle en chir cardiaque. Le problème de statut et de rémunération décente est aussi au coeur des préoccupation de nombreux perfusionnistes. La réponse du ministère : "vous serait hémodynamiciens". Rien pour le salaire, rien pour les statuts ! Ceci dit, la mobilisation de mes collègues perfusionnistes n'a pas la même force que celle de mes collègue IADE !
La vrai question c'est: est-ce que je suis 5 fois moins qualifié, 5 fois moins dévoué au malade et à mon hôpital que le MAR avec lequeel je travaille (sans remettre en cause ses compétences et sa bonne volonté), puisque je gagne 5 fois moins !
Les psychologues scolaires ont le même soucis que nous avec le corps des enseignants. Alors qu'ils sont bac +5 minimum, ils sont dans le corps des professeurs des écoles (BAC + 3). Leur soucis concernant la paye est identique au notre...
En ce qui concerne le nom pouvant remplacer IADE, je ne dis pas que c'est accessoire, cependant, attention de ne pas se faire avoir en se focalisant sur le nom au dépend du reste. Je fais environ 50% d'anesthésie et 50% de circulation extra-corporelle en chir cardiaque. Le problème de statut et de rémunération décente est aussi au coeur des préoccupation de nombreux perfusionnistes. La réponse du ministère : "vous serait hémodynamiciens". Rien pour le salaire, rien pour les statuts ! Ceci dit, la mobilisation de mes collègues perfusionnistes n'a pas la même force que celle de mes collègue IADE !
La vrai question c'est: est-ce que je suis 5 fois moins qualifié, 5 fois moins dévoué au malade et à mon hôpital que le MAR avec lequeel je travaille (sans remettre en cause ses compétences et sa bonne volonté), puisque je gagne 5 fois moins !
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C'est étonnant ,
j'ai pu voir, en d'autres endroits de libre expression, que certains IADE usent de l'argumentation des 5 ans d'études, des compétences IDE dans l'abord social et psychologique de certaines souffrances, d'une expérience auprès du malade.....pour persuader d'autres professionnels de la spécificité et de la complexité parfois cachée ou volontairement sous-estimée des techniques de soins propre à l'IADE......
Comme quoi !
L'argument de dire ton expérience IDE ne te serre pas dans ton quotidien IADE est peut être à relativiser....
On ne peut pas être 100 % crédible quand on dit à droite : "on est de vrais professionnels qui totalisent 3 ans 1/2 d'études + 2 ans mini d'expérience + 2 ans d'étude spécialisées" et à gauche " on a un métier complètement différent de celui d'IDE et de toute façon les acquis IDE sont inutiles désormais donc on veut un statut bien différent ...avec un joli nom...."
Vous en pensez quoi ? ......
j'ai pu voir, en d'autres endroits de libre expression, que certains IADE usent de l'argumentation des 5 ans d'études, des compétences IDE dans l'abord social et psychologique de certaines souffrances, d'une expérience auprès du malade.....pour persuader d'autres professionnels de la spécificité et de la complexité parfois cachée ou volontairement sous-estimée des techniques de soins propre à l'IADE......
Comme quoi !
L'argument de dire ton expérience IDE ne te serre pas dans ton quotidien IADE est peut être à relativiser....
On ne peut pas être 100 % crédible quand on dit à droite : "on est de vrais professionnels qui totalisent 3 ans 1/2 d'études + 2 ans mini d'expérience + 2 ans d'étude spécialisées" et à gauche " on a un métier complètement différent de celui d'IDE et de toute façon les acquis IDE sont inutiles désormais donc on veut un statut bien différent ...avec un joli nom...."
Vous en pensez quoi ? ......
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Dans ce genre de discussion il ne faut pas hésiter à être un peu cynique.
La question qui se pose à nous est de savoir où se trouve notre plus gros avantage.
J'ai longtemps défendu la sortie du corps IDE car, à l'époque, il n'y avait aucune ouverture où s'engouffrer, je faisais le choix du risque maîtrisé.
Aujourd'hui, je milite plutôt pour rester dans le corps IDE.
Le corps IDE nous offre une protection contre ceux qui aimeraient bien nous laminer, comme ils ont déjà tenté de le faire à cinq reprises en 40 ans : les MAR.
Il est plus difficile de s'en prendre à des gens qui peuvent en appeler à 450 000 collègues.
Cela nous a également permis d'éviter de subir ce qu'on subi nos collègues sage-femmes, l'assimilation. Quand on regarde leurs droits, leur liberté d'exercice et leurs rémunérations on se rend compte qu'elles n'ont pas fait uen bonne affaire en passant dans le corps médical.
Je ne nous souhaite pas la même chose. il vaut mieux être les mieux côtés du corps inférieur que la cinquième roue du carrosse du corps supérieur.
Certes on pourrait penser qu'être hors du corps infirmier pourrait favoriser l'obtention d'un meilleur salaire car nous sommes peu nombreux. C'est loin d'être vrai car une telle décision nécessiterait une forte pression en sa faveur (mais nous sommes peu nombreux) et aucune pression inverse (et nos amis les MAR ne sont pas bien disposés envers nous).
Rester chez les IDE est intéressant dans le cadre entr'ouvert par Berland qui permettra la reconnaissance de notre compétence et de notre capacité à pratiquer des actes médicaux importants. C'est par ce biais que je voudrais que nous fassions passer notre reconnaissance. Ainsi, nous pourrions limiter le pouvoir de nuisance des MAR, nous ferions reconnaître notre Bac + 5, et nous serions officialisés comme plus haut niveau des professions infirmières ce qui serait monnayable.
La question qui se pose à nous est de savoir où se trouve notre plus gros avantage.
J'ai longtemps défendu la sortie du corps IDE car, à l'époque, il n'y avait aucune ouverture où s'engouffrer, je faisais le choix du risque maîtrisé.
Aujourd'hui, je milite plutôt pour rester dans le corps IDE.
Le corps IDE nous offre une protection contre ceux qui aimeraient bien nous laminer, comme ils ont déjà tenté de le faire à cinq reprises en 40 ans : les MAR.
Il est plus difficile de s'en prendre à des gens qui peuvent en appeler à 450 000 collègues.
Cela nous a également permis d'éviter de subir ce qu'on subi nos collègues sage-femmes, l'assimilation. Quand on regarde leurs droits, leur liberté d'exercice et leurs rémunérations on se rend compte qu'elles n'ont pas fait uen bonne affaire en passant dans le corps médical.
Je ne nous souhaite pas la même chose. il vaut mieux être les mieux côtés du corps inférieur que la cinquième roue du carrosse du corps supérieur.
Certes on pourrait penser qu'être hors du corps infirmier pourrait favoriser l'obtention d'un meilleur salaire car nous sommes peu nombreux. C'est loin d'être vrai car une telle décision nécessiterait une forte pression en sa faveur (mais nous sommes peu nombreux) et aucune pression inverse (et nos amis les MAR ne sont pas bien disposés envers nous).
Rester chez les IDE est intéressant dans le cadre entr'ouvert par Berland qui permettra la reconnaissance de notre compétence et de notre capacité à pratiquer des actes médicaux importants. C'est par ce biais que je voudrais que nous fassions passer notre reconnaissance. Ainsi, nous pourrions limiter le pouvoir de nuisance des MAR, nous ferions reconnaître notre Bac + 5, et nous serions officialisés comme plus haut niveau des professions infirmières ce qui serait monnayable.
Je serais plutôt d'accord avec toi...sauf que la tentation sera grande d'aligner les "super infirmières" sur nos grilles. Ce faisant, les notres ne bougeraient évidemment pas, combien même on nous attribuerait quelques compétences (responsabilités) supplémentaires...
On nous balancera dans la tronche que les super-infirmières ont le même niveau de responsabilités, et que nous nous avons toujours un docteur pas loin, ce qui ne sera pas le cas pour les autres super collègues!
On nous balancera dans la tronche que les super-infirmières ont le même niveau de responsabilités, et que nous nous avons toujours un docteur pas loin, ce qui ne sera pas le cas pour les autres super collègues!
Qui ne nous connaissent pas du tout !! Elles ne bougeront pas pour les IADE !Gastounet a écrit : Il est plus difficile de s'en prendre à des gens qui peuvent en appeler à 450 000 collègues.
Qui a dit qu'il fallait intégrer le corps médical ??Cela nous a également permis d'éviter de subir ce qu'on subi nos collègues sage-femmes, l'assimilation. Quand on regarde leurs droits, leur liberté d'exercice et leurs rémunérations on se rend compte qu'elles n'ont pas fait uen bonne affaire en passant dans le corps médical.
En la matière, on peut quitter le corps infirmier mais rester dans la catégorie paramédicale, avec une grille spécifique en dehors de celle des IDE.
pour l'instant on est plutôt la 5e roue du carrosse du corps inférieur qui fait des actes supérieurs...Je ne nous souhaite pas la même chose. il vaut mieux être les mieux côtés du corps inférieur que la cinquième roue du carrosse du corps supérieur.
-En quoi notre rémunération devrait-elle recevoir l'aval des MAR ???Certes on pourrait penser qu'être hors du corps infirmier pourrait favoriser l'obtention d'un meilleur salaire car nous sommes peu nombreux. C'est loin d'être vrai car une telle décision nécessiterait une forte pression en sa faveur (mais nous sommes peu nombreux) et aucune pression inverse (et nos amis les MAR ne sont pas bien disposés envers nous).
-En quoi le fait d'être mieux payé, devrait-il être adoubé par les MAR ???
-Au nom de quel droit régalien, les MAR pourraient ils contrôler ce qui tombe dans mon escarcelle en fin de mois ?????
voir ....Mais puisque c'est Noël, on peut toujours espérer...Rester chez les IDE est intéressant dans le cadre entr'ouvert par Berland qui permettra la reconnaissance de notre compétence et de notre capacité à pratiquer des actes médicaux importants. C'est par ce biais que je voudrais que nous fassions passer notre reconnaissance. Ainsi, nous pourrions limiter le pouvoir de nuisance des MAR, nous ferions reconnaître notre Bac + 5, et nous serions officialisés comme plus haut niveau des professions infirmières ce qui serait monnayable.
j'émets tout de même quelques reserves...non de principe mais d'expérience des années passées, qui m'ont largement refroidies du côté espérance envers les rapports et leurs suites.
je souhaite me tromper.
:starwars:
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Quand j'évoque la puissance du corps infirmier ce n'est pas en terme de bataillons mais en termes de diversion.
Comme certains l'ont dit, les IADE ont souvent été à l'initiative de mouvements qui ont fait tâche d'huile dans la profession IDE. Donc, un gouvernement n'a pas besoin de vérifier si les IDE veulent ou non nous soutenir. Il lui suffit de savoir que nous mécontenter peut lui mettre toute la profession IDE sur le dos.
Si nous créons une profession à part dans le domaine paramédical nous n'échapperons pas pour autant à la puissance des MAR mais nous nous mettrons au même niveau que les kinés, les orthoptistes, etc qui savent très bien défendre leur steack.
Concernant l'anesthésie les MAR règnent en maître sur les rouages du pouvoir.
De même que les SF ne peuvent faire l'impasse sur les obstétriciens ou les Ibode sur les chirurgiens, il ne faut pas rêver que nous pourrons obtenir quoi que ce soit sans que les MAR ne donnent leur avis, surtout si nous ne sommes plus dans le corps infirmier.
Concernant les projets de création de "super infirmiers", je rappelle que dans mon hypothèse nous en serions et qu'il nous faudra faire valoir nos particularités - si nous les demandons et nous les obtenons. Au premier rang desquelles pourrait apparaître la capacité à assurer ad integrum des anesthésies ASA 1 pour des interventions simples. Alors, nous pourrions facilement comparer les risques et responsabilités différentes entre le suivi d'un diabétique ou d'un handicapé et ceux d'une anesthésie. Ce serait un moyen parmi tant d'autres pour justifier un différentiel de reconnaissance.
Comme certains l'ont dit, les IADE ont souvent été à l'initiative de mouvements qui ont fait tâche d'huile dans la profession IDE. Donc, un gouvernement n'a pas besoin de vérifier si les IDE veulent ou non nous soutenir. Il lui suffit de savoir que nous mécontenter peut lui mettre toute la profession IDE sur le dos.
Si nous créons une profession à part dans le domaine paramédical nous n'échapperons pas pour autant à la puissance des MAR mais nous nous mettrons au même niveau que les kinés, les orthoptistes, etc qui savent très bien défendre leur steack.
Concernant l'anesthésie les MAR règnent en maître sur les rouages du pouvoir.
De même que les SF ne peuvent faire l'impasse sur les obstétriciens ou les Ibode sur les chirurgiens, il ne faut pas rêver que nous pourrons obtenir quoi que ce soit sans que les MAR ne donnent leur avis, surtout si nous ne sommes plus dans le corps infirmier.
Concernant les projets de création de "super infirmiers", je rappelle que dans mon hypothèse nous en serions et qu'il nous faudra faire valoir nos particularités - si nous les demandons et nous les obtenons. Au premier rang desquelles pourrait apparaître la capacité à assurer ad integrum des anesthésies ASA 1 pour des interventions simples. Alors, nous pourrions facilement comparer les risques et responsabilités différentes entre le suivi d'un diabétique ou d'un handicapé et ceux d'une anesthésie. Ce serait un moyen parmi tant d'autres pour justifier un différentiel de reconnaissance.
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