Merci Mr Benisty pour vos remarques et vos précisions. Il est vrai que ce questionnaire est loin d'être parfait. Toutefois, il est le fruit d'une certaine réflexion, élaboré en collaboration avec un directeur de Memoire. C'est pourquoi, je voudrai éclaircir avec vous certains points.
Yves Benisty a écrit :Date limite : le 3 avril. Il est minuit et trois minutes, trop tard.
J'en suis désolée, meme s'il est en ligne depuis 3 semaines, je ne le fermerai que le 3 Avril à 23:59, ce qui vous laisse encore 21 heures et 59 minutes.
Il faut choisir vos guillemets. En français, on utilise les « chevrons sauvages », et pas les “quotes” anglais.
Merci de la précision, je tâcherai d'en informer les concepteurs de mon clavier informatique.
Il ne doit y avoir qu'une réponse possible. Là, je peux tout cocher. Ça n'est pas la seule question où il y a ce problème.
Effectivement, vous n'avez pas été la seule personne à me faire la remarque. Le fait de ne pas bloquer certaines réponses a été une erreur logistique. Cela transparaîtra dans mon analyse et fera parti des limites de ce support d'Enquête.
C'est à la mode, ce genre de questions ? On vous a expliqué l'histoire de la résistance au changement, et vous pensez l'évaluer sur le coin d'un formulaire ?
Non Mr Benisty, ce genre de questions n'est pas à la mode (à moins que l'on ne m'ait pas prévenu sur les nouvelles tendances EIADE 2016). Sachez que le thème des résistances aux changements est un sujet traité et abordé dans de nombreuses études. Il peut être abordé selon différents angles en fonction de la dimension accordée: elle peut être aussi bien sociale, psychologique que philosophique.
Mon travail, aborde l'aspect des résistances aux changements face à l'innovation technologique d'un point de vue psychosociale. Il s'appui sur les travaux de Kurt Lewin, GD Carton, ainsi que Céline Bareil. Je traite ainsi de la pupillometrie en montrant son intérêt dans la pratique de l'IADE, et dans celui du patient. Mais j'aborde également les limites à son utilisation, et c'est là qu'interviennent les résistances aux changements.
J'en convient qu'il me serait difficile d'évaluer "sur un coin de formulaire" cette notion. Toutefois, cela me permet de mettre en relation des théories abordées dans le cadre de référence. Et la "peur face au changement" est l'une des conséquences inéluctable engendrée par le changement, et est source de résistances. Meme si elle n'est pas le seul vecteur, elle aborde la perception individuelle (consciente et inconsciente) du soignant en accord avec ses croyances, son expérience, son ressenti.
D'où l'intérêt de ce genre de question, mais je suis consciente qu'il est parfois difficile d'appréhender la finalité d'un travail sans en avoir l'intégralité. C'est pourquoi je suis tout à fait disponible à vous transmettre mon travail une fois celui-ci finalisé.