Cher Confrère,
J’ai bien pris note des recommandations envoyées par le ministère de la Santé et je vous en remercie. Cependant, au vu de la constitution du vaccin grippe A, quelques doutes surgissent sur l’innocuité de ce vaccin rendu opérationnel « à la va-vite ». En effet, la liste est longue de vaccins préparés à la hâte, qui ont entraîné, une fois mis sur le marché, des conséquences humaines horribles. On peut citer le premier vaccin contre la peste porcine, les premiers vaccins contre la polio et contre la variole, plus récemment le vaccin contre l'anthrax, le vaccin contre l'hépatite B et le vaccin contre la maladie de Lyme, qui a handicapé près de 750.000 personnes en quelques mois, avant d'être retiré du marché par les autorités ! Si la majorité du corps médical ne remet pas en cause le bienfait des vaccinations, la frénésie d’innovation galopante des laboratoires pharmaceutiques à des fins purement commerciales, fait apparaître des produits dangereux que NOUS administrons ou prescrivons à nos patients. Pour triste mémoire, le VIOXX (élu médicament de l’année par les médecins français !) qui fut retiré du marché après avoir causé des milliers de décès dans le monde.
La plupart des gens ignorent que les vaccins comportent toute une série d'ingrédients qui sont potentiellement nuisibles pour la santé, voire mortels pour certains patients débilités.
On peut citer, parmi ces ingrédients, des produits chimiques toxiques comme le mercure, l'aluminium, le formaldéhyde et le formol (employés pour conserver les cadavres), des produits génétiques étrangers à l'homme, des protéines à haut risque issues de certaines espèces de bactéries, de virus ou d'animaux, et qui ont été scientifiquement associés au déclenchement de certaines maladies du système immunitaire ou de certains cancers. Nous disposons de plus en plus de faits scientifiques qui tendent à démontrer que les vaccins sont en grande partie responsables de nombreuses maladies, comme l'autisme, la fatigue chronique, la fibromyalgie, le lupus, la sclérose en plaques, l'arthrite rhumatoïde, l'asthme, le
rhume des foins, les infections chroniques de l'oreille, le diabète de type 1, et bien d'autres maladies encore.
J’en reviens au vaccin proposé pour la grippe A, le PANDEMRIX. La note informative stipule qu’il contient le virus H1N1 inactivé et des adjuvants : le squalène (10,69 mg) et 5 mcg de thiomersal.
Concernant la provenance de la souche virale, l’analyse exhaustive du virus montre qu'il contient des gènes du virus H1N1 original de la grippe de 1918, du virus de la grippe aviaire, et deux du nouveau virus H3N2 eurasien. Le débat se poursuit sur la possibilité d’assemblage par génie génétique de ce virus de grippe porcine par Baxter et Novartris. De par ma formation complémentaire en maladies infectieuses, je vous avoue ma crainte face à un tel cocktail !
Ce qui m’inquiète le plus, c'est que ces vaccins contiennent des ingrédients appelés adjuvants immunitaires, montrés par un certain nombre d'études à l’origine de désordres auto-immuns, incluant l'arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et le lupus :
- Le thiomersal, mercurothiolate sodique, à base de mercure, révélé récemment comme pouvant être à l’origine de cas d’autisme,
- Le squalène : la société Chiron, le fabricant du vaccin contre l'anthrax mortel, fabrique un adjuvant appelé MF-59 qui contient les deux principaux ingrédients préoccupants : le squalène et le gp120. Un certain nombre d'études ont montré que le squalène est capable de déclencher tous les désordres auto-immuns ci-dessus quand il est injecté.
Le Dr Russell Blaylock, neurochirurgien à l’Université de médicale du Mississipi et auteur de plusieurs ouvrages sur la neurotoxicité des excitotoxines et autres conservateurs chimiques, a établi un recueil impressionnant de cas d’effets secondaires graves après injection de vaccin contenant du squalène.Cf. son site :
www.russellblaylockmd.com)
Ceci m’interpelle, d’autant plus que l’OMS affirme sur son site l’innocuité de cet adjuvant (cf dossier joint).(
http://www.who.int/vaccine_safety/topic ... index.html). Qui croire ??
Le squalène dans les vaccins a été fortement lié au Syndrome de la Guerre du Golfe. En Août 1991, Antony Principi, Secrétaire pour les affaires des vétérans, a admis que des soldats vaccinés avec le vaccin contre l'anthrax de 1990 à 1991 avait eu un risque accru de 200% de développer une SLA, (Sclerose Laterale Amyotrophique. Les soldats ont également souffert d'un certain nombre de maladies handicapantes et réduisant leur espérance de vie, telles la polyartérite noueuse, la sclérose multiple ou sclérose en plaques(SEP), le lupus, la myélite transversale , l’endocardite, la névrite optique avec cécité et la glomérulonéphrite. Il démontre en fait que le squalène peut induire une hyper réaction du système immunitaire et provoquer une réaction auto immune, véritable risque d'une activation prolongée des cellules immunitaires du cerveau, les cellules de la microglie (cellules microgliales). Ce genre d'activation prolongée a été fortement associée à des maladies telles la Sclérose en Plaques, la maladie d'Alzheimer, la Sclérose Latérale Amyotrophique, et peut être aussi l'encéphalite liée à une vaccination. Il a été démontré que l'activation du système immunitaire systémique, comme cela se passe lors d'une vaccination, active rapidement en même temps la microglie du cerveau, et cette inflammation du cerveau peut persister pendant de longues périodes.
De même, comment le gp120 arriverait-il jusqu'au cerveau ? Des études d'autres adjuvants immunitaires utilisant des traceurs techniques précis ont montré qu'ils entrent habituellement dans le cerveau après vaccination. Ce que la plupart des gens ne savent pas, même les docteurs qui recommandent les vaccins, c'est que la plupart de ces études de ces firmes pharmaceutiques n'observent les patients que seulement pendant une ou deux semaines après la vaccination. Ce type de réaction peut prendre des mois ou même des années avant de se manifester.
Les résultats d´une étude publiée en 2000 dans l´ American Journal of Pathology ont montré qu´une seule injection de l´adjuvant scalène chez les rats provoquait « une inflammation spécifique et chronique des articulations » également connue sous le nom de polyarthrite rhumatoïde.
Les chercheurs ont conclu que cette étude soulevait des questions concernant le rôle des adjuvants dans les maladies inflammatoires chroniques.
Le système immunitaire reconnaît le scalène comme étant une molécule d´huile produite par notre propre corps. Elle se trouve partout dans le système nerveux et dans le cerveau. En réalité, il est possible de consommer du scalène dans de l´huile d´olive, mais il y est sous forme naturelle et absorbé par voie orale. La différence entre le « bon » et le « mauvais » scalène consiste dans la manière dont il est introduit dans l´organisme. L´injection est une voie d´entrée anormale qui incite le système immunitaire à s´attaquer à tous les scalènes présents dans l´organisme, et non pas seulement l´adjuvant du vaccin.
C´est ainsi que le système immunitaire de notre organisme tentera de détruire cette molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle s´est introduite naturellement et où elle est indispensable pour le système nerveux.
Le Département américain de la défense a fait toutes les tentatives pour nier le fait que le scalène était en effet une composante du vaccin contre le charbon administré au personnel militaire, déployé ou non, ayant pris part à la guerre du Golfe, ainsi qu´aux participants du récent Anthrax Vaccine Immunization Program (AVIP, programme d´immunisation contre le charbon).
Toutefois, la Federal Drug Administration a découvert la présence du scalène dans certains lots du produit AVIP. Un test a été mis au point en vue de détecter la présence des anticorps anti-scalènes chez le patient du GWS. Il a montré qu´il existe un lien entre le produit contaminé et tous les malades du GWS qui ont reçu des doses du vaccin contenant du scalène.
Selon le Dr Viera Scheibner, Ph.D, ancien « principle research scientist » auprès du gouvernement en Australie :
“… cet adjuvant (le scalène) a été à l´origine d´une cascade de réactions appelées « Syndrome de la Guerre du Golfe » observées chez les soldats impliqués dans la Guerre du Golfe.
Parmi les symptômes qu´ils ont développés, l´on peut retenir l´arthrite,la fibromyalgie, la lymphadénopathie, les éruptions cutanées, les éruptions photosensibles, les éruptions malaires en ailes de papillon, la fatigue chronique, les maux de tête chroniques, perte anormale de poils, les lésions cutanées incurables les ulcères aphteuses, les vertiges, l´asthénie, la perte de mémoire, les troubles neurologiques de la marche, les changements d´humeur, les problèmes neuropsychiatriques, les effets des anti-thyroïdiens, l´anémie, une vitesse de sédimentation globulaire (ESR) élevée, le lupus érythémateux systémique, la sclérose multiple, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), le phénomène de Raynaud, le syndrome de Sjorgren, la diarrhée chronique, les transpirations nocturnes et les températures subfébriles. »
Gary Matsumoto et d’autres chercheurs ont déclenché l’alarme pour avertir un maximum de personnes et leur conseiller d’éviter les poisons qui leur sont présentés comme des médicaments protecteurs. »
Gary Matsumoto est un journaliste new-yorkais qui fut plusieurs fois récompensé pour ses articles d’investigation. Dans son ouvrage de 2004 : « Vaccin A : l’expérience secrète du gouvernement tue nos soldats et explique pourquoi les GIs ne sont que les premières victimes ». Il conteste les résultats de l’IOM et marque son désaccord au démenti du Pentagone au sujet du syndrome de la guerre du Golfe.
Analysant le contexte obscur dans lequel les vaccinations se sont développées, il a fini par découvrir que les médecins et les scientifiques de l’armée avaient réalisé des expériences médicales secrètes sur des citoyens américains en violation du code de Nuremberg et de l’éthique médicale la plus fondamentale. Concernant l’expérimentation sur des êtres humains, le code de Nuremberg a établi des normes précises qui ont été reprises dans les directives de l’éthique médicale.
Ces normes exigent:
--Le consentement volontaire des sujets, et ce, en dehors de toute forme de coercition, fraude ou duperie, et avec la pleine connaissance des risques encourus.
--Les expérimentations devraient éviter « toute forme de souffrance physique, psychique inutile, ainsi que tout dommage quel qu’il soit. ».
--Les expérimentations ne devraient jamais être entreprises si, à priori, il existe des raisons de croire que des dommages, infirmités ou la mort pourraient s’ensuivre.
--Les risques ne devraient jamais être disproportionnés par rapport à l’importance du problème humanitaire à résoudre.
--Les expérimentations devraient immédiatement prendre fin s’il existe des raisons de croire que des dommages, des infirmités ou la mort pourraient s’ensuivre.
Quand Michael Whitehouse de la Faculté de médecine UCLA et Frances Beck ont injecté du squalène combiné à d’autres substances à des rats et des cobayes avant 1970, peu de ces substances huileuses avaient autant la capacité de provoquer de l’arthrite et de la sclérose en plaques chez les animaux.
En 1999 l’immunologiste Johnny Lorentzen de l’Institut suédois Karolinska a montré que l’injection de molécules apparemment banales comme le squalène et que l’on trouve dans le corps peut stimuler une réponse immunitaire auto-destructrice.
Il existe une étroite relation entre les maladies des animaux induites par le squalène et celles qui sont observées chez les humains auxquels ce produit est injecté : rhumatisme articulaire, sclérose en plaques et lupus érythémateux. ( « Il existe au minimum 24 études scientifiques (peer-reviewed) de dix laboratoires différents aux Etats-Unis, en Europe, en Asie et en Australie qui documentent le développement de maladies auto-immunes chez des animaux soumis à des injections comportant des adjuvants à base de squalène . (1)
Le Dr V.Scheibner qui a mené des recherches poussées sur les adjuvants des vaccins écrit : « le squalène a produit une cascade de réactions telles que : le syndrome de la guerre du Golfe, l’arthrite, la fibromyalgie, la lymphadénopathie, la fatigue chronique, les céphalées chroniques, la perte anormale de cheveux, des lésions de la peau qui ne guérissent pas, des ulcères, des vertiges, des pertes de mémoire, de modifications de l’humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des troubles thyroïdiens, de l’anémie, le lupus érythémateux, la sclérose en plaques, le syndrome de Sjorgen, de Raynaud, la diarrhée chronique, les transpirations nocturnes, de la fièvre (peu élevée)…
Une dernière information m’interroge : si ces adjuvants et ce vaccin sont si sûrs et dénués de risques sérieux, pourquoi la secrétaire d’état US à la santé, Kathleen Sebelius, et les gouvernements européens ont signé un décret conférant une totale immunité juridique aux fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire (de la part des victimes de ces vaccins, soit pour effets secondaires indésirables, soit pour décès) ?
L’épidémie d’une grippe connue comme bénigne justifie t’elle d’inoculer un vaccin comprenant autant d’inconnue et de risque ? Est-ce la grippe A ou les effets secondaires du vaccin qui est le plus dangereux, ou en tout cas le plus difficilement maîtrisable ?
En tout cas, déontologiquement parlant, je ne me vois pas non seulement en tant que médecin, obliger un patient à se faire vacciner avec un vaccin non fiabilisé et regroupant autant de critiques scientifiquement établies.
De plus, je serais alors en totale violation d’un droit constitutionnel. Je vous rappelle ci-après les lois qui protègent (fort heureusement !) chaque citoyen :
- En France, il ne peut exister d’obligation légale de vaccination.
— Toute obligation serait anticonstitutionnelle : Art. 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10-12-1948 : «Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne».
— Toute obligation serait contredite par le nouveau Code civil qui reconnaît le : «principe du respect de l’intégrité du corps humain».
— Toute obligation serait en contradiction avec : L’article 36 du Code de Déontologie
Médicale qui précise que : «Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes».
—Toute obligation serait contraire aux Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997, expliquant : « Information des Patients » : « Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».
—Toute obligation serait annulée d’office par la loi du 04 mars 2002, n°2002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique : «Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment». Il appartient donc à chacun d’accepter ou refuser, librement, cet acte médical qu’est une vaccination. Toute obligation de vaccination induit, pour tout opposant à cette vaccination, la notion de « Résistance à l’Oppression » (droit reconnu par la Constitution) et celle de « Légitime Défense » (qui ne limite pas le choix des moyens utilisables !).
Je tenais à vous faire partager ces informations et réflexions en toute confraternité, loin des divers intérêts politico-financiers, dont nous, médecins et soignants, en sommes souvent les abusés, tout autant que nos patients. C’est peut-être l’occasion de reprendre notre liberté de jugement et de prescription.
Bien confraternellement.
Dr Olivier ABOSSOLO
Anesthésiste Réanimateur
DU du SIDA
DU de Maladies Infectieuses et Tropicales