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Info et Faits Divers
Un médecin et un infirmier coupables de la mort d'une fillette Rorschach (CH)
Un médecin et un infirmier d'une clinique privée à Goldach (SG) ont été reconnus coupables d'homicide par négligence par le tribunal de district de Rorschach (SG). Les deux hommes avaient insuffisamment alimenté en oxygène une fillette de 6 ans.
Les faits s'étaient déroulés le 18 avril 2006. L'enfant est décédée lors d'une opération visant à lui enlever les amygdales. Quelques minutes après le début de l'intervention, il y a eu un problème avec l'anesthésie.
Le médecin anesthésiste, 50 ans, et l'infirmier anesthésiste, 53 ans, ont rapidement réagi sans toutefois pouvoir reprendre le contrôle de la situation. Selon une expertise, le tube respiratoire était placé dans le tube digestif au lieu de la trachée. La fillette est décédée sur la table d'opération
S'appuyant sur plusieurs expertises, le tribunal de Rorschach a estimé que les anesthésistes n'avait pas respecté leur devoir de diligence. Dès que les deux hommes ont remarqué les problèmes de respiration de la fillette, ils auraient dû interrompre immédiatement l'opération, écrit le tribunal de première instance.
Le médecin a été condamné à 75 jours-amende de 250 francs avec sursis. Quant à l'infirmier il a lui écopé de 25 jours-amende à 190 francs avec sursis.
Les deux accusés ont affirmé n'avoir commis aucune erreur et réclamaient l'acquittement. Avant l'accident, ils n'avaient travaillé que deux jours ensemble mais tous deux étaient dotés d'une grande expérience en anesthésie.
http://www.24heures.ch/depeches/actu/me ... t-fillette
Un médecin et un infirmier d'une clinique privée à Goldach (SG) ont été reconnus coupables d'homicide par négligence par le tribunal de district de Rorschach (SG). Les deux hommes avaient insuffisamment alimenté en oxygène une fillette de 6 ans.
Les faits s'étaient déroulés le 18 avril 2006. L'enfant est décédée lors d'une opération visant à lui enlever les amygdales. Quelques minutes après le début de l'intervention, il y a eu un problème avec l'anesthésie.
Le médecin anesthésiste, 50 ans, et l'infirmier anesthésiste, 53 ans, ont rapidement réagi sans toutefois pouvoir reprendre le contrôle de la situation. Selon une expertise, le tube respiratoire était placé dans le tube digestif au lieu de la trachée. La fillette est décédée sur la table d'opération
S'appuyant sur plusieurs expertises, le tribunal de Rorschach a estimé que les anesthésistes n'avait pas respecté leur devoir de diligence. Dès que les deux hommes ont remarqué les problèmes de respiration de la fillette, ils auraient dû interrompre immédiatement l'opération, écrit le tribunal de première instance.
Le médecin a été condamné à 75 jours-amende de 250 francs avec sursis. Quant à l'infirmier il a lui écopé de 25 jours-amende à 190 francs avec sursis.
Les deux accusés ont affirmé n'avoir commis aucune erreur et réclamaient l'acquittement. Avant l'accident, ils n'avaient travaillé que deux jours ensemble mais tous deux étaient dotés d'une grande expérience en anesthésie.
http://www.24heures.ch/depeches/actu/me ... t-fillette
Modifié en dernier par Nozinan le 26 avr. 2012, 17:37, modifié 1 fois.
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Le Dr Waismann désintoxique les opiomanes sous anesthésie en 36 heures
The Independent relate les méthodes de désintoxication utilisées par le Dr André Waismann, au Barzilai Medical Centre, en Israël, pour traiter sous anesthésie les opiomanes dépendants.
Waismann pense que ses méthodes offrent la procédure la plus humaine de traitement des drogués aux opiacées, qu’ils soit accrocs à l’héroïne ou aux anti-douleurs contenant de la codeïne.
Waismann et son équipe les « nettoient » de leur dépendance. Les nausées, vomissements, crampes d’estomac et fièvres associés au manque d’opiacés sont évitées et le patient qui est sous sédatifs durant le processus, se réveille sans besoin, ayant traversé la désintoxication. Pendant les dix prochains mois, il prendra régulièrement des pilules destinées à contrer les effets de tout opiacé qu’il pourrait prendre.
Waismann dit avoir traité avec succès 11.000 patients en 14 ans, et appelle sa technique ANR, ou accelerated neuro-regulation.
Dans sa clinique ANR, Waismann administre des médicaments couramment utilisés par les anesthésistes, afin de débarrasser les récepteurs des patients des opiacés, puis les bloque avec d’autres médicaments qui les rendent imperméables aux opiacés. Chaque patient est testé pour déterminé son niveau de dépendance et est alors placé sous sédatifs. Les médicaments sont administrés et constamment monitorés. Le patient ignore l’état de manque si pénible pour les toxicomanes. Après le traitement, il continue de prendre une dose régulière du médicament de « blocage », le Naltrexon, pendant 10 mois.
« Cette procédure dure 36 heures et après, le patient n’est plus dépendent et n’a pas de manque, » dit Waismann avec fierté.
http://www.jakouiller.com/2008/10/02/le ... 36-heures/
The Independent relate les méthodes de désintoxication utilisées par le Dr André Waismann, au Barzilai Medical Centre, en Israël, pour traiter sous anesthésie les opiomanes dépendants.
Waismann pense que ses méthodes offrent la procédure la plus humaine de traitement des drogués aux opiacées, qu’ils soit accrocs à l’héroïne ou aux anti-douleurs contenant de la codeïne.
Waismann et son équipe les « nettoient » de leur dépendance. Les nausées, vomissements, crampes d’estomac et fièvres associés au manque d’opiacés sont évitées et le patient qui est sous sédatifs durant le processus, se réveille sans besoin, ayant traversé la désintoxication. Pendant les dix prochains mois, il prendra régulièrement des pilules destinées à contrer les effets de tout opiacé qu’il pourrait prendre.
Waismann dit avoir traité avec succès 11.000 patients en 14 ans, et appelle sa technique ANR, ou accelerated neuro-regulation.
Dans sa clinique ANR, Waismann administre des médicaments couramment utilisés par les anesthésistes, afin de débarrasser les récepteurs des patients des opiacés, puis les bloque avec d’autres médicaments qui les rendent imperméables aux opiacés. Chaque patient est testé pour déterminé son niveau de dépendance et est alors placé sous sédatifs. Les médicaments sont administrés et constamment monitorés. Le patient ignore l’état de manque si pénible pour les toxicomanes. Après le traitement, il continue de prendre une dose régulière du médicament de « blocage », le Naltrexon, pendant 10 mois.
« Cette procédure dure 36 heures et après, le patient n’est plus dépendent et n’a pas de manque, » dit Waismann avec fierté.
http://www.jakouiller.com/2008/10/02/le ... 36-heures/
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Je connaissais cette méthode car je l'ai "vu" utiliser dans un épisode de Dr House!!!Nozinan a écrit :Le Dr Waismann désintoxique les opiomanes sous anesthésie en 36 heures
The Independent relate les méthodes de désintoxication utilisées par le Dr André Waismann, au Barzilai Medical Centre, en Israël, pour traiter sous anesthésie les opiomanes dépendants.
Waismann pense que ses méthodes offrent la procédure la plus humaine de traitement des drogués aux opiacées, qu’ils soit accrocs à l’héroïne ou aux anti-douleurs contenant de la codeïne.
Waismann et son équipe les « nettoient » de leur dépendance. Les nausées, vomissements, crampes d’estomac et fièvres associés au manque d’opiacés sont évitées et le patient qui est sous sédatifs durant le processus, se réveille sans besoin, ayant traversé la désintoxication. Pendant les dix prochains mois, il prendra régulièrement des pilules destinées à contrer les effets de tout opiacé qu’il pourrait prendre.
Waismann dit avoir traité avec succès 11.000 patients en 14 ans, et appelle sa technique ANR, ou accelerated neuro-regulation.
Dans sa clinique ANR, Waismann administre des médicaments couramment utilisés par les anesthésistes, afin de débarrasser les récepteurs des patients des opiacés, puis les bloque avec d’autres médicaments qui les rendent imperméables aux opiacés. Chaque patient est testé pour déterminé son niveau de dépendance et est alors placé sous sédatifs. Les médicaments sont administrés et constamment monitorés. Le patient ignore l’état de manque si pénible pour les toxicomanes. Après le traitement, il continue de prendre une dose régulière du médicament de « blocage », le Naltrexon, pendant 10 mois.
« Cette procédure dure 36 heures et après, le patient n’est plus dépendent et n’a pas de manque, » dit Waismann avec fierté.
http://www.jakouiller.com/2008/10/02/le ... 36-heures/
bon d'accord je sors


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Etats-Unis - Opéré pour une circoncision, il ressort sans pénis
L'Américain de 61 ans devait se faire circoncire pour des raisons médicales, mais son pénis aurait été amputé par le médecin alors que le patient était sous anesthésie.
Une plainte a été déposée à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital.
Les faits remontent à octobre dernier. Philip Seaton, un Américain de 61 ans, doit se faire opérer du pénis dans un hôpital du Kentucky. Plus exactement, l'homme doit se faire circoncire, pour des raisons médicales. Mais lorsque celui-ci se réveille, une tragique découverte l'attend : son pénis a été amputé.
Selon la plainte qu'il a déposé à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital où a eu lieu l'opération, Philip Seaton avait donné son accord pour une circoncision, mais pas pour que son pénis soit amputé, bien qu'un cancer ait été diagnostiqué.
"Des fois, vous avez une urgence et vous avez à le faire, mais le chirurgien pouvait très facilement le recoudre et lui dire "voilà les options que vous avez"", a expliqué l'avocat du plaignant à la chaîne de télévision locale WLKY. "La famille aurait alors dit qu'elle voulait l'avis d'un deuxième médecin." Pour l'heure, les accusés ne se sont pas encore exprimés.
http://tf1.lci.fr/infos/insolite/0,,410 ... enis-.html
L'Américain de 61 ans devait se faire circoncire pour des raisons médicales, mais son pénis aurait été amputé par le médecin alors que le patient était sous anesthésie.
Une plainte a été déposée à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital.
Les faits remontent à octobre dernier. Philip Seaton, un Américain de 61 ans, doit se faire opérer du pénis dans un hôpital du Kentucky. Plus exactement, l'homme doit se faire circoncire, pour des raisons médicales. Mais lorsque celui-ci se réveille, une tragique découverte l'attend : son pénis a été amputé.
Selon la plainte qu'il a déposé à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital où a eu lieu l'opération, Philip Seaton avait donné son accord pour une circoncision, mais pas pour que son pénis soit amputé, bien qu'un cancer ait été diagnostiqué.
"Des fois, vous avez une urgence et vous avez à le faire, mais le chirurgien pouvait très facilement le recoudre et lui dire "voilà les options que vous avez"", a expliqué l'avocat du plaignant à la chaîne de télévision locale WLKY. "La famille aurait alors dit qu'elle voulait l'avis d'un deuxième médecin." Pour l'heure, les accusés ne se sont pas encore exprimés.
http://tf1.lci.fr/infos/insolite/0,,410 ... enis-.html
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L'acupuncture améliorerait la récupération post-opératoire
Par Jean Etienne, Futura-Sciences
Selon une étude clinique, la pratique de l'acupuncture avant et durant une intervention chirurgicale réduirait significativement les risques d'effets secondaires liés à l'anesthésie.
"Tandis que les patients traités par acupuncture recevaient nettement moins d'opioïdes [des antalgiques, NDLR] que les autres, les résultats les plus importants ont été constatés au niveau de la réduction des effets secondaires", déclare Tong Joo Gan, anesthésiste de la Duke University Health System (Grande-Bretagne). Et d'ajouter que ces effets secondaires peuvent avoir une influence négative sur la récupération d'un patient et la durée de l'hospitalisation. Ce médecin vient de présenter les résultats de son analyse à la conférence scientifique annuelle de la société américaine d'anesthésiologie à San Francisco. Selon les auteurs de cette étude (qui a compilé quinze ensembles d'observations cliniques), la fréquence des nausées serait divisée par 1,5, les démangeaisons cutanées par 1,3, les vertiges par 1,6 et les problèmes de rétention urinaire par 3,5.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... ire_13258/
Par Jean Etienne, Futura-Sciences
Selon une étude clinique, la pratique de l'acupuncture avant et durant une intervention chirurgicale réduirait significativement les risques d'effets secondaires liés à l'anesthésie.
"Tandis que les patients traités par acupuncture recevaient nettement moins d'opioïdes [des antalgiques, NDLR] que les autres, les résultats les plus importants ont été constatés au niveau de la réduction des effets secondaires", déclare Tong Joo Gan, anesthésiste de la Duke University Health System (Grande-Bretagne). Et d'ajouter que ces effets secondaires peuvent avoir une influence négative sur la récupération d'un patient et la durée de l'hospitalisation. Ce médecin vient de présenter les résultats de son analyse à la conférence scientifique annuelle de la société américaine d'anesthésiologie à San Francisco. Selon les auteurs de cette étude (qui a compilé quinze ensembles d'observations cliniques), la fréquence des nausées serait divisée par 1,5, les démangeaisons cutanées par 1,3, les vertiges par 1,6 et les problèmes de rétention urinaire par 3,5.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... ire_13258/
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Anesthésie ciblée : les bienfaits d'une substance du piment rouge
Le principe des anesthésiques actuels est de bloquer les fonctions de tous les neurones. L'équipe de Bruce Bean de Harvard Medical school vient de publier un article dans la revue Nature du 4 octobre montrant qu'il est possible de cibler spécifiquement les neurones de la douleur en utilisant une substance, la capsaicine.
Dans cette étude, les chercheurs ont injecté une combinaison de capsaicine et de QX-314 (un dérivé de la lidocaine très utilisée dans les anesthésies locales) à proximité du nerf sciatique de rats. Cette combinaison a provoqué la perte de la sensibilité à la douleur (testée sur des surfaces chaudes), mais la capacité de mouvement est restée intacte. Les auteurs ont bon espoir que cette méthode puisse être prochainement utilisée chez l'homme.
Des travaux antérieurs ont montré que la capsaicine peut stimuler le système immunitaire, en activant les cellules dendritiques (présentatrices d'antigènes), et peut induire l'arrêt de la multiplication et l'apoptose des cellules tumorales.
La capsaicine est une substance du piment rouge qui est responsable de son effet " piquant ". La sensation de brûlure résulte de la liaison de cette substance avec des récepteurs appelés VR1 (vanilloid receptors) ou TRPV1 (transient receptor potenteil vanilloid) qui se trouvent à la surface des nerfs sensitifs périphériques (peau, langue,...) et du cerveau. La capsaicine possède une action biphasique : dans un premier temps, au contact des récepteurs, elle provoque une sensation de brûlure et de douleur, puis si le contact est prolongé, elle inhibe les récepteurs et entraîne un effet analgésique.
Cette caractéristique a amené des laboratoires pharmaceutiques américains à utiliser la capsaicine dans des crèmes locales pour soulager des douleurs arthrosiques et neurologiques.
http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /51425.htm
Le principe des anesthésiques actuels est de bloquer les fonctions de tous les neurones. L'équipe de Bruce Bean de Harvard Medical school vient de publier un article dans la revue Nature du 4 octobre montrant qu'il est possible de cibler spécifiquement les neurones de la douleur en utilisant une substance, la capsaicine.
Dans cette étude, les chercheurs ont injecté une combinaison de capsaicine et de QX-314 (un dérivé de la lidocaine très utilisée dans les anesthésies locales) à proximité du nerf sciatique de rats. Cette combinaison a provoqué la perte de la sensibilité à la douleur (testée sur des surfaces chaudes), mais la capacité de mouvement est restée intacte. Les auteurs ont bon espoir que cette méthode puisse être prochainement utilisée chez l'homme.
Des travaux antérieurs ont montré que la capsaicine peut stimuler le système immunitaire, en activant les cellules dendritiques (présentatrices d'antigènes), et peut induire l'arrêt de la multiplication et l'apoptose des cellules tumorales.
La capsaicine est une substance du piment rouge qui est responsable de son effet " piquant ". La sensation de brûlure résulte de la liaison de cette substance avec des récepteurs appelés VR1 (vanilloid receptors) ou TRPV1 (transient receptor potenteil vanilloid) qui se trouvent à la surface des nerfs sensitifs périphériques (peau, langue,...) et du cerveau. La capsaicine possède une action biphasique : dans un premier temps, au contact des récepteurs, elle provoque une sensation de brûlure et de douleur, puis si le contact est prolongé, elle inhibe les récepteurs et entraîne un effet analgésique.
Cette caractéristique a amené des laboratoires pharmaceutiques américains à utiliser la capsaicine dans des crèmes locales pour soulager des douleurs arthrosiques et neurologiques.
http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /51425.htm
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Re: Faits Divers
On baisse la lumière, on sort les briquets, et on chanteNozinan a écrit : Les faits s'étaient déroulés le 18 avril 2006. L'enfant est décédée lors d'une opération visant à lui enlever les amygdales. Quelques minutes après le début de l'intervention, il y a eu un problème avec l'anesthésie.
(...)Selon une expertise, le tube respiratoire était placé dans le tube digestif au lieu de la trachée. La fillette est décédée sur la table d'opération(...)
Les deux accusés ont affirmé n'avoir commis aucune erreur et réclamaient l'acquittement. (...)
"Weeee are the champions..."
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Agression sexuelle : le Propofol à la barre
Une patiente d’une clinique d’Essey-lès-Nancy a déposé plainte pour une agression sexuelle en salle de réveil.
Le Propofol a déjà fait parler de lui lors de la mort de Michael Jackson. Hier, cet anesthésique a occupé une bonne partie de l’audience du TGI de Nancy. Sur le banc des victimes, une jeune fille de 20 ans, sur celui des prévenus, un infirmier anesthésiste à six mois de la retraite. Le 1er septembre, la jeune fille subit une coloscopie sous anesthésie générale à la clinique Pasteur, puis elle est placée en salle de réveil sous la surveillance de deux infirmiers. Pendant son passage dans la salle, elle ressent des choses bizarres sur son corps et une vive douleur au niveau de son sexe. En ouvrant les yeux, elle voit le visage d’un infirmier.
Aveux circonstanciés
Quelques jours plus tard, elle se confie à sa mère et, par mail, demande à la clinique, si des patientes se sont déjà plaint de gestes déplacés de la part du personnel soignant. Elle dépose plainte un mois plus tard, contre l’infirmier en question. Son examen gynécologique ne montre rien.
En garde à vue, le soignant nie puis avoue lors de sa prolongation. «J’ai été conditionné par les policiers. Je voulais retrouver rapidement ma famille et mes deux enfants. » Il répète ses aveux devant le parquetier et le juge des libertés et de la détention. Depuis, il s’est ravisé.
Pour la substitut du procureur, l’infirmier est bien coupable. Elle s’appuie sur ses aveux «circonstanciés, aveux qui correspondent aux déclarations de la victime ». Elle réclame huit mois de prison avec sursis et une interdiction de soigner.
«Pourquoi ce geste déplacé à six mois de la retraite ?», interroge Me Massé, le conseil de l’infirmier. Il sort vingt-cinq attestations de collègues qui en disent le plus grand bien. Puis, l’avocat met le Propofol sur la table. «La littérature dit bien qu’avec cet anesthésique, les hallucinations post-opératoires à connotation sexuelle ne sont pas exceptionnelles. Le laboratoire qui le commercialise recommande de signaler les effets aux patients, à cause des risques d’implication légale. » Il plaide la relaxe. Décision le 27 novembre.
Publié le 14/11/2009
source : http://www.republicain-lorrain.fr/fr/pe ... barre.html
Une patiente d’une clinique d’Essey-lès-Nancy a déposé plainte pour une agression sexuelle en salle de réveil.
Le Propofol a déjà fait parler de lui lors de la mort de Michael Jackson. Hier, cet anesthésique a occupé une bonne partie de l’audience du TGI de Nancy. Sur le banc des victimes, une jeune fille de 20 ans, sur celui des prévenus, un infirmier anesthésiste à six mois de la retraite. Le 1er septembre, la jeune fille subit une coloscopie sous anesthésie générale à la clinique Pasteur, puis elle est placée en salle de réveil sous la surveillance de deux infirmiers. Pendant son passage dans la salle, elle ressent des choses bizarres sur son corps et une vive douleur au niveau de son sexe. En ouvrant les yeux, elle voit le visage d’un infirmier.
Aveux circonstanciés
Quelques jours plus tard, elle se confie à sa mère et, par mail, demande à la clinique, si des patientes se sont déjà plaint de gestes déplacés de la part du personnel soignant. Elle dépose plainte un mois plus tard, contre l’infirmier en question. Son examen gynécologique ne montre rien.
En garde à vue, le soignant nie puis avoue lors de sa prolongation. «J’ai été conditionné par les policiers. Je voulais retrouver rapidement ma famille et mes deux enfants. » Il répète ses aveux devant le parquetier et le juge des libertés et de la détention. Depuis, il s’est ravisé.
Pour la substitut du procureur, l’infirmier est bien coupable. Elle s’appuie sur ses aveux «circonstanciés, aveux qui correspondent aux déclarations de la victime ». Elle réclame huit mois de prison avec sursis et une interdiction de soigner.
«Pourquoi ce geste déplacé à six mois de la retraite ?», interroge Me Massé, le conseil de l’infirmier. Il sort vingt-cinq attestations de collègues qui en disent le plus grand bien. Puis, l’avocat met le Propofol sur la table. «La littérature dit bien qu’avec cet anesthésique, les hallucinations post-opératoires à connotation sexuelle ne sont pas exceptionnelles. Le laboratoire qui le commercialise recommande de signaler les effets aux patients, à cause des risques d’implication légale. » Il plaide la relaxe. Décision le 27 novembre.
Publié le 14/11/2009
source : http://www.republicain-lorrain.fr/fr/pe ... barre.html
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Révolté, l'homme aux 630 tortues contre-attaque
Révolté, l'homme aux 630 tortues contre-attaque
source : http://www.midilibre.com/articles/2011/ ... 17917.php5LES FAITS L'éleveur de Lignan- sur-Orb fait appel de sa condamnation à trois mois de prison avec sursis et 3 000 d'amende Via son conseil Me Le Coz, l'infirmier anesthésiste a interjeté appel, vendredi dernier, de sa condamnation pour détention sans autorisation d'animaux non domestiques, d'achat, capture dans la nature, importation et sévices graves à trois mois d'emprisonnement avec sursis et 3 000 d'amende.
Le 30 septembre 2008, les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage découvraient, dans le jardin de ce Lignanais et sur un terrain à Béziers, 630 tortues aquatiques ou terrestres, cinq iguanes, quatre paons, un cygne, un wallaby et une chouette hulotte.
L'avocat fait appel sur le fond mais aussi sur la procédure, dont il avait soulevé en
première instance une exception de nullité. « Je maintiens qu'un procès-verbal établi en juillet 2008 n'a pas été communiqué dans le délai imparti. Entaché de nullité, il annulerait la totalité de la procédure et notamment la perquisition en flagrance. »
Si l'infirmier admet l'absence de déclaration de certaines espèces, sachant que la législation est très complexe et varie selon les races, leurs zones de provenance et même d'élevage, il nie en revanche toutes les autres infractions. « Je n'ai jamais vendu d'animaux. Je vis cette passion depuis mon enfance, j'ai même quitté Grenoble pour faire mes études ici et m'installer dans un climat favorable pour mes tortues. » Qu'il possédait bien avant l'obligation de produire un certificat de capacité : « Depuis 2004, il faut ce certificat pour la détention de plus de six tortues ; en deçà, il faut une autorisation d'agrément. »
La loi de protection de 1978 avait déjà changé la donne : « Comme leur détention ne nécessitait aucune autorisation ni déclaration avant cette date, il faut prouver qu'on les détenait avant 1978. Le problème, c'est que les papiers d'identification à cette époque n'existaient pas et qu'on ne gardait pas les factures. »
Il n'empêche, le passionné a patiemment récolté les témoignages et attestations de dons : « D'autant que mon élevage ('collection', rectifie son avocat, NDLR) était connu du petit monde des amateurs de tortues ; je recevais même chez moi des membres des associations qui se sont constituées parties civiles ! »
L'infirmier a l'impression désagréable qu'on lui a planté un couteau dans le dos. « Pourquoi me poursuit-on aujourd'hui ? Je m'interroge sur les motivations de ces associations qui se disent naturalistes, auxquelles ont été confiées mes tortues. » Et de dénoncer les petites annonces, sur papier ou sur internet, de vente et d'achats de ces espèces, en toute impunité. Lui, en tout cas, dénonce une hypocrisie notoire : « Je me suis amusé à envoyer de 'faux' acheteurs lors d'expositions dans le Biterrois. Ils ont pu en acquérir sans problème et surtout sans qu'on leur fournisse le certificat intercommunautaire, qui fait office de carte d'identité de l'animal. »
Quant aux accusations de maltraitance : « Je me suis expliqué sur leur intoxication au désherbant, due à des salades traitées par le maraîcher chez qui je me fournis. Je me débats pour offrir à mes animaux des lieux favorables, il n'y a pas la promiscuité que l'on me reproche. » Il pourrait parler des heures de sa passion. « J'ai fait une formation en Corse pour obtenir la capacité mais mon dossier est suspendu à ce jugement. ».
Annick KOSCIELNIAK
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Re: Faits Divers
Oulaaaa, faut que je fasse gaffe, avec mes chats...D'ici à ce que je doive en référer au ministère de l'agriculture, ça en ferait un de plus pour notre prochaine manif!
Re: Faits Divers
Il est facile d'opposer ce genre de défense!!
Un passionné comme lui ne sait pas qu'il faut une capacité délivrée par la DDSV
Il sait pas que la chouette hulotte est une espèce protégée re
De plus certaines espèces de tortues sont interdites en France car,
en cas de retour à la nature elles entrent en compétition avec les autochtones sans compter les dégâts dans les cours d'eau en ce qui concerne les espèces amphibies.

Un passionné comme lui ne sait pas qu'il faut une capacité délivrée par la DDSV

Il sait pas que la chouette hulotte est une espèce protégée re

De plus certaines espèces de tortues sont interdites en France car,

Re: Faits Divers
oui mais mes bêtes n'iront pas se mélanger avec de vulgaires acariens du tout...
Morbac+5, c'est l'élite mon ami, ne l'oublions pas!
et il a peut être une chouette hulotte mais moi j'ai un pantalon sympa...introuvable, espèce très protégée!
Morbac+5, c'est l'élite mon ami, ne l'oublions pas!

et il a peut être une chouette hulotte mais moi j'ai un pantalon sympa...introuvable, espèce très protégée!
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Re: Faits Divers
les pandas courts bien entendu......
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Re: Faits Divers
Alors là, je me marre bien dans cette rubrique et j'apprécie votre humour à tous.
Re: Faits Divers
L'histoire ne dit pas si notre collègue apprécie aussi les tortues ninja!
Faut pas pousser!

Ah ben dorénavant le ministère a intérêt à être en con formité!Depuis 2004, il faut ce certificat pour la détention de plus de six tortues ; en deçà, il faut une autorisation d'agrément.
Faut pas pousser!

Re: Faits Divers
Pour ce type de tortues y a un problème y a que des mâles!
Génération spontanée??? Parthénogenèse?? Scissiparité??

Génération spontanée??? Parthénogenèse?? Scissiparité??

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Re: Faits Divers
y a que des males c'est toi qui le dit, qu'est qu'ils foutent dans leur caserne le soir..................le petit train