Dix entretiens, dix minutes par entretien, deux heures en comptant large. Ça ira beaucoup plus vite que par internet.willisse a écrit :il me faudrait encore une dizaine de reponses
[Enquête] Communication avec le patient
Modérateur : Marc
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Yves Benisty
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Yves Benisty
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Et vous avez tort, et je vous l'avais écrit. Mais continuez, vous pourrez dire ensuite que les iade sont des feignants qui ne répondent pas à votre questionnaire merveilleux (tiens, c'est curieux, je ne suis pas le seul à l'avoir critiqué...).willisse a écrit :peut etre mais ce ne sont pas des entretiens que je fais mais c'est un questionnaire que je propose!
Et moi, je pourrai vous dire "je vous l'avais bien dit...". C'est ma spécialité. Je m'excuse par avance d'avoir eu raison.
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Yves Benisty
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swan
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Yves Benisty
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Je voudrais citer ici quelques extraits de la prose de swan. Tout d'abord une personne qui nous méprise : qui méprise nos pratiques, nos revendications, nos connaissances, notre profession.
Sa prose indique également qu'il a un profond amour pour moi. Plusieurs de ses messages me sont destinés, c'est un peu comme s'il me marquait à la culotte.
Cher swan, je suis très touché par l'attention que vous me portez. Non, vraiment, ça me va droit au coeur. Vu le mépris que vous montrez pour notre profession, vous déplaire ne peut être qu'une satisfaction.
swan a écrit :à quand le doctorat de désinfection des locaux, doctorat de reconditionnement des tiroirs...
swan a écrit :une question que j'aurais aimé posé à notre chère ministre de la santé, qu'entend elle par "continuer vers un master ou doctorat"?
_"Bonjour je suis le nouveau Docteur"
_"vous pouvez faire les prescription en réa svp?"
_"ahhhh non je suis docteur mais docteur infirmier!"
swan a écrit :et pourtant, des centaines d'infirmiers extubent tous les jours...
swan a écrit :j'ai bien vu sur ce forum que différents "mouvements" avaient été abordés, cependant vu le manque de cohésion et d'unanimité dans vos revendications je doute fortement que la priorité soit de trouver un nom à votre "groupe" alors que vos idées ne sont pas claires...
swan a écrit :Pour répondre à minahouet, rien de plus facile que de "serrer" une infirmiere ou une IADE...
swan ne s'identifie pas, il ne donne pas son nom, son prénom et sa fonction. Mais tout laisse à penser qu'il est un mar.swan a écrit :je te rappelle juste que tu es un paramédical c'est tout.
Sa prose indique également qu'il a un profond amour pour moi. Plusieurs de ses messages me sont destinés, c'est un peu comme s'il me marquait à la culotte.
swan a écrit :el professor à toujours réponse à tout, que dis-je pas el professor mais el dios!!!
swan a écrit :c'est exact que sur ce forum seuls certains "professeurs" (qui se reconnaitront) donnent leur avis et il doit être accepté par tous...
swan a écrit :quelle prétention de la part de certains...
Il n'y a jamais de réponse à un argument. Juste une pique anonyme. Donc sans valeur.swan a écrit :la culture c'est comme la confiture....
moins on en a et plus on l'étale...
Cher swan, je suis très touché par l'attention que vous me portez. Non, vraiment, ça me va droit au coeur. Vu le mépris que vous montrez pour notre profession, vous déplaire ne peut être qu'une satisfaction.
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willisse
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merci d'attacher autant d'attention à mon choix d'outil! je ne doit pas battre de record en terme de reponse mais je remercie encore toutes celles et ceux qui y ont accordé quelques minutes pour faire avancer le schmilblic! une fois encore j'ai decidé de diffuser un questionnaire! chacun ses choix!Yves Benisty a écrit :Dépôt du questionnaire : 29 novembre. Nous sommes le 14 février. Combien de réponses ?
Combien de temps vous aurait-il fallu pour mener une dizaine d'entretiens ?
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swan
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voila l'exemple type de la mauvaise foi, prendre quelques phrases sorties de leur contexte pour tenter de manipuler les lecteurs...
pouvez vous M.Benisty, relire mes commentaires postés avec les commentaires précédents... peut être que le sens de mes propos auront un autre sens.
Cependant, je n'ai aucun mépris pour vous ou votre profession, mais seulement sur la manière dont vous répondez à certains commentaires qui me laisse penser de vous une certaine prétention et narcissisme.
pouvez vous M.Benisty, relire mes commentaires postés avec les commentaires précédents... peut être que le sens de mes propos auront un autre sens.
Cependant, je n'ai aucun mépris pour vous ou votre profession, mais seulement sur la manière dont vous répondez à certains commentaires qui me laisse penser de vous une certaine prétention et narcissisme.
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Eric Nounours
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Si je peux me permettre un simple avis dans un but non polémique, je dirai que ce travail de fin de formation devrait être pour les élèves une manière de montrer un certain recul sur leur situation.
Certes, l'expérience n'est rien d'autre qu'un rétroviseur que l'on ne peut utiliser que lorsqu'on a déjà parcouru le chemin, mais le fait d'être débutant ne devrait pas interdire de profiter — au moins partiellement — de l'expérience des autres.
Si chaque génération se fait un devoir de trébucher dans les mêmes ronces que la précédente, autant abandonner toute idée de progression de la profession en général.
Avant même de proposer un document, il serait judicieux que les élèves présentent leur projet et un proforma du document qu'ils veulent soumettre à notre attention afin que nous puissions leur proposer des adaptations en fonction des objectifs qu'ils formulent pour ce document.
Il est certain qu'une étude visant à confirmer un problème ne devra pas contenir les mêmes question qu'une visant à favoriser une résolution précise, etc.
Les vieux radotent et les jeunes ne savent pas de quoi ils parlent. Sur la base de ces clichés on passe à la trappe le fait que les vieux ont testés des solutions qu'ils ont validé pour leur efficacité et que les jeunes n'ont pas l'esprit encombré de vieilles lunes et qu'ils ont un regard neuf sur nos problèmes.
Le pire ennemi en toute circonstance est l'entêtement.
Corriger un travail mal ficelé n'est pas porter un jugement de fond sur son auteur mais un jugement de forme sur une méthodologie, forcément imparfaite puisque débutante. Accepter de reprendre son travail sur la base d'idées pertinente n'est pas céder à la dictature de vieillards mais s'assurer que le document proposé sera utile pour le travail qu'il va alimenter.
Demander des réponses écrites est utile quand un grand nombre de réponses est nécessaire à l'appréciation d'un point précis (sondage) mais nuisible quand un vécu est recherché, car l'entretien fait intervenir la parole et la communication non verbale qui sont des mines d'information dans ce cas.
Le choix du medium est fonction du résultat désiré et non de la charge de travail espérée.
Certes, l'expérience n'est rien d'autre qu'un rétroviseur que l'on ne peut utiliser que lorsqu'on a déjà parcouru le chemin, mais le fait d'être débutant ne devrait pas interdire de profiter — au moins partiellement — de l'expérience des autres.
Si chaque génération se fait un devoir de trébucher dans les mêmes ronces que la précédente, autant abandonner toute idée de progression de la profession en général.
Avant même de proposer un document, il serait judicieux que les élèves présentent leur projet et un proforma du document qu'ils veulent soumettre à notre attention afin que nous puissions leur proposer des adaptations en fonction des objectifs qu'ils formulent pour ce document.
Il est certain qu'une étude visant à confirmer un problème ne devra pas contenir les mêmes question qu'une visant à favoriser une résolution précise, etc.
Les vieux radotent et les jeunes ne savent pas de quoi ils parlent. Sur la base de ces clichés on passe à la trappe le fait que les vieux ont testés des solutions qu'ils ont validé pour leur efficacité et que les jeunes n'ont pas l'esprit encombré de vieilles lunes et qu'ils ont un regard neuf sur nos problèmes.
Le pire ennemi en toute circonstance est l'entêtement.
Corriger un travail mal ficelé n'est pas porter un jugement de fond sur son auteur mais un jugement de forme sur une méthodologie, forcément imparfaite puisque débutante. Accepter de reprendre son travail sur la base d'idées pertinente n'est pas céder à la dictature de vieillards mais s'assurer que le document proposé sera utile pour le travail qu'il va alimenter.
Demander des réponses écrites est utile quand un grand nombre de réponses est nécessaire à l'appréciation d'un point précis (sondage) mais nuisible quand un vécu est recherché, car l'entretien fait intervenir la parole et la communication non verbale qui sont des mines d'information dans ce cas.
Le choix du medium est fonction du résultat désiré et non de la charge de travail espérée.
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willisse
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et donc? c'est mon questionnaire qui est mal ficelé ou mon sujet qui n'interesse personne? aurai p'tetre du faire un sujet sue les lames de laryngo, le bis, les curares ça aurait p'tetre passionné plus de monde!! ma sensibilité d'infirmiere de réa s'est porté sur la communication avec le patient au bloc! c'est comme ça!! merci en tout cas pour cette analyse interessante!
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Eric Nounours
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Peut-être, plus simplement que ce type de sujet se prête moins à un recueil d'info de type sondage (questionnaire de masse) et plus à un recueil d'information personnalisé sous la forme de quelques entretiens. En discutant avec une dizaine de collègues tu pourrais recueillir leur vécu et leur ressenti d'une façon plus efficace que ne le permet un questionnaire.
La communication utilise plusieurs voies complémentaires. L'écrit est la première et la moins puissante. L'oral et le visuel sont les deux suivantes.
La communication utilise plusieurs voies complémentaires. L'écrit est la première et la moins puissante. L'oral et le visuel sont les deux suivantes.
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willisse
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je sais qu'un entretien serait peut etre plus riche en recueil d'information mais ça deja été fait et donc j'ai pensé que poser plusieurs questions à l'ecrit pouvait aussi bien me donner beaucoup d'informations ce qui est le cas d'ailleurs au vu des reponses qui m'ont ete deja données (encore merci pour vos reponses) 
