Alex, tu nous dis qu'un Master universitaire infirmier se monte sur Montpellier... Voilà une info hyper intéressante ! Comme tu le proposes, pourrais-tu stp obtenir un max d'infos à ce sujet ? Contenu, masse horaire, conditions d'accès, calendrier, type et lieu de formation, public etc ...
Peut-être y-a-t-il une comparaison à faire avec nos propres études. Si il y a des similitudes avec ce MASTER, on aura + de billes pour négocier la reconnaissance.
Ok, Nicolas, c'est avec plaisir qu'on va rapidement te faire parvenir une liste de quelques questions.
Heartbeat, si je ne m'abuse, le lien est le même que celui donné par Meaugeois un clic plus haut... Est-ce un bug ?
Pour en revenir au "brouillon" de la pétition que je propose plus haut, j'ai pour l'instant reçu des remarques assez positives. C'est sympa, mais je doute que ce "jet" soit parfait ! Aussi, peut-être auriez-vous quelques remarques à formuler ?
Et, selon vous, à qui devrions nous l'adresser ? Et quels moyens de diffusion devons nous envisager ?
Mobilisation des eleves IA pour la reconnaissance master
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Fonky SlammR
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Non c'est un survol trop rapide de ma part. Mea culpa.Fonky SlammR a écrit :
Heartbeat, si je ne m'abuse, le lien est le même que celui donné par Meaugeois un clic plus haut... Est-ce un bug ?
J'espère toutefois que le SNIA sera invité aux négociations. Quant au master infirmier, je vois pas trop comment il peut aboutir. Les IDE font 3 ans, c'est une licence et ils l'ont.
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Fonky SlammR
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Suite à quelques discussions fort productives, voici "l'actu pétition" ! lol
Sur les différents point à préciser :
---> le fond et la forme du texte : ils sont toujours ouverts au débat pour ceux qui souhaitent y apporter des modifications (voir quelques posts plus haut, page 10 de ce même sujet). On se laisse encore jusqu'à la fin de la semaine.
---> Où la diffuser ? Dans nos blocs/SMUR/ecoles/promos/SSPI... Mais pas seulement ! Il n'est pas nécessaire d'être IADE pour la signer !!! La signer est un acte citoyen... Donc tout citoyen qui soutient l'idée peut la signer : IADE bien sûr, mais aussi : IDE, cadres, AS, brancardiers, MAR (pk pas ? lol), etudiants infirmiers.... et pourquoi pas relations extra-professionnelles ? ! Il y a environ 7000 IADE + quelques centaines d'EIA, si chacun ramène 10 signatures, ça peut porter !
---> Où encore ? Sur le net... Nous pouvons ouvrir une pétition en ligne sur des sites spécialisés. On y bosse ;)
Ca permet d'ouvrir les possibilités de diffusion ! Pour que ce soit efficace, l'idée serait de placer cette info avec un lien ad hoc sur différents forum (infirmier.com, forum IADE, IBODE, Cadres, etc... mais aussi, pourquoi pas, site de l'ordre, des syndicats, des IBODE, des cadres, etc....)
---> Où "récupérer" les signatures ? Ben là, on a pas trop d'idées... Il faut trouver un moyen de collecter le résultat des pétitions locales afin de pouvoir présenter le résultat global au destinataire. Vaut-il mieux trouver une adresse, ouvrir une boite postale ... ?
---> à qui l'adresser ? Mieux vaut parler à Dieu qu'à ses saints, alors, notre Ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, sera un destinataire parfait.
---> comment ? Pas par la poste ! Afin d'éviter que cette pétition ne finisse directement dans la poubelle consacrée :'(
Optons plutôt pour une remise en mains propres ! Si nous mobilisons suffisamment de signataires, nous pouvons espérer rencontrer un haut fonctionnaire. Ainsi, la remise de la pétition peut immédiatement devenir un rdv au cours duquel entamer le débat autour de nos revendications. Une façon d'ouvrir le dialogue en pression douce...
C'est encore un peu tôt pour y penser, mais nous devrons alors constituer une petite délégation de volontaires (on réfléchira en temps voulu à sa composition représentative).
Le complément idéal à cette délégation serait qu'on se retrouve à quelques dizaines d'EIA et IADE à attendre la fin de ce rdv à l'extérieur du Ministère. Ca nous donnerait la possibilité d'intéresser et de convoquer les médias pour faire un communiqué de presse autour de nos revendications. Et nos délégués pourrait dire à Mme Bachelot - ou son représentant- "faites coucou par la fenetre y'a les journalistes" ! Lol
Voilà donc quelques idées... Qu'en pensez-vous ?
Sur les différents point à préciser :
---> le fond et la forme du texte : ils sont toujours ouverts au débat pour ceux qui souhaitent y apporter des modifications (voir quelques posts plus haut, page 10 de ce même sujet). On se laisse encore jusqu'à la fin de la semaine.
---> Où la diffuser ? Dans nos blocs/SMUR/ecoles/promos/SSPI... Mais pas seulement ! Il n'est pas nécessaire d'être IADE pour la signer !!! La signer est un acte citoyen... Donc tout citoyen qui soutient l'idée peut la signer : IADE bien sûr, mais aussi : IDE, cadres, AS, brancardiers, MAR (pk pas ? lol), etudiants infirmiers.... et pourquoi pas relations extra-professionnelles ? ! Il y a environ 7000 IADE + quelques centaines d'EIA, si chacun ramène 10 signatures, ça peut porter !
---> Où encore ? Sur le net... Nous pouvons ouvrir une pétition en ligne sur des sites spécialisés. On y bosse ;)
Ca permet d'ouvrir les possibilités de diffusion ! Pour que ce soit efficace, l'idée serait de placer cette info avec un lien ad hoc sur différents forum (infirmier.com, forum IADE, IBODE, Cadres, etc... mais aussi, pourquoi pas, site de l'ordre, des syndicats, des IBODE, des cadres, etc....)
---> Où "récupérer" les signatures ? Ben là, on a pas trop d'idées... Il faut trouver un moyen de collecter le résultat des pétitions locales afin de pouvoir présenter le résultat global au destinataire. Vaut-il mieux trouver une adresse, ouvrir une boite postale ... ?
---> à qui l'adresser ? Mieux vaut parler à Dieu qu'à ses saints, alors, notre Ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, sera un destinataire parfait.
---> comment ? Pas par la poste ! Afin d'éviter que cette pétition ne finisse directement dans la poubelle consacrée :'(
Optons plutôt pour une remise en mains propres ! Si nous mobilisons suffisamment de signataires, nous pouvons espérer rencontrer un haut fonctionnaire. Ainsi, la remise de la pétition peut immédiatement devenir un rdv au cours duquel entamer le débat autour de nos revendications. Une façon d'ouvrir le dialogue en pression douce...
C'est encore un peu tôt pour y penser, mais nous devrons alors constituer une petite délégation de volontaires (on réfléchira en temps voulu à sa composition représentative).
Le complément idéal à cette délégation serait qu'on se retrouve à quelques dizaines d'EIA et IADE à attendre la fin de ce rdv à l'extérieur du Ministère. Ca nous donnerait la possibilité d'intéresser et de convoquer les médias pour faire un communiqué de presse autour de nos revendications. Et nos délégués pourrait dire à Mme Bachelot - ou son représentant- "faites coucou par la fenetre y'a les journalistes" ! Lol
Voilà donc quelques idées... Qu'en pensez-vous ?
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Fonky SlammR
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Nicolas4575, tu nous disais que tu vas avoir Mme Saget au téléphone mercredi soir. Aussi, nous proposais-tu de te transmettre des questions si nous en avions. Cest mon cas ;) Toutefois, plutôt que de te les transmettre par MP, je les formule ici afin que nous puissions publier un compte-rendu des réponses du SNIA, dans la mesure ou sa Présidente nous y autoriserait.
1) Quels sont les chantiers sur lesquels le SNIA travaille actuellement ? Et de quelle façon ?
2) Quelles sont les revendications actuelles du SNIA ?
3) Nous avons, comme tu le sais, un projet de pétition pour la reconnaissance de nos études au niveau bac+5/Master. Le SNIA soutient-il cette démarche ? Et si oui, serait-il envisageable de réfléchir à une éventuelle action menée ensemble le jour où cette pétition serait remise au ministère ?
Merci de transmettre cces quelques interrogations...
1) Quels sont les chantiers sur lesquels le SNIA travaille actuellement ? Et de quelle façon ?
2) Quelles sont les revendications actuelles du SNIA ?
3) Nous avons, comme tu le sais, un projet de pétition pour la reconnaissance de nos études au niveau bac+5/Master. Le SNIA soutient-il cette démarche ? Et si oui, serait-il envisageable de réfléchir à une éventuelle action menée ensemble le jour où cette pétition serait remise au ministère ?
Merci de transmettre cces quelques interrogations...
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Fonky SlammR
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Grâce aux réactions de chacun, le "brouillon" du projet de pétition avance. Voici donc la mouture actuelle :
" Comme vous le savez, le gouvernement vient de reconnaître le Diplôme d'État d'infirmier au grade Licence. Cette reconnaissance longtemps attendue va aboutir à des négociations salariales dans les mois à venir et à l'accès en catégorie A de la Fonction Publique Hospitalière pour les infirmiers Diplômés d'État.
Nonobstant cette avancée dans la légitimation de la profession infirmière, aucune répercussion n'est envisagée pour les infirmiers spécialisés ayant effectué des études au-delà de cette formation initiale.
Néanmoins, un infirmier diplômé d'état qui se spécialise en anesthésie va devoir effectuer 24 mois d'études supplémentaires afin d'obtenir le Diplôme d'État d'infirmier anesthésiste.
Ces deux années d'études à temps plein sont réparties en 700 heures d'enseignements théoriques, pratiques et dirigés, 70 semaines de stage, 4 semaines de travail personnel et 10 semaines de congés annuels. La finalité de ces deux années de spécialisation est de conférer à l'infirmier anesthésiste diplômé d'état les compétences nécessaires à l'exclusivité de son exercice définies selon l'article R. 4311-12 du Livre III des parties IV et V du Code de la santé publique.
Entre sa formation initiale et sa spécialisation, un infirmier anesthésiste diplômé d'État a donc effectué un total de 5 années d'études avant de pouvoir exercer son métier. En bonne concordance, nous demandons à ce que ces deux années d'études de spécialisation soient reconnues à leur juste valeur.
C'est ainsi que nous réclamons la reconnaissance au niveau BAC+5, c'est à dire au niveau MASTER, pour tous les infirmiers anesthésistes diplômés d'état.
Merci de soutenir cette demande par vos signatures. "
Comme pour la précédente, n'hésitez pas à venir commenter, critiquer ou soutenir cette nouvelle version.
" Comme vous le savez, le gouvernement vient de reconnaître le Diplôme d'État d'infirmier au grade Licence. Cette reconnaissance longtemps attendue va aboutir à des négociations salariales dans les mois à venir et à l'accès en catégorie A de la Fonction Publique Hospitalière pour les infirmiers Diplômés d'État.
Nonobstant cette avancée dans la légitimation de la profession infirmière, aucune répercussion n'est envisagée pour les infirmiers spécialisés ayant effectué des études au-delà de cette formation initiale.
Néanmoins, un infirmier diplômé d'état qui se spécialise en anesthésie va devoir effectuer 24 mois d'études supplémentaires afin d'obtenir le Diplôme d'État d'infirmier anesthésiste.
Ces deux années d'études à temps plein sont réparties en 700 heures d'enseignements théoriques, pratiques et dirigés, 70 semaines de stage, 4 semaines de travail personnel et 10 semaines de congés annuels. La finalité de ces deux années de spécialisation est de conférer à l'infirmier anesthésiste diplômé d'état les compétences nécessaires à l'exclusivité de son exercice définies selon l'article R. 4311-12 du Livre III des parties IV et V du Code de la santé publique.
Entre sa formation initiale et sa spécialisation, un infirmier anesthésiste diplômé d'État a donc effectué un total de 5 années d'études avant de pouvoir exercer son métier. En bonne concordance, nous demandons à ce que ces deux années d'études de spécialisation soient reconnues à leur juste valeur.
C'est ainsi que nous réclamons la reconnaissance au niveau BAC+5, c'est à dire au niveau MASTER, pour tous les infirmiers anesthésistes diplômés d'état.
Merci de soutenir cette demande par vos signatures. "
Comme pour la précédente, n'hésitez pas à venir commenter, critiquer ou soutenir cette nouvelle version.
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kaaron
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- Année de diplôme IADE : 2010
- Localisation : Lyon
Salut Fred,
perso j'ai pas eu trop le temps de m'y pencher ces derniers temps mais juste pour dire qu'on ne peut pas mettre que "rien n'est envisagé pour les spécialisés" car les discussions sont prévues, voire déjà entamées, on sait pas trop... il vaut mieux mettre un truc genre "des discussions sont à venir, bla bla, et nous devons donc rester vigilants en réclamant le grade master" ou un truc dans le style.
M'enfin c'est mon avis.
perso j'ai pas eu trop le temps de m'y pencher ces derniers temps mais juste pour dire qu'on ne peut pas mettre que "rien n'est envisagé pour les spécialisés" car les discussions sont prévues, voire déjà entamées, on sait pas trop... il vaut mieux mettre un truc genre "des discussions sont à venir, bla bla, et nous devons donc rester vigilants en réclamant le grade master" ou un truc dans le style.
M'enfin c'est mon avis.
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kris
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Comme vous le savez, le gouvernement vient de reconnaître le Diplôme d'État d'infirmier au grade Licence. Cette reconnaissance légitime, longtemps attendue va aboutir à des négociations salariales dans les mois à venir et à l'accès en catégorie A de la Fonction Publique Hospitalière pour les infirmiers Diplômés d'État.
A ce jour, à notre connaissance, aucune mention concernant le reclassement des les infirmiers spécialisés n'est envisagée .
Nous rappelons à votre bon souvenir le parcours d’un infirmier anesthesiste diplomé d’etat (IADE)
Après un parcours professionnel obligatoire de deux ans minimun en tant qu’infirmier diplômé d'état (IDE) :
un infirmier qui se spécialise en anesthésie va devoir effectuer 24 mois d'études supplémentaires afin d'obtenir le Diplôme d'État d'infirmier anesthésiste.
Ces deux années d'études à temps plein sont réparties en 700 heures d'enseignements théoriques, pratiques et dirigés, 70 semaines de stage, 4 semaines de travail personnel et 10 semaines de congés annuels. La finalité de ces deux années de spécialisation est de conférer à l'infirmier anesthésiste diplômé d'état les compétences nécessaires à l'exclusivité de son exercice définies selon l'article R. 4311-12 du Livre III des parties IV et V du Code de la santé publique.
Entre sa formation initiale et sa spécialisation, un infirmier anesthésiste diplômé d'État a donc effectué un total de plus de 5 années d'études avant de pouvoir exercer son métier. Il devient alors un infirmier hautement spécialisé en anesthésie et réanimation.
Cette qualification (IADE) fait des hommes et des femmes qui composent ce corps de métier les collaborateurs incontournables des médecins anesthésistes, de la sécurité lors du déroulement de l’anesthésie.
Nous sommes en catégorie A.
Or,vous avez décidé que les infirmières non spécialisée passerait en catégorie A.
Aussi nos questionnement, nos inquiètudes se focalisent sur l’avenir de notre profession d’infirmiers spécialisés.
Nous estimons, suite à ce parcours difficile de plus de 5 années d’études, avoir une certaine légitimité pour vous demander une reconnaissance de niveau Master.
Nous vous demandons donc de nous faire part de votre réflexion quant au devenir de notre profession.
veuillez recevoir madame la Ministre nos respectueuses……
kris
A ce jour, à notre connaissance, aucune mention concernant le reclassement des les infirmiers spécialisés n'est envisagée .
Nous rappelons à votre bon souvenir le parcours d’un infirmier anesthesiste diplomé d’etat (IADE)
Après un parcours professionnel obligatoire de deux ans minimun en tant qu’infirmier diplômé d'état (IDE) :
un infirmier qui se spécialise en anesthésie va devoir effectuer 24 mois d'études supplémentaires afin d'obtenir le Diplôme d'État d'infirmier anesthésiste.
Ces deux années d'études à temps plein sont réparties en 700 heures d'enseignements théoriques, pratiques et dirigés, 70 semaines de stage, 4 semaines de travail personnel et 10 semaines de congés annuels. La finalité de ces deux années de spécialisation est de conférer à l'infirmier anesthésiste diplômé d'état les compétences nécessaires à l'exclusivité de son exercice définies selon l'article R. 4311-12 du Livre III des parties IV et V du Code de la santé publique.
Entre sa formation initiale et sa spécialisation, un infirmier anesthésiste diplômé d'État a donc effectué un total de plus de 5 années d'études avant de pouvoir exercer son métier. Il devient alors un infirmier hautement spécialisé en anesthésie et réanimation.
Cette qualification (IADE) fait des hommes et des femmes qui composent ce corps de métier les collaborateurs incontournables des médecins anesthésistes, de la sécurité lors du déroulement de l’anesthésie.
Nous sommes en catégorie A.
Or,vous avez décidé que les infirmières non spécialisée passerait en catégorie A.
Aussi nos questionnement, nos inquiètudes se focalisent sur l’avenir de notre profession d’infirmiers spécialisés.
Nous estimons, suite à ce parcours difficile de plus de 5 années d’études, avoir une certaine légitimité pour vous demander une reconnaissance de niveau Master.
Nous vous demandons donc de nous faire part de votre réflexion quant au devenir de notre profession.
veuillez recevoir madame la Ministre nos respectueuses……
kris
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nicolas4575
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Tartiflette
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Fonky SlammR
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Hello !
Kaaron, t'as un peu raison ... Mieux vaut la jouer "honnête".
Kris, tu nous fais une super contribution !!! Splendide !!! Merci. Je crois que tu as en effet trouvé le "chaînon manquant" de cette pétition. Chapeau bas ! Y'a juste la fin que, personnellement, je modifierais un peu histoire de rester + dans un esprit pétition que courrier... Et peut-être un chouïa la forme, puisqu'on est censé s'adresser en quelque sorte tout autant aux signataires qu'au ministère.
Tartiflette is back ! Tu nous as pas habitué à parler sans mitraillettes... Limite ça nous choque !!! lol ! T'as l'air prête à fédérer du monde autour de cette pétition dans le 13 ! Represent ;)
J'viens donc de me creuser les méninges pour essayer de faire un mix de ces excellentes idées. A lire ci dessous. Bien évidemment améliorable, critiquable, etc etc...
A plus !
" Comme vous le savez, le gouvernement vient de reconnaître le Diplôme d'État d'infirmier au grade Licence. Cette reconnaissance légitime, longtemps attendue, va aboutir dans les mois à venir à des négociations salariales et à l'accès en catégorie A de la Fonction Publique Hospitalière pour les infirmiers Diplômés d'État.
A ce jour et à notre connaissance, aucune annonce n'a été faite au sujet du reclassement des infirmiers spécialisés ayant effectué des études au-delà de cette formation initiale.
Nous rappelons à votre bon souvenir le parcours d’un infirmier anesthésiste diplômé d’État. Après un parcours professionnel obligatoire de deux ans minimum en tant qu'infirmier diplômé d'État, un infirmier qui se spécialise en anesthésie va devoir effectuer 24 mois d'études supplémentaires afin d'obtenir le Diplôme d'État d'infirmier anesthésiste. Ces deux années d'études à temps plein sont réparties en 700 heures d'enseignements théoriques, pratiques et dirigés, 70 semaines de stage, 4 semaines de travail personnel et 10 semaines de congés annuels. La finalité de ces deux années de spécialisation est de conférer à l'infirmier anesthésiste diplômé d'état les compétences nécessaires à l'exclusivité de son exercice définies selon l'article R. 4311-12 du Livre III des parties IV et V du Code de la santé publique.
Entre sa formation initiale et sa spécialisation, un infirmier anesthésiste diplômé d'État a donc effectué un total de plus de 5 années d'études avant de pouvoir exercer son métier. Études exigeantes à l'issue desquelles, il devient un infirmier hautement spécialisé en anesthésie et réanimation. Cette haute qualification en anesthésie fait des hommes et des femmes qui composent ce corps de métier les collaborateurs incontournables des médecins anesthésistes, et des acteurs essentiels de la sécurité lors du déroulement de l’anesthésie.
Les infirmiers anesthésistes diplômés d'État sont actuellement classés en catégorie A. Comme nous vous le rappelions, le gouvernement a décidé que les infirmiers non spécialisés passeraient en catégorie A. Notre questionnement porte donc sur le statut et l’avenir de notre profession d’infirmiers spécialisés. En effet, suite à ce parcours difficile de plus de 5 années d’études, nous estimons avoir toute légitimité pour obtenir une reconnaissance au niveau MASTER.
C'est ainsi que nous, signataires de cette pétition, réclamons la reconnaissance au niveau BAC+5, c'est à dire au niveau MASTER, pour tous les infirmiers anesthésistes diplômés d'État.
Merci de soutenir cette demande par vos signatures. "
Kaaron, t'as un peu raison ... Mieux vaut la jouer "honnête".
Kris, tu nous fais une super contribution !!! Splendide !!! Merci. Je crois que tu as en effet trouvé le "chaînon manquant" de cette pétition. Chapeau bas ! Y'a juste la fin que, personnellement, je modifierais un peu histoire de rester + dans un esprit pétition que courrier... Et peut-être un chouïa la forme, puisqu'on est censé s'adresser en quelque sorte tout autant aux signataires qu'au ministère.
Tartiflette is back ! Tu nous as pas habitué à parler sans mitraillettes... Limite ça nous choque !!! lol ! T'as l'air prête à fédérer du monde autour de cette pétition dans le 13 ! Represent ;)
J'viens donc de me creuser les méninges pour essayer de faire un mix de ces excellentes idées. A lire ci dessous. Bien évidemment améliorable, critiquable, etc etc...
A plus !
" Comme vous le savez, le gouvernement vient de reconnaître le Diplôme d'État d'infirmier au grade Licence. Cette reconnaissance légitime, longtemps attendue, va aboutir dans les mois à venir à des négociations salariales et à l'accès en catégorie A de la Fonction Publique Hospitalière pour les infirmiers Diplômés d'État.
A ce jour et à notre connaissance, aucune annonce n'a été faite au sujet du reclassement des infirmiers spécialisés ayant effectué des études au-delà de cette formation initiale.
Nous rappelons à votre bon souvenir le parcours d’un infirmier anesthésiste diplômé d’État. Après un parcours professionnel obligatoire de deux ans minimum en tant qu'infirmier diplômé d'État, un infirmier qui se spécialise en anesthésie va devoir effectuer 24 mois d'études supplémentaires afin d'obtenir le Diplôme d'État d'infirmier anesthésiste. Ces deux années d'études à temps plein sont réparties en 700 heures d'enseignements théoriques, pratiques et dirigés, 70 semaines de stage, 4 semaines de travail personnel et 10 semaines de congés annuels. La finalité de ces deux années de spécialisation est de conférer à l'infirmier anesthésiste diplômé d'état les compétences nécessaires à l'exclusivité de son exercice définies selon l'article R. 4311-12 du Livre III des parties IV et V du Code de la santé publique.
Entre sa formation initiale et sa spécialisation, un infirmier anesthésiste diplômé d'État a donc effectué un total de plus de 5 années d'études avant de pouvoir exercer son métier. Études exigeantes à l'issue desquelles, il devient un infirmier hautement spécialisé en anesthésie et réanimation. Cette haute qualification en anesthésie fait des hommes et des femmes qui composent ce corps de métier les collaborateurs incontournables des médecins anesthésistes, et des acteurs essentiels de la sécurité lors du déroulement de l’anesthésie.
Les infirmiers anesthésistes diplômés d'État sont actuellement classés en catégorie A. Comme nous vous le rappelions, le gouvernement a décidé que les infirmiers non spécialisés passeraient en catégorie A. Notre questionnement porte donc sur le statut et l’avenir de notre profession d’infirmiers spécialisés. En effet, suite à ce parcours difficile de plus de 5 années d’études, nous estimons avoir toute légitimité pour obtenir une reconnaissance au niveau MASTER.
C'est ainsi que nous, signataires de cette pétition, réclamons la reconnaissance au niveau BAC+5, c'est à dire au niveau MASTER, pour tous les infirmiers anesthésistes diplômés d'État.
Merci de soutenir cette demande par vos signatures. "
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Yves Benisty
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- Enregistré le : 27 mars 2004, 16:39
- Localisation : ici
Cette expression n'est pas adaptée.Les auteurs réunis de la grande famille Laryngo, dans un commun effort, a écrit : Nous rappelons à votre bon souvenir
Je n'aime pas cette formulation, mais bon si tout le monde aime...Les auteurs réunis de la grande famille Laryngo, dans un commun effort, a écrit :Après un parcours professionnel obligatoire de deux ans minimum en tant qu'infirmier diplômé d'État
Il y a un problème pour la place de la virgule. "Hautement" n'est peut-être pas indispensable...Les auteurs réunis de la grande famille Laryngo, dans un commun effort, a écrit :Études exigeantes à l'issue desquelles, il devient un infirmier hautement spécialisé en anesthésie et réanimation
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kaaron
- Donateur laryngo 2009
- Messages : 501
- Enregistré le : 12 nov. 2007, 03:14
- Année de diplôme IADE : 2010
- Localisation : Lyon
Oui le "obligatoire" fait un peu "purgatoire"... Après un parcours initial de 2 ans minimum ?Yves Benisty a écrit :Je n'aime pas cette formulation, mais bon si tout le monde aime...Les auteurs réunis de la grande famille Laryngo, dans un commun effort, a écrit :Après un parcours professionnel obligatoire de deux ans minimum en tant qu'infirmier diplômé d'État
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Yves Benisty
- Messages : 2388
- Enregistré le : 27 mars 2004, 16:39
- Localisation : ici
Après avoir exercé au moins deux ans, l'infirmier(e) qui souhaite se spécialiser entre sur concours en formation pour une durée de deux ans.
[...]
Au total, l'infirmier anesthésiste diplômé d'État (iade) a bénéficié d'une formation exigeante, théorique et pratique. Cette formation fait de l'iade un acteur incontournable de l'anesthésie en France.
[...]
Au total, l'infirmier anesthésiste diplômé d'État (iade) a bénéficié d'une formation exigeante, théorique et pratique. Cette formation fait de l'iade un acteur incontournable de l'anesthésie en France.
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Fonky SlammR
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Merci de participer à l'amélioration du texte ! A mon humble avis, vos remarques sont justes.
J'ai tenté une synthèse des suggestions des auteurs réunis de la grande famille Laryngo (lol ! merci Yves pour cette jolie tournure)... La voici :
" Comme vous le savez, le gouvernement vient de reconnaître le Diplôme d'État d'infirmier au grade Licence. Cette reconnaissance légitime, longtemps attendue, va aboutir dans les mois à venir à des négociations salariales et à l'accès en catégorie A de la Fonction Publique Hospitalière pour les infirmiers Diplômés d'État.
A ce jour et à notre connaissance, aucune annonce n'a été faite au sujet du reclassement des infirmiers spécialisés ayant effectué des études au-delà de cette formation initiale.
Pour mémoire, nous vous précisons le parcours d’un infirmier anesthésiste diplômé d’État.
Après avoir exercé au moins deux ans, l'infirmier(e) qui souhaite se spécialiser en anesthésie entre sur concours en formation pour une durée de 24 mois. Ces deux années supplémentaires d'études à temps plein sont réparties en 700 heures d'enseignements théoriques, pratiques et dirigés, 70 semaines de stage, 4 semaines de travail personnel et 10 semaines de congés annuels.
La finalité de ces deux années de spécialisation est de conférer à l'infirmier anesthésiste diplômé d'état les compétences nécessaires à l'exclusivité de son exercice définies selon l'article R. 4311-12 du Livre III des parties IV et V du Code de la santé publique.
Entre sa formation initiale et sa spécialisation, un infirmier anesthésiste diplômé d'État a donc effectué un total de plus de 5 années d'études avant de pouvoir exercer son métier. Au total, l'infirmier anesthésiste diplômé d'État a bénéficié d'une formation théorique et pratique exigeante qui en fait un acteur incontournable de l'anesthésie en France. Cette qualification en anesthésie fait des hommes et des femmes qui composent ce corps de métier les collaborateurs incontournables des médecins anesthésistes, et des acteurs essentiels de la sécurité lors du déroulement de l’anesthésie.
Les infirmiers anesthésistes diplômés d'État sont actuellement classés en catégorie A. Comme nous vous le rappelions, le gouvernement a décidé que les infirmiers non spécialisés passeraient en catégorie A. Notre questionnement porte donc sur le statut et l’avenir de notre profession d’infirmiers spécialisés. En effet, suite à ce parcours difficile de plus de 5 années d’études, nous estimons avoir toute légitimité pour obtenir une reconnaissance au niveau MASTER.
C'est ainsi que nous, signataires de cette pétition, réclamons la reconnaissance au niveau BAC+5, c'est à dire au niveau MASTER, pour tous les infirmiers anesthésistes diplômés d'État.
Merci de soutenir cette demande par vos signatures. "
Comme d'hab, à critiquer, améliorer, etc.... ;)
J'ai tenté une synthèse des suggestions des auteurs réunis de la grande famille Laryngo (lol ! merci Yves pour cette jolie tournure)... La voici :
" Comme vous le savez, le gouvernement vient de reconnaître le Diplôme d'État d'infirmier au grade Licence. Cette reconnaissance légitime, longtemps attendue, va aboutir dans les mois à venir à des négociations salariales et à l'accès en catégorie A de la Fonction Publique Hospitalière pour les infirmiers Diplômés d'État.
A ce jour et à notre connaissance, aucune annonce n'a été faite au sujet du reclassement des infirmiers spécialisés ayant effectué des études au-delà de cette formation initiale.
Pour mémoire, nous vous précisons le parcours d’un infirmier anesthésiste diplômé d’État.
Après avoir exercé au moins deux ans, l'infirmier(e) qui souhaite se spécialiser en anesthésie entre sur concours en formation pour une durée de 24 mois. Ces deux années supplémentaires d'études à temps plein sont réparties en 700 heures d'enseignements théoriques, pratiques et dirigés, 70 semaines de stage, 4 semaines de travail personnel et 10 semaines de congés annuels.
La finalité de ces deux années de spécialisation est de conférer à l'infirmier anesthésiste diplômé d'état les compétences nécessaires à l'exclusivité de son exercice définies selon l'article R. 4311-12 du Livre III des parties IV et V du Code de la santé publique.
Entre sa formation initiale et sa spécialisation, un infirmier anesthésiste diplômé d'État a donc effectué un total de plus de 5 années d'études avant de pouvoir exercer son métier. Au total, l'infirmier anesthésiste diplômé d'État a bénéficié d'une formation théorique et pratique exigeante qui en fait un acteur incontournable de l'anesthésie en France. Cette qualification en anesthésie fait des hommes et des femmes qui composent ce corps de métier les collaborateurs incontournables des médecins anesthésistes, et des acteurs essentiels de la sécurité lors du déroulement de l’anesthésie.
Les infirmiers anesthésistes diplômés d'État sont actuellement classés en catégorie A. Comme nous vous le rappelions, le gouvernement a décidé que les infirmiers non spécialisés passeraient en catégorie A. Notre questionnement porte donc sur le statut et l’avenir de notre profession d’infirmiers spécialisés. En effet, suite à ce parcours difficile de plus de 5 années d’études, nous estimons avoir toute légitimité pour obtenir une reconnaissance au niveau MASTER.
C'est ainsi que nous, signataires de cette pétition, réclamons la reconnaissance au niveau BAC+5, c'est à dire au niveau MASTER, pour tous les infirmiers anesthésistes diplômés d'État.
Merci de soutenir cette demande par vos signatures. "
Comme d'hab, à critiquer, améliorer, etc.... ;)
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maugeois
- Messages : 165
- Enregistré le : 03 mars 2009, 13:29
Nicolas4575, quelles ont été les réponses à tes nombreuses questions auprès de Mme SAGET, présidente du SNIA, dont tu nous disais que tu devais l'avoir hier au téléphone à leur permanence du mercredi après-midi de 16h à 20h.
Pour ma part, adhérant SNIA, je n'ai pas eu de réponse ni par mail, ni par téléphone, à plusieurs questions posées depuis une semaine.
Pour ma part, adhérant SNIA, je n'ai pas eu de réponse ni par mail, ni par téléphone, à plusieurs questions posées depuis une semaine.
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nicolas4575
- Messages : 421
- Enregistré le : 15 janv. 2009, 09:52
- Localisation : rouen
donc apres avoir eu longuement mme saget hier soir :
- le grade master est en bonne voie avec un ministere de la sante et la dhos qui semblent etre en accord avec la demande (ce ne sont que des accords verbaux donc il faut continuer de tenir la barre)
- le referentiel d'activité est terminé apres de longues discussions, mais il colle bcq plus à la realité du terrain (pas mal d'items ou a ete supprimé "en presence du medecin ")
- les negociations salariales : comme vos le savez nous sommes en categorie A mais au plus bas de la categorie (voire A-), donc leur base de negociation sera une grille de categorie A existante superieure idem a des agents de la fonction publique reconnu master.
- concernant les mouvements, mme saget exprime aussi sn souhait de creer un mouvement commun qui aura plus d'impact.
- a part ça, une AG est bien prevue le 5 decembre et les non adherent peuvent y participer l'apres midi pour les discussions, une sorte de forum.
voilà, c'est tout pour aujourd'hui !
- le grade master est en bonne voie avec un ministere de la sante et la dhos qui semblent etre en accord avec la demande (ce ne sont que des accords verbaux donc il faut continuer de tenir la barre)
- le referentiel d'activité est terminé apres de longues discussions, mais il colle bcq plus à la realité du terrain (pas mal d'items ou a ete supprimé "en presence du medecin ")
- les negociations salariales : comme vos le savez nous sommes en categorie A mais au plus bas de la categorie (voire A-), donc leur base de negociation sera une grille de categorie A existante superieure idem a des agents de la fonction publique reconnu master.
- concernant les mouvements, mme saget exprime aussi sn souhait de creer un mouvement commun qui aura plus d'impact.
- a part ça, une AG est bien prevue le 5 decembre et les non adherent peuvent y participer l'apres midi pour les discussions, une sorte de forum.
voilà, c'est tout pour aujourd'hui !
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maugeois
- Messages : 165
- Enregistré le : 03 mars 2009, 13:29
C'est tout, mais c'est déjà beaucoup (pour ne pas dire énorme).
Que d'encouragements pour l'avenir, mais mon optimisme ne doit pas faire oublier que la route est encore longue et semée d'embûches.
Pour ce qui est de l'action commune, oui et encore oui, cette proposition de lettre en préparation sur ce site, je la verrais bien signée par le SNIA, le CEEIADE, les assos professionnelles CIACR, LORIADE, AFISAR, ARIAF, ARIADE, ADIAM, Auvergn'IA, le collectif IADE de Laryngo, le collectif IADE de la SOFIA....
Merci à toi, Nicolas4575, et j'éspère que ces infos seront divulguées très rapidement sur le site du SNIA, ainsi que leurs, nos propositions salariales, pour qu'un maximun d'entre nous adhèrent le 5 décembre prochain à Paris lors de l'AG du SNIA : à moins que tous les IADE contre l'ordre trouvent là aussi que 99 euros de cotisation (dont 66% sont déductibles d'impôts) sont un racket et un nouvel impôt et que cela ne servira à rien pour leur avenir.
Que d'encouragements pour l'avenir, mais mon optimisme ne doit pas faire oublier que la route est encore longue et semée d'embûches.
Pour ce qui est de l'action commune, oui et encore oui, cette proposition de lettre en préparation sur ce site, je la verrais bien signée par le SNIA, le CEEIADE, les assos professionnelles CIACR, LORIADE, AFISAR, ARIAF, ARIADE, ADIAM, Auvergn'IA, le collectif IADE de Laryngo, le collectif IADE de la SOFIA....
Merci à toi, Nicolas4575, et j'éspère que ces infos seront divulguées très rapidement sur le site du SNIA, ainsi que leurs, nos propositions salariales, pour qu'un maximun d'entre nous adhèrent le 5 décembre prochain à Paris lors de l'AG du SNIA : à moins que tous les IADE contre l'ordre trouvent là aussi que 99 euros de cotisation (dont 66% sont déductibles d'impôts) sont un racket et un nouvel impôt et que cela ne servira à rien pour leur avenir.