Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
Modérateur : Marc
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
RESILIENCE - syndicat infirmier contre l’ordre
C O M M U N I Q U E
suite aux nouvelles révélations ordinales avouées le mercredi 16 mars 2011 à l'Assemblée Nationale, confirmant un déficit cumulé supérieur à 10 millions d'euros, confirmation de ce que nous supposions depuis des mois,
suite aux propositions farfelues de budget ordinal pour 2011/2012 s'appuyant notamment sur une contribution espérée de 400 000 infirmiers et sur une participation financière démesurée des infirmières libérales en majorité opposées – elles aussi – à un ordre infirmier,
suite aux besoins financiers ordinaux à venir et aux dettes à éponger, suite au non renouvellement du crédit annoncé par la Banque Populaire/Bred, et à la recherche par l'oni d'autres financements,
RESILIENCE renouvelle sa demande au ministre de la Santé d'un audit des finances ordinales puisque l'ordre infirmier a bénéficié de fonds publics, notamment pour l'organisation des élections en 2008,
RESILIENCE demande aux Parlementaires et au Gouvernement de prendre enfin leurs responsabilités et de prononcer la liquidation financière et morale de l'oni dont le comportement est sujet à caution depuis le début,
RESILIENCE demande aux 450 000 professionnels infirmiers résistants à l'ordre infirmier et de fait en exercice illégal de la profession infirmière depuis 2006 de continuer à ne pas céder au chantage et autres formes de pression de la part de leurs employeurs, des CPAM voire de l'oni lui même,
RESILIENCE demande à ces mêmes professionnels infirmiers de ne pas tomber dans le piège ordinal d'une cotisation annuelle revue à la baisse opportunément, cotisation annuelle qui sera inévitablement revue à la hausse d'ici quelques mois,
http://www.syndico.exprimetoi.net
C O M M U N I Q U E
suite aux nouvelles révélations ordinales avouées le mercredi 16 mars 2011 à l'Assemblée Nationale, confirmant un déficit cumulé supérieur à 10 millions d'euros, confirmation de ce que nous supposions depuis des mois,
suite aux propositions farfelues de budget ordinal pour 2011/2012 s'appuyant notamment sur une contribution espérée de 400 000 infirmiers et sur une participation financière démesurée des infirmières libérales en majorité opposées – elles aussi – à un ordre infirmier,
suite aux besoins financiers ordinaux à venir et aux dettes à éponger, suite au non renouvellement du crédit annoncé par la Banque Populaire/Bred, et à la recherche par l'oni d'autres financements,
RESILIENCE renouvelle sa demande au ministre de la Santé d'un audit des finances ordinales puisque l'ordre infirmier a bénéficié de fonds publics, notamment pour l'organisation des élections en 2008,
RESILIENCE demande aux Parlementaires et au Gouvernement de prendre enfin leurs responsabilités et de prononcer la liquidation financière et morale de l'oni dont le comportement est sujet à caution depuis le début,
RESILIENCE demande aux 450 000 professionnels infirmiers résistants à l'ordre infirmier et de fait en exercice illégal de la profession infirmière depuis 2006 de continuer à ne pas céder au chantage et autres formes de pression de la part de leurs employeurs, des CPAM voire de l'oni lui même,
RESILIENCE demande à ces mêmes professionnels infirmiers de ne pas tomber dans le piège ordinal d'une cotisation annuelle revue à la baisse opportunément, cotisation annuelle qui sera inévitablement revue à la hausse d'ici quelques mois,
http://www.syndico.exprimetoi.net
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
votre soutien appuyé à l'ordre infirmier 05:38
De : hugues dechilly
Envoyé : mardi, 22. mars 2011 05:38:03
À : lhenart@assemblee-nationale.fr
Monsieur,
comme suite à votre question posée, ci dessous:
13ème législature
Question N° : 103166 de M. Laurent Hénart ( Union pour un Mouvement Populaire - Meurthe-et-Moselle ) Question écrite
Ministère interrogé > Travail, emploi et santé Ministère attributaire > Travail, emploi et santé
Rubrique > professions de santé Tête d'analyse > ordre professionnel Analyse > infirmiers. salariés. cotisations. assujettissement
Question publiée au JO le : 22/03/2011
Texte de la question
M. Laurent Hénart attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés financières de l'Ordre national des infirmiers (ONI). Le déficit cumulé de cet ordre dépasse désormais les 5 millions d'euros. Les cotisations ne sont pas versées car une majorité d'infirmier et d'infirmières refusent de payer. La collecte de cotisation est aujourd'hui au dixième des prévisions avec 4 millions d'euros contre plus de 38 millions prévus et en baisse cette année. L'ONI précise que les cotisations qui sont encaissées, servent au fonctionnement de l'institution créée par la loi pour rassembler la profession. Il ajoute que l'Ordre remplit ses missions de service public. Il travaille intensément depuis deux ans déjà à l'avenir de la profession comme à la qualité et la sécurité des soins délivrés aux patients. Il est en contact et collabore à tous ses niveaux (départemental, régional et au national) avec les infirmiers, les établissements, les ARS, les préfectures, le ministère, la HAS, etc., et répond aux demandes de chacun. Il rappelle que ce sont notamment ces cotisations qui lui permettent de remplir ses missions. L'ONI souhaite que le Gouvernement reconnaisse ce qu'il réalise pour l'intérêt général et pour la profession, et le soutienne dans ses efforts. Il lui demande sa position sur le sujet.
Texte de la réponse
je vous informe que j'ai une motivation supplémentaire pour aller (re) voter dimanche au second tour des cantonales et ainsi confirmer mon premier choix: virer votre parti politique qui s'acharne à vouloir nous imposer un ordre rejeté par plus de 85% de la profession infirmière, soit au bas mot : 450 000 collègues ...
avec les salutations d'usage, sans plus,
(copie à monsieur le Ministre de la Santé)
De : hugues dechilly
Envoyé : mardi, 22. mars 2011 05:38:03
À : lhenart@assemblee-nationale.fr
Monsieur,
comme suite à votre question posée, ci dessous:
13ème législature
Question N° : 103166 de M. Laurent Hénart ( Union pour un Mouvement Populaire - Meurthe-et-Moselle ) Question écrite
Ministère interrogé > Travail, emploi et santé Ministère attributaire > Travail, emploi et santé
Rubrique > professions de santé Tête d'analyse > ordre professionnel Analyse > infirmiers. salariés. cotisations. assujettissement
Question publiée au JO le : 22/03/2011
Texte de la question
M. Laurent Hénart attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés financières de l'Ordre national des infirmiers (ONI). Le déficit cumulé de cet ordre dépasse désormais les 5 millions d'euros. Les cotisations ne sont pas versées car une majorité d'infirmier et d'infirmières refusent de payer. La collecte de cotisation est aujourd'hui au dixième des prévisions avec 4 millions d'euros contre plus de 38 millions prévus et en baisse cette année. L'ONI précise que les cotisations qui sont encaissées, servent au fonctionnement de l'institution créée par la loi pour rassembler la profession. Il ajoute que l'Ordre remplit ses missions de service public. Il travaille intensément depuis deux ans déjà à l'avenir de la profession comme à la qualité et la sécurité des soins délivrés aux patients. Il est en contact et collabore à tous ses niveaux (départemental, régional et au national) avec les infirmiers, les établissements, les ARS, les préfectures, le ministère, la HAS, etc., et répond aux demandes de chacun. Il rappelle que ce sont notamment ces cotisations qui lui permettent de remplir ses missions. L'ONI souhaite que le Gouvernement reconnaisse ce qu'il réalise pour l'intérêt général et pour la profession, et le soutienne dans ses efforts. Il lui demande sa position sur le sujet.
Texte de la réponse
je vous informe que j'ai une motivation supplémentaire pour aller (re) voter dimanche au second tour des cantonales et ainsi confirmer mon premier choix: virer votre parti politique qui s'acharne à vouloir nous imposer un ordre rejeté par plus de 85% de la profession infirmière, soit au bas mot : 450 000 collègues ...
avec les salutations d'usage, sans plus,
(copie à monsieur le Ministre de la Santé)
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
je ne résiste pas à vous envoyer vers ce lien....
http://www.rue89.com/2011/03/22/pour-so ... n-frerot-1
Pour son logo, la boss de l'Ordre des infirmiers choisit son frérot
Par Mathieu Deslandes | Rue89 | 22/03/2011 | 13H2
Le logo actuel de l'Ordre national des infirmiersLe mariage a plus d'une utilité. Et la possibilité offerte aux femmes de prendre le nom de leur époux n'est pas la moindre : elle assure un confortable brouillage des liens. Qui a permis à la présidente de l'Ordre des infirmiers de confier, en toute tranquillité, un marché de 20 000 euros à son petit frère, comme le révèle Rue89.
Des années que Dominique Le Boeuf porte le nom de son mari. Mais elle est née Ameslant, le jour de la Saint-Valentin, en 1961. Cette protégée de Xavier Bertrand, le ministre de la Santé, pensait-elle que personne ne ferait jamais le rapprochement entre elle et le dirigeant de la société retenue pour « créer l'identité visuelle » de son ordre, Laurent Ameslant ?
Cette société, Openminded, aujourd'hui rebaptisée Evermore, a été choisie à l'issue d'une compétition pas très transparente.
« Si elle nous avait dit que c'était son frère… » lire la suite sur le site rue 89
http://www.rue89.com/2011/03/22/pour-so ... n-frerot-1

Pour son logo, la boss de l'Ordre des infirmiers choisit son frérot
Par Mathieu Deslandes | Rue89 | 22/03/2011 | 13H2
Le logo actuel de l'Ordre national des infirmiersLe mariage a plus d'une utilité. Et la possibilité offerte aux femmes de prendre le nom de leur époux n'est pas la moindre : elle assure un confortable brouillage des liens. Qui a permis à la présidente de l'Ordre des infirmiers de confier, en toute tranquillité, un marché de 20 000 euros à son petit frère, comme le révèle Rue89.
Des années que Dominique Le Boeuf porte le nom de son mari. Mais elle est née Ameslant, le jour de la Saint-Valentin, en 1961. Cette protégée de Xavier Bertrand, le ministre de la Santé, pensait-elle que personne ne ferait jamais le rapprochement entre elle et le dirigeant de la société retenue pour « créer l'identité visuelle » de son ordre, Laurent Ameslant ?
Cette société, Openminded, aujourd'hui rebaptisée Evermore, a été choisie à l'issue d'une compétition pas très transparente.
« Si elle nous avait dit que c'était son frère… » lire la suite sur le site rue 89
Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
Les dessous de cette histoire sont tout aussi nauséabonds que cette "affaire".
Ca ressemble bien à une envie de prendre la place de la présidente, au vu des courriers en interne, du SNPI qui grone, du CDOI parisien...bref Amouroux tente uen prise de pouvoir.
Quand on voit comment cela se passe dans son fief de Saint Louis, avec des pressions sur les soignants via la DRH, on se dit que c'ets du pareil au même.
Idem lorsqu'on voit le SNPI sur infirmiers.com faire de la pub pour la MNH, ou siège un certain T.Amouroux...ça ressemble quand même à cette histoire.
Encore plus lorsqu'on se dit que ce monsieur appartient à la commission qui valide les comptes.
Tenter de couler la présidente pour se dédouaner de ses responsabilités dans le fiasco actuel, il y a des élus qui osent.
Jeserais moins sec vis à vis de cette affaire, c'est la structure ordinale elle même qui pousse à ce genre d'affaires. Pour preuve, chaque ordre y passe.
Pour ce qui est du prix, je ne le trouve par contre pas affolant, au vu du "packaging" qui entoure ce logo, avec les cartes de visites, courriers à entête, etc. C'esttout un graphique qui est fait, pas uniquement un logo. Et l'on est loin du scandale du prix de celui de pôle emploi.
Ca ressemble bien à une envie de prendre la place de la présidente, au vu des courriers en interne, du SNPI qui grone, du CDOI parisien...bref Amouroux tente uen prise de pouvoir.
Quand on voit comment cela se passe dans son fief de Saint Louis, avec des pressions sur les soignants via la DRH, on se dit que c'ets du pareil au même.
Idem lorsqu'on voit le SNPI sur infirmiers.com faire de la pub pour la MNH, ou siège un certain T.Amouroux...ça ressemble quand même à cette histoire.
Encore plus lorsqu'on se dit que ce monsieur appartient à la commission qui valide les comptes.
Tenter de couler la présidente pour se dédouaner de ses responsabilités dans le fiasco actuel, il y a des élus qui osent.
Jeserais moins sec vis à vis de cette affaire, c'est la structure ordinale elle même qui pousse à ce genre d'affaires. Pour preuve, chaque ordre y passe.
Pour ce qui est du prix, je ne le trouve par contre pas affolant, au vu du "packaging" qui entoure ce logo, avec les cartes de visites, courriers à entête, etc. C'esttout un graphique qui est fait, pas uniquement un logo. Et l'on est loin du scandale du prix de celui de pôle emploi.
Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
Communiqué du CODI (contre ordre des infirmiers )
Le CODI est toujours là
Et nous sommes toujours à l’écoute des bruits ordinaux. Or ceux-ci nous prouvent que la révolution de couloir frappe à la porte de Dominique Leboeuf.
Les derniers évènements dont nous vous avons abondamment relayés les péripéties sont maintenant détournés vers un seul objectif : devenir calife à la place du calife et continuer cette aventure au scénario dont les infirmiers n’ont jamais voulu et ne veulent toujours pas.
Une cabale menace la présidente de l’ordre. Celle-ci n’a qu’un but : prendre le pouvoir et replacer l’ordre dans un mouvement qui permettra aux comploteurs de reprendre les rênes du pouvoir.
Pour l’instant, nous gardons nos informations de façon confidentielle, mais nous sommes prêts à les montrer aux autorités politiques qui nous en demanderons la publication. Nous estimons que la farce a assez duré et que le scandale ne doit pas être réservé à Mme Leboeuf qui ne serait en l’occasion qu’une victime expiatoire des actions conjuguées :
-des lobbys (syndicats de libéraux-CNI-SNPI et associations-Groupe Ste Anne principalement) qui ont fait croire au gouvernement à une volonté générale de la profession en faveur de cet ordre
-de TOUS les élus du Conseil National de l’ordre infirmier, responsables collectivement de la création de cet ordre sur des bases inqualifiables : mensonge originel aux autorités politiques et envers leurs collègues, gouvernance exécrable, communication désastreuse (dont menaces aux infirmiers de ruiner leurs vies sous des prétextes fallacieux), gestion catastrophique du budget (et n’oublions donc pas en premier lieu ceux qui ont donné leur absolution à ce même budget, c'est-à-dire les membres de la « commission de contrôle des comptes et placements financiers »)
-de l’Etat qui a donné son absolution à ce budget et aux agissements de l’ordre par l’intermédiaire de son représentant du Conseil d’Etat au sein du CNO
En conséquence, notre association estime que la révolution de Palais qui se prépare à l’occasion du 29 mars, jour d’examen des cinq « possibilités budgétaires » envisagées pour la survie de l’ordre, n’est qu’une farce. Les membres de l’ordre n’ont toujours pas compris que l’ordre, même gratuit, les infirmiers n’en veulent pas ! Notre association ne peut se résoudre à envisager le pire, c'est-à-dire la continuation de cet ordre, mené par de nouvelles têtes plus soucieuses de prébendes et de temps libres, ceci afin sans doute de ne pas retourner travailler dans leurs services.
L’aventure hasardeuse des Tartuffes de l’ordre DOIT se terminer dans les plus brefs délais ! Notre association demande que le gouvernement, comme les élus, travaillent sur une DISSOLUTION pure et simple de l’ordre. Nos collègues libéraux ne veulent pas plus de cet ordre que les autres infirmiers. A cette occasion, nous demandons également que soient organisés un véritable REFERENDUM des professions dites « à ordre ». En effet, il nous apparait que ces institutions sont profondément non démocratiques et ne fonctionnent que sur la peur et non l’adhésion raisonnée. Nous tenons à attirer l’attention sur nos collègues kinésithérapeutes qui sont les premiers concernés dans la machine à broyer ordinale des êtres humains. Rappelons que comme eux nous sommes au service de leurs concitoyens, dans ce qui leur est le plus précieux : la santé. Nous méritons donc la tranquillité d’exercice, comme le respect de nos institutions légitimes.
Enfin, le CODI réclame une réflexion plus globale et nécessaire sur la création d’un véritable conseil des professions de santé médicale ET paramédicale qui sans esprit de corporatisme, ou de volonté d’emprise d’une profession sur une autre serait le SEUL organisme à même de travailler sur tous les problèmes de santé, en une véritable synergie interdisciplinaire et au service exclusif de nos concitoyens.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur en l’expression de nos plus respectueuses salutations anti ordinales.
Pour le CODI :
Christian Lacault, infirmier en service au CH Montperrin à Aix en Provence
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
une newsletter spécial CNOI des 28 et 29 mars 2011 sera diffusée à partir de demain sur le site de RESILIENCE avec les infos ...
cette date est en effet plus que décisive pour l'avenir du cnoi et par voie de conséquences pour notre combat contre le beurk ...
vous pourrez ainsi avoir une idée de ce qui nous attend en cas de maintien ...
toutes les infos sur www.syndico.exprimetoi.net
cette date est en effet plus que décisive pour l'avenir du cnoi et par voie de conséquences pour notre combat contre le beurk ...
vous pourrez ainsi avoir une idée de ce qui nous attend en cas de maintien ...
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
la fumée qui s'est élevée cet après midi au dessus de la rue sainte Anne (après le conclave ordinal plutôt sanglant entre le clan des salariés et celui des libéraux au sein même du cnoi) est de couleur ni blanche ni grise, elle est de couleur rouge vif ...
la bataille a fait rage et jusqu'au dernier moment, la cotisation libérale était encore portée à plus de 130 euros vers 16 heures (contre 30 euros pour les salariés) ... pour finir à 75 euros ...
la journée aura donc été consacrée à la dette ordinale et aux espérances ultimes d'un prêt hypothétique soumis à la seule bonne volonté de la BRED, la banque de l'oni qui pour mémoire est aussi le propriétaire des 800 m2 des bureaux ordinaux en plein Paris ... oni en cessation de paiement au 01 avril 2011 si rien n'est fait d'ici là ...
pris à la gorge financièrement, l'oni n'a eu d'autre possibilité que de commencer, en adoptant une motion, à réduire la voilure et se séparer d'une partie de ses personnels car l'option choisie sur les 5 proposées donne un résultat déficitaire à la fin de l'exercice 2011/2012, encore du déficit en perspective ...
enfin, une incertitude et non des moindres demeure: même à 30 euros pour les salariés, il y a fort à parier que l'oni fera choux blanc et que les frais engagés pour une ultime campagne d'adhésion seront du déficit de plus ...
car avec ou sans cotisation, l'ordre infirmier çà reste encore et toujours NON !
la BRED doit être consciente de cette évidence et il nous faut continuer à l'en informer:
https://www.bred.fr/content/tetiere-bas ... de-client/
à vous, à nous, de continuer à mobiliser et d'informer les collègues hésitants et/ou ignorants car dès qu'ils en auront la possibilité, les ordinaux n'hésiteront pas à remonter le niveau de cotisation assez haut pour reprendre leurs mauvaises habitudes ...
nous n'avons jamais été aussi près du but que nous nous sommes fixé, alors à vos claviers !
la bataille a fait rage et jusqu'au dernier moment, la cotisation libérale était encore portée à plus de 130 euros vers 16 heures (contre 30 euros pour les salariés) ... pour finir à 75 euros ...
la journée aura donc été consacrée à la dette ordinale et aux espérances ultimes d'un prêt hypothétique soumis à la seule bonne volonté de la BRED, la banque de l'oni qui pour mémoire est aussi le propriétaire des 800 m2 des bureaux ordinaux en plein Paris ... oni en cessation de paiement au 01 avril 2011 si rien n'est fait d'ici là ...
pris à la gorge financièrement, l'oni n'a eu d'autre possibilité que de commencer, en adoptant une motion, à réduire la voilure et se séparer d'une partie de ses personnels car l'option choisie sur les 5 proposées donne un résultat déficitaire à la fin de l'exercice 2011/2012, encore du déficit en perspective ...
enfin, une incertitude et non des moindres demeure: même à 30 euros pour les salariés, il y a fort à parier que l'oni fera choux blanc et que les frais engagés pour une ultime campagne d'adhésion seront du déficit de plus ...
car avec ou sans cotisation, l'ordre infirmier çà reste encore et toujours NON !
la BRED doit être consciente de cette évidence et il nous faut continuer à l'en informer:
https://www.bred.fr/content/tetiere-bas ... de-client/
à vous, à nous, de continuer à mobiliser et d'informer les collègues hésitants et/ou ignorants car dès qu'ils en auront la possibilité, les ordinaux n'hésiteront pas à remonter le niveau de cotisation assez haut pour reprendre leurs mauvaises habitudes ...
nous n'avons jamais été aussi près du but que nous nous sommes fixé, alors à vos claviers !
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
nouveau montant de la cotisation ordinale pour info
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 29 mars 2011
LE CONSEIL NATIONAL FIXE LES MONTANTS DES COTISATIONS 2011-2012
Les montants de cotisation pour l’exercice 2011-2012 ont été fixés ce 29 mars en séance de Conseil national.
Cinq hypothèses budgétaires ont été soumises à discussion, puis au vote des membres présents. La majorité a voté pour une cotisation à 30 € pour les infirmiers salariés, les jeunes diplômés, les bénévoles et les infirmiers exerçant à l’étranger.
Les cotisations pour les libéraux et les sociétés d’exercice libéral restent inchangées, soit respectivement 75 € et 150 €.
Ces montants doivent permettre à l’Ordre de remplir ses missions légales avec le concours conjoint de l’État, des organismes prêteurs et de tous les infirmiers.
L’Ordre national des infirmiers
Réunissant tous les types et lieux d’exercice, toutes les spécialités et tous les secteurs d’activité, l’Ordre national des infirmiers est la seule structure où les infirmiers trouvent des services qualifiés répondant à leurs besoins professionnels.
Préparer l’avenir de la profession, l’ organiser, la rassembler sur tous ses modes d’exercice, créer des ponts entre les exercices libéraux, salariés du public et du privé, aborder des sujets éthiques, déontologiques, juridiques, de compétences et de formation, conseiller un infirmier sur son exercice, l’accompagner dans sa vie professionnelle, le défendre contre des accusations excessives ou injustes, des violences ou des pressions inacceptables, tels sont les services que l’Ordre rend à la profession aujourd’hui.
La loi1 a confié à l’Ordre infirmier des missions légales et de services2. Ces missions sont entièrement financées par les cotisations des membres de la profession, garantissant ainsi l’indépendance de l’Ordre, vis-à-vis des pouvoirs public et politique. La cotisation est due annuellement (exercice du 1er mai au 30 avril), elle est obligatoire pour toutes les infirmières et tous les infirmiers en exercice.
Contact presse : Virginie LANLO – 01 71 93 84 67 – 06 20 09 09 14 – vlanlo.oni@orange.fr
1 Loi du 21 décembre 2006
2 Les missions sont présentées sur le site Internet de l’ONI : http://www.ordre-infirmiers.fr, rubriques « Nos missions » et « Nos grands dossiers »
Cotisations de l’Ordre infirmier pour l’exercice mai 2011 - avril 2012 votées à la session du 29 mars du CNOI
Montant de la cotisation
Infirmiers salariés habilités à exercer 30 €
Infirmiers habilités à exercer diplômés en 2010 - 2011
Infirmiers habilités à exercer diplômés en 2011 - 2012 30 €
Infirmiers exerçant à l’étranger 30 €
Infirmiers (retraités ou non) habilités à exercer
uniquement à titre bénévole (hors réserve sanitaire) 30 €
Infirmiers libéraux 75 €
Personnes morales
(société d’exercice libéral ou société civile professionnelle),
sans préjudice de la cotisation due par les associés infirmiers 150 €
kris
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 29 mars 2011
LE CONSEIL NATIONAL FIXE LES MONTANTS DES COTISATIONS 2011-2012
Les montants de cotisation pour l’exercice 2011-2012 ont été fixés ce 29 mars en séance de Conseil national.
Cinq hypothèses budgétaires ont été soumises à discussion, puis au vote des membres présents. La majorité a voté pour une cotisation à 30 € pour les infirmiers salariés, les jeunes diplômés, les bénévoles et les infirmiers exerçant à l’étranger.
Les cotisations pour les libéraux et les sociétés d’exercice libéral restent inchangées, soit respectivement 75 € et 150 €.
Ces montants doivent permettre à l’Ordre de remplir ses missions légales avec le concours conjoint de l’État, des organismes prêteurs et de tous les infirmiers.
L’Ordre national des infirmiers
Réunissant tous les types et lieux d’exercice, toutes les spécialités et tous les secteurs d’activité, l’Ordre national des infirmiers est la seule structure où les infirmiers trouvent des services qualifiés répondant à leurs besoins professionnels.
Préparer l’avenir de la profession, l’ organiser, la rassembler sur tous ses modes d’exercice, créer des ponts entre les exercices libéraux, salariés du public et du privé, aborder des sujets éthiques, déontologiques, juridiques, de compétences et de formation, conseiller un infirmier sur son exercice, l’accompagner dans sa vie professionnelle, le défendre contre des accusations excessives ou injustes, des violences ou des pressions inacceptables, tels sont les services que l’Ordre rend à la profession aujourd’hui.
La loi1 a confié à l’Ordre infirmier des missions légales et de services2. Ces missions sont entièrement financées par les cotisations des membres de la profession, garantissant ainsi l’indépendance de l’Ordre, vis-à-vis des pouvoirs public et politique. La cotisation est due annuellement (exercice du 1er mai au 30 avril), elle est obligatoire pour toutes les infirmières et tous les infirmiers en exercice.
Contact presse : Virginie LANLO – 01 71 93 84 67 – 06 20 09 09 14 – vlanlo.oni@orange.fr
1 Loi du 21 décembre 2006
2 Les missions sont présentées sur le site Internet de l’ONI : http://www.ordre-infirmiers.fr, rubriques « Nos missions » et « Nos grands dossiers »
Cotisations de l’Ordre infirmier pour l’exercice mai 2011 - avril 2012 votées à la session du 29 mars du CNOI
Montant de la cotisation
Infirmiers salariés habilités à exercer 30 €
Infirmiers habilités à exercer diplômés en 2010 - 2011
Infirmiers habilités à exercer diplômés en 2011 - 2012 30 €
Infirmiers exerçant à l’étranger 30 €
Infirmiers (retraités ou non) habilités à exercer
uniquement à titre bénévole (hors réserve sanitaire) 30 €
Infirmiers libéraux 75 €
Personnes morales
(société d’exercice libéral ou société civile professionnelle),
sans préjudice de la cotisation due par les associés infirmiers 150 €
kris
Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
Ne reste plmus qu'à trouver une banque pour donner de l'argent à un beurk endetté de 10 millions (cessation de paiement possible dès le 1er Avril), et qui promet un exercice déficitaire de 7 millions, si tout IDE paie.
Tout le monde va payer, l'ordre comptait bien sûr faire de la lèche au ministère avec ces 30e...sauf que:
http://www.actusoins.com/6953/nora-berr ... tatif.html
Les opposants peuvent continuer à dire non à cet ordre en écrivant aux élus, ainsi qu'à la BRED.
Tout le monde va payer, l'ordre comptait bien sûr faire de la lèche au ministère avec ces 30e...sauf que:
http://www.actusoins.com/6953/nora-berr ... tatif.html
Les opposants peuvent continuer à dire non à cet ordre en écrivant aux élus, ainsi qu'à la BRED.
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
R E S I L I E N C E - le syndicat infirmier contre l'ordre
communiqué:
la BRED refuse de continuer à financer l'oni
Dans un courriel du 31 mars 2011 adressé à 15h35 par la présidente Leboeuf aux CDOI et CROI et ayant pour objet l'avenir de l'ordre, il est expressément notifié dans ce message que « l'inquiétude légitime de la banque qui s'est exprimée dès hier en m'annonçant l'arrêt de la ligne de trésorerie à l'annonce des propos de madame Norra Berra hier ».
La BRED a enfin ouvert les yeux sur les bilans financiers catastrophiques de l'oni et, en l'absence de soutien gouvernemental franc, elle a décidé d'arrêter de prêter (à perte ?) des millions à l'oni qui manifestement n'est pas même en mesure de rembourser sa première échéance.
La BRED est aussi le logeur du siège ordinal puisque les 800 m2 de locaux parisiens ordinaux appartiennent à la BRED.
Devant toute absence de soutien financier bancaire et en absence confirmée de tout soutien ou garantie financière de l'État, l'oni est donc virtuellement en cessation de paiement.
Dans ce même courriel, il est précisé que la présidente Leboeuf a demandé plusieurs entretiens notamment à Matignon, au ministère de la Santé. Sans aucune surprise il est aussi fait mention du soutien appuyé des conseillers nationaux libéraux qui ont essayé d'apporter leur aide à l'oni via des interventions syndicales infirmières un peu partout ...
Il est maintenant clair que l'oni ne peut plus espérer que de lui même et que ses jours sont comptés, l'avenir de ses 140 salariés est aussi gravement compromis.
RESILIENCE – syndicat infirmier contre l'ordre - demande donc que cette situation prenne fin le plus rapidement possible car désormais chaque jour qui passe est un endettement supplémentaire sans espoir de remboursement. En cas de maintien de l'oni, un déficit cumulé et estimé entre 15 à 18 millions d'euros à la fin mai 2012 est une fourchette basse, sachant que les infirmiers refuseront de cotiser et d'apporter leur caution morale et/ou financière à un organisme qui a toujours fait preuve de mépris à leur encontre.
www.syndico.exprimetoi.net
communiqué:
la BRED refuse de continuer à financer l'oni
Dans un courriel du 31 mars 2011 adressé à 15h35 par la présidente Leboeuf aux CDOI et CROI et ayant pour objet l'avenir de l'ordre, il est expressément notifié dans ce message que « l'inquiétude légitime de la banque qui s'est exprimée dès hier en m'annonçant l'arrêt de la ligne de trésorerie à l'annonce des propos de madame Norra Berra hier ».
La BRED a enfin ouvert les yeux sur les bilans financiers catastrophiques de l'oni et, en l'absence de soutien gouvernemental franc, elle a décidé d'arrêter de prêter (à perte ?) des millions à l'oni qui manifestement n'est pas même en mesure de rembourser sa première échéance.
La BRED est aussi le logeur du siège ordinal puisque les 800 m2 de locaux parisiens ordinaux appartiennent à la BRED.
Devant toute absence de soutien financier bancaire et en absence confirmée de tout soutien ou garantie financière de l'État, l'oni est donc virtuellement en cessation de paiement.
Dans ce même courriel, il est précisé que la présidente Leboeuf a demandé plusieurs entretiens notamment à Matignon, au ministère de la Santé. Sans aucune surprise il est aussi fait mention du soutien appuyé des conseillers nationaux libéraux qui ont essayé d'apporter leur aide à l'oni via des interventions syndicales infirmières un peu partout ...
Il est maintenant clair que l'oni ne peut plus espérer que de lui même et que ses jours sont comptés, l'avenir de ses 140 salariés est aussi gravement compromis.
RESILIENCE – syndicat infirmier contre l'ordre - demande donc que cette situation prenne fin le plus rapidement possible car désormais chaque jour qui passe est un endettement supplémentaire sans espoir de remboursement. En cas de maintien de l'oni, un déficit cumulé et estimé entre 15 à 18 millions d'euros à la fin mai 2012 est une fourchette basse, sachant que les infirmiers refuseront de cotiser et d'apporter leur caution morale et/ou financière à un organisme qui a toujours fait preuve de mépris à leur encontre.
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
BONJOUR
J'ai besoin d'argument contre le conseil de l'ordre je suis elu au conseil infirmier de mon etablissement a la prochaine reunion est invité le conseillé régionnal de l'oni. Assiste a cette réunion l'aeropage infirmier de mon hopital pouvez vous me fournir les bases de votre argumentaire afin de convaincre cette assembée de l'inutilté de l'oni merci
J'ai besoin d'argument contre le conseil de l'ordre je suis elu au conseil infirmier de mon etablissement a la prochaine reunion est invité le conseillé régionnal de l'oni. Assiste a cette réunion l'aeropage infirmier de mon hopital pouvez vous me fournir les bases de votre argumentaire afin de convaincre cette assembée de l'inutilté de l'oni merci
Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
Pfiou, il y a tellement à dire, je vous conseille de parcourir le forum du CODI, par exemple, ou de lire les newsletter de résilience. Pour faire simple:
- actuellement, l'ordre a 10 millions de dettes, et la BRED a coupé les vivres en arrêtant la ligne de trésorerie. Le mois prochain, il y a 140 salaires à verser, et des locaux à payer. il y a aussi des indemnités d'élus à verser, du matos à payer, un appel à cotisation à faire, et bientôt des élections à payer (budgétisé à au moins 750 000€). On se dirige vers une cessation de paiement, la fin de cet ordre semble actée, reste à savoir quand.
- l'ordre se fout maintenant de son indépendance et a appelé à l'aide les syndicats libéraux, type FNI, ce qui explique que l'on voit beaucoup de libéraux du FNI insulter et menacer les autres infirmiers sur les médias professionnels actuellement.
l'ordre a aussi demandé l'aide de l'Etat, mais Nora Berra a jeté une pierre dans la mare en snobant la question à l'assemblée sur un décret permettant une inscription automatique, et en parlant d'ordre facultatif s'il ne convient pas. Autrement dit, l'état n'interviendra pas pour sortir la tête de l'eau à cet ordre, qui va donc couler financièrement, ce qui semble le mieux pour les politiques à l'approche des présidentielles.
- l'ordre communique sur les inscrits qui augmentent, mais oublie de dire que 40% des cotisations ne sont pas renouvelées. Il n'y a pas eu plus de cotisants que l'an passée, c'est une manipulation des chiffres version ordinale.
- en interne à cet ordre, c'est la guerre entre Amouroux qui compte virer la présidente pour aller dire au gouvernement que la méchante est partie, oubliant qu'il a validé les comptes de cet ordre lui aussi, et entre tout ceux qui doivent quand même penser aux poursuites de la BRED qui voudra ses 10 millions.
L'inutilité de l'ONI, je dirais qu'on la voit depuis le début car ses missions sont les mêmes que celles du HCPP, bien mis en place, lui (mais qui doit être modifié pour que les infirmiers y aient leur vraie place), ordre inutile aussi du fait qu'il n'est décisionnel que pour la gestion démographique, qu'il ne donne qu'un risque de double peine, et surtout parce qu'il est rejeté par la majorité de la profession. Enfin, à cette heure, il n'est plus inutile, il est mourant, ne reste plus qu'à savoir quand.
- actuellement, l'ordre a 10 millions de dettes, et la BRED a coupé les vivres en arrêtant la ligne de trésorerie. Le mois prochain, il y a 140 salaires à verser, et des locaux à payer. il y a aussi des indemnités d'élus à verser, du matos à payer, un appel à cotisation à faire, et bientôt des élections à payer (budgétisé à au moins 750 000€). On se dirige vers une cessation de paiement, la fin de cet ordre semble actée, reste à savoir quand.
- l'ordre se fout maintenant de son indépendance et a appelé à l'aide les syndicats libéraux, type FNI, ce qui explique que l'on voit beaucoup de libéraux du FNI insulter et menacer les autres infirmiers sur les médias professionnels actuellement.
l'ordre a aussi demandé l'aide de l'Etat, mais Nora Berra a jeté une pierre dans la mare en snobant la question à l'assemblée sur un décret permettant une inscription automatique, et en parlant d'ordre facultatif s'il ne convient pas. Autrement dit, l'état n'interviendra pas pour sortir la tête de l'eau à cet ordre, qui va donc couler financièrement, ce qui semble le mieux pour les politiques à l'approche des présidentielles.
- l'ordre communique sur les inscrits qui augmentent, mais oublie de dire que 40% des cotisations ne sont pas renouvelées. Il n'y a pas eu plus de cotisants que l'an passée, c'est une manipulation des chiffres version ordinale.
- en interne à cet ordre, c'est la guerre entre Amouroux qui compte virer la présidente pour aller dire au gouvernement que la méchante est partie, oubliant qu'il a validé les comptes de cet ordre lui aussi, et entre tout ceux qui doivent quand même penser aux poursuites de la BRED qui voudra ses 10 millions.
L'inutilité de l'ONI, je dirais qu'on la voit depuis le début car ses missions sont les mêmes que celles du HCPP, bien mis en place, lui (mais qui doit être modifié pour que les infirmiers y aient leur vraie place), ordre inutile aussi du fait qu'il n'est décisionnel que pour la gestion démographique, qu'il ne donne qu'un risque de double peine, et surtout parce qu'il est rejeté par la majorité de la profession. Enfin, à cette heure, il n'est plus inutile, il est mourant, ne reste plus qu'à savoir quand.
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
pas mieux ...cedr1c a écrit :Pfiou, il y a tellement à dire, je vous conseille de parcourir le forum du CODI, par exemple, ou de lire les newsletter de résilience. Pour faire simple:
- actuellement, l'ordre a 10 millions de dettes, et la BRED a coupé les vivres en arrêtant la ligne de trésorerie. Le mois prochain, il y a 140 salaires à verser, et des locaux à payer. il y a aussi des indemnités d'élus à verser, du matos à payer, un appel à cotisation à faire, et bientôt des élections à payer (budgétisé à au moins 750 000€). On se dirige vers une cessation de paiement, la fin de cet ordre semble actée, reste à savoir quand.
- l'ordre se fout maintenant de son indépendance et a appelé à l'aide les syndicats libéraux, type FNI, ce qui explique que l'on voit beaucoup de libéraux du FNI insulter et menacer les autres infirmiers sur les médias professionnels actuellement.
l'ordre a aussi demandé l'aide de l'Etat, mais Nora Berra a jeté une pierre dans la mare en snobant la question à l'assemblée sur un décret permettant une inscription automatique, et en parlant d'ordre facultatif s'il ne convient pas. Autrement dit, l'état n'interviendra pas pour sortir la tête de l'eau à cet ordre, qui va donc couler financièrement, ce qui semble le mieux pour les politiques à l'approche des présidentielles.
- l'ordre communique sur les inscrits qui augmentent, mais oublie de dire que 40% des cotisations ne sont pas renouvelées. Il n'y a pas eu plus de cotisants que l'an passée, c'est une manipulation des chiffres version ordinale.
- en interne à cet ordre, c'est la guerre entre Amouroux qui compte virer la présidente pour aller dire au gouvernement que la méchante est partie, oubliant qu'il a validé les comptes de cet ordre lui aussi, et entre tout ceux qui doivent quand même penser aux poursuites de la BRED qui voudra ses 10 millions.
L'inutilité de l'ONI, je dirais qu'on la voit depuis le début car ses missions sont les mêmes que celles du HCPP, bien mis en place, lui (mais qui doit être modifié pour que les infirmiers y aient leur vraie place), ordre inutile aussi du fait qu'il n'est décisionnel que pour la gestion démographique, qu'il ne donne qu'un risque de double peine, et surtout parce qu'il est rejeté par la majorité de la profession. Enfin, à cette heure, il n'est plus inutile, il est mourant, ne reste plus qu'à savoir quand.
toutes les infos contre l'ordre infirmier sur www.syndico.exprimetoi.net le site @ de RESILIENCE (accès gratuit et immédiat en prenant un pseudo) ...
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
RESILIENCE - syndicat infirmier contre l’ordre
à
Mesdames et messieurs
les Parlementaires.
Strasbourg, le 13 avril 3011.
Mesdames et messieurs les
Sénateurs et les Députés,
sauf (mauvaise) surprise ou retournement de situation, l'imposture ordinale infirmière touche, enfin, à sa fin.
Débutée en décembre 2006, après le vote à l'Assemblée Nationale d'une Loi obtenue par les pro ordistes, basée sur des informations tronquées et mensongères, ce sont aujourd'hui les mêmes pourcentages très élevés qui sont contre l'ordre infirmier, que ceux qui vous ont été initialement présentés abusivement comme soutenant l'aventure ordinale infirmière.
Sur le plan financier, l'oni cumule maintenant plus de 10 millions d'euros de dettes après en avoir encaissé autant en cotisations, souvent sous la contrainte, jamais ou peu par conviction. Ces quelques 20 millions d'euros d'argent brassé, n'auront servi qu'à assouvir les envies de quelques centaines d'illuminés, associatifs et/ou syndicaux devenus ordinaux, les « cumulards » de la profession, les mêmes qui essaient de nous la refaire – une fois de plus - avec l'approbation du fameux rapport Hénart. Vous pourrez d'ailleurs constater comme nous, en lisant la pièce jointe (pages 5 à 9) à ce courrier, que l'oni n'est pas même capable de présenter un document officiel intitulé « budget 2011-2012 » sans y faire des erreurs de simple calcul, erreurs pour certaines d'entre elles allant jusqu'à 150 000 euros l'unité, excusez du peu … Ainsi, le 30 avril 2011 à minuit, l'oni sera en cessation de paiement, suivie d'une mise en liquidation judiciaire. La banque ayant fait savoir qu'elle retirait sa garantie bancaire à l'oni. Le Gouvernement ayant répété qu'aucune caution n'avait été apportée à l'oni.
Sur le plan juridique, l'ordre devra répondre directement ou indirectement des dossiers en cours qui sont portés depuis des semaines devant les tribunaux. Pour information, la chambre nationale disciplinaire siégeant le mardi 29 mars a été amenée à démentir et donc à débouter les chambres régionales de sanctions ordinales particulièrement injustes ! L'amateurisme reste - aussi - de mise dans ce domaine. (page 4 de la pièce jointe).
RESILIENCE - syndicat infirmier contre l’ordre
Sur le plan législatif, les positionnements de nombreux d'entre vous en faveur de l'abrogation partielle ou totale des ordres paramédicaux via la rédaction de PPL, restées certes lettres mortes, aura néanmoins permis – nous l'espérons vivement - de vous sensibiliser sur notre capacité à nous mobiliser - massivement et sur la durée - contre des Lois que nous rejetterons tant qu'elles ne seront pas – au minimum – discutées/argumentées/concertées par les professionnels concernés avant le vote. Nous retiendrons de cette triste aventure, le fait que nos envois d'avant l'été 2010 auront permis de vous éclairer, apport d'informations et autres arguments qui aura eu pour effet, notamment, le retrait en nombre important de vos questions écrites, co-rédigées semble t-il par certains ordinaux mal intentionnés.
Sur le plan exécutif, enfin, le ministre Xavier Bertrand qui est à l'origine des décrets d'application de la Loi du 21 décembre 2006, en 2007, et de la subvention publique de 1,5 millions d'euros permettant la tenue d'élections professionnelles en 2008 aura eu à connaître la débâcle ordinale infirmière, ministre abusé – lui aussi – par les mêmes illuminés et autres cumulards de la profession.
Notre détermination reste la même depuis le début de notre combat: avec ou sans cotisation l'ordre infirmier c'est dé – fi - ni – ti – ve – ment NON !
Nous ne « vendrons pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué » et nous serons vigilants jusqu'au bout. Comme nous l'avons annoncé, nous sommes entrain de mettre à jour la liste des parlementaires qui auront particulièrement soutenu cet ordre infirmier, devenu en moins de deux années une honte pour la profession et nous saurons – aussi – demander l'annulation des différents accords conclus par cette instance non représentative de notre profession, notamment entre la France et le Québec, ou encore les différentes décisions prises par l'oni lors de la réunion européenne de Paris, le 08 avril dernier. Il est d'ailleurs inadmissible que l'oni puisse continuer à engager la profession infirmière dans son entier alors que sa signature ne vaut plus rien y compris sur le plan moral, et que, chaque jour qui passe est l'occasion de joutes internes frisant parfois le plus que ridicule (page 11).
Recevez mesdames et messieurs les Parlementaires nos salutations infirmières distinguées.
Hugues Dechilly,
secrétaire général.
RESILIENCE – 13 rue de Molsheim – 67000 Strasbourg.
à
Mesdames et messieurs
les Parlementaires.
Strasbourg, le 13 avril 3011.
Mesdames et messieurs les
Sénateurs et les Députés,
sauf (mauvaise) surprise ou retournement de situation, l'imposture ordinale infirmière touche, enfin, à sa fin.
Débutée en décembre 2006, après le vote à l'Assemblée Nationale d'une Loi obtenue par les pro ordistes, basée sur des informations tronquées et mensongères, ce sont aujourd'hui les mêmes pourcentages très élevés qui sont contre l'ordre infirmier, que ceux qui vous ont été initialement présentés abusivement comme soutenant l'aventure ordinale infirmière.
Sur le plan financier, l'oni cumule maintenant plus de 10 millions d'euros de dettes après en avoir encaissé autant en cotisations, souvent sous la contrainte, jamais ou peu par conviction. Ces quelques 20 millions d'euros d'argent brassé, n'auront servi qu'à assouvir les envies de quelques centaines d'illuminés, associatifs et/ou syndicaux devenus ordinaux, les « cumulards » de la profession, les mêmes qui essaient de nous la refaire – une fois de plus - avec l'approbation du fameux rapport Hénart. Vous pourrez d'ailleurs constater comme nous, en lisant la pièce jointe (pages 5 à 9) à ce courrier, que l'oni n'est pas même capable de présenter un document officiel intitulé « budget 2011-2012 » sans y faire des erreurs de simple calcul, erreurs pour certaines d'entre elles allant jusqu'à 150 000 euros l'unité, excusez du peu … Ainsi, le 30 avril 2011 à minuit, l'oni sera en cessation de paiement, suivie d'une mise en liquidation judiciaire. La banque ayant fait savoir qu'elle retirait sa garantie bancaire à l'oni. Le Gouvernement ayant répété qu'aucune caution n'avait été apportée à l'oni.
Sur le plan juridique, l'ordre devra répondre directement ou indirectement des dossiers en cours qui sont portés depuis des semaines devant les tribunaux. Pour information, la chambre nationale disciplinaire siégeant le mardi 29 mars a été amenée à démentir et donc à débouter les chambres régionales de sanctions ordinales particulièrement injustes ! L'amateurisme reste - aussi - de mise dans ce domaine. (page 4 de la pièce jointe).
RESILIENCE - syndicat infirmier contre l’ordre
Sur le plan législatif, les positionnements de nombreux d'entre vous en faveur de l'abrogation partielle ou totale des ordres paramédicaux via la rédaction de PPL, restées certes lettres mortes, aura néanmoins permis – nous l'espérons vivement - de vous sensibiliser sur notre capacité à nous mobiliser - massivement et sur la durée - contre des Lois que nous rejetterons tant qu'elles ne seront pas – au minimum – discutées/argumentées/concertées par les professionnels concernés avant le vote. Nous retiendrons de cette triste aventure, le fait que nos envois d'avant l'été 2010 auront permis de vous éclairer, apport d'informations et autres arguments qui aura eu pour effet, notamment, le retrait en nombre important de vos questions écrites, co-rédigées semble t-il par certains ordinaux mal intentionnés.
Sur le plan exécutif, enfin, le ministre Xavier Bertrand qui est à l'origine des décrets d'application de la Loi du 21 décembre 2006, en 2007, et de la subvention publique de 1,5 millions d'euros permettant la tenue d'élections professionnelles en 2008 aura eu à connaître la débâcle ordinale infirmière, ministre abusé – lui aussi – par les mêmes illuminés et autres cumulards de la profession.
Notre détermination reste la même depuis le début de notre combat: avec ou sans cotisation l'ordre infirmier c'est dé – fi - ni – ti – ve – ment NON !
Nous ne « vendrons pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué » et nous serons vigilants jusqu'au bout. Comme nous l'avons annoncé, nous sommes entrain de mettre à jour la liste des parlementaires qui auront particulièrement soutenu cet ordre infirmier, devenu en moins de deux années une honte pour la profession et nous saurons – aussi – demander l'annulation des différents accords conclus par cette instance non représentative de notre profession, notamment entre la France et le Québec, ou encore les différentes décisions prises par l'oni lors de la réunion européenne de Paris, le 08 avril dernier. Il est d'ailleurs inadmissible que l'oni puisse continuer à engager la profession infirmière dans son entier alors que sa signature ne vaut plus rien y compris sur le plan moral, et que, chaque jour qui passe est l'occasion de joutes internes frisant parfois le plus que ridicule (page 11).
Recevez mesdames et messieurs les Parlementaires nos salutations infirmières distinguées.
Hugues Dechilly,
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
çà sent le sapin ...
de seringuelectrique le 13 Avr 2011 20:28
suite à un nouvel arrivage de courriel ordinal nous apprenons que la présidente Leboeuf a convoqué la commission (de la dernière chance ?) le 19 avril 2011, réunion à laquelle sera invitée la BRED - banque de l'oni ...
(extrait) : "> Nous avons prévu de réunir une commission le 19 avril prochain, cette date sera décisive pour notre avenir. J’y ai invité notre banque pour envisager avec elle tous les scénarios ;
> Nous ne devons pas pour autant arrêter toute activité au sein des conseils d’ci là bien au contraire. Il est plus qu’important aujourd’hui de continuer d’œuvrer pour la profession car c’est vous qui au quotidien apportez le mieux au plus près d’eux ce que les infirmiers sont en droit d’attendre de leur ordre"
nous devons donc en remettre une (dernière) couche à la BRED afin de la dissuader définitivement de continuer à prêter de l'argent inutilement au beurk puisque nous ne paierons jamais et que chaque jour qui passe ce sont des dettes supplémentaires ordinales qui s'accumulent ...
à vos claviers !
webmaster@bred.fr
https://www.bred.fr/content/tetiere-bas ... de-client/
de seringuelectrique le 13 Avr 2011 20:28
suite à un nouvel arrivage de courriel ordinal nous apprenons que la présidente Leboeuf a convoqué la commission (de la dernière chance ?) le 19 avril 2011, réunion à laquelle sera invitée la BRED - banque de l'oni ...
(extrait) : "> Nous avons prévu de réunir une commission le 19 avril prochain, cette date sera décisive pour notre avenir. J’y ai invité notre banque pour envisager avec elle tous les scénarios ;
> Nous ne devons pas pour autant arrêter toute activité au sein des conseils d’ci là bien au contraire. Il est plus qu’important aujourd’hui de continuer d’œuvrer pour la profession car c’est vous qui au quotidien apportez le mieux au plus près d’eux ce que les infirmiers sont en droit d’attendre de leur ordre"
nous devons donc en remettre une (dernière) couche à la BRED afin de la dissuader définitivement de continuer à prêter de l'argent inutilement au beurk puisque nous ne paierons jamais et que chaque jour qui passe ce sont des dettes supplémentaires ordinales qui s'accumulent ...
à vos claviers !
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Re: Centralisation des information sur la lutte contre l'ONI
RESILIENCE - syndicat infirmier contre l’ordre
à
Mesdames et messieurs les membres du Conseil d'Administration
de la BRED / Banques Populaires
copie à
Monsieur le Ministre de la Santé, du Travail et de l'Emploi (Cabinet)
copie à
Monsieur le Député Yves Bur
Strasbourg, le 17 avril 2011.
Mesdames, messieurs,
bien que vous ayant déjà adressé des courriers et autres courriels restés sans réponse,
bien qu'ayant essayé - à plusieurs reprises et sans succès - de prendre contact par téléphone avec votre direction de la communication,
nous vous adressons néanmoins cette lettre avant une réunion prévue le 19 avril prochain, réunion à laquelle la présidente Leboeuf - présidente de l'ordre infirmier - vous a semble t-il convié à assister afin de voir avec votre établissement bancaire toutes les solutions envisageables quant à sa situation financière catastrophique.
Au préalable, nous avons bien conscience que votre banque doit prendre des risques, comme tous les établissements bancaires.
C'est donc avez grand intérêt que nous avons pris connaissance de votre brochure Profil Bred 2010, document dans lequel nous pouvons lire ceci (extraits):
"Après impôts et participation, le résultat net part du groupe ressort à 244,4 millions d'euros, en hausse de 0,6% par rapport à 2009." " En 2009, le bénéfice net consolidé (part du Groupe) de la BRED atteint 243 millions d’euros. La banque est ainsi en mesure de poursuivre une politique d’investissement destinée à assurer son développement dans la durée." "Nous travaillons aussi en partenariat avec les organisations professionnelles. Une convention vient ainsi d’être signée avec l’Ordre national des infirmiers. Portant sur des avantages et tarifs spécifiques pour les professionnels établis, elle prévoit un financement réservé aux jeunes diplômés." "La crise de 2008 et de 2009 laisse encore quelques traces. Le coût du risque augmente de presque 10 millions d'euros, à 70,5 millions d'euros, essentiellement sur notre activité de crédit."
Ces informations sont consultables par n'importe qui sur @, c'est par ce biais que nous nous les sommes procuré.
Il "va de soi" que la crise de 2008/2009 qui alourdit votre prise de risque de quelques 10 millions n'est en aucun cas (?) liée avec le déficit de l'oni, déficit que vous lui avez octroyé sur la ligne de crédit ...
Sauf que sur ce coup, la crise de 2008/2009 a "bon dos" et que le déficit de l'oni n'est en rien en rapport avec la crise mais bien en rapport avec le fait que 85% des infirmiers et infirmières de ce pays refusent et refuseront à jamais de cautionner/cotiser l'oni dont ils n'ont jamais été demandeurs !
Comme les Parlementaires dont beaucoup ont su réviser leur position à la lecture des arguments que nous leur avons fourni dans notre lutte contre l'ordre infirmier, peut être avez vous, vous aussi, été abusés par les élucubrations et autres mensonges ordinaux proférés partout dans la sphère infirmière sur notre supposée volonté à demander un ordre professionnel.
Alors mesdames et messieurs les membres du Conseil d'Administration de la BRED, autant nous comprenons que vous ayez pu être mal informés jusqu'à il y a quelques semaines, autant vous n'aurez plus aucune excuse dans les jours qui viennent à apporter/reporter votre soutien financier à une structure ordinale déficitaire d'au moins 10 millions d'euros au début 2010, de certainement plus à ce jour ...
Enfin, nous avons aussi pris connaissance du document intitulé "Décision juridictionnelle publiée par la Commission bancaire au cours du mois de février 2010" document rédigé à l'initiative de la Commission Bancaire, document que - pour mémoire - nous vous adressons en pièce jointe.
Il va de soi que nous serons amenés à informer la Commission Bancaire sur l'état des finances de l'oni en cas de renouvellement de votre soutien financier à l'oni. Il serait alors irresponsable de votre part - et nous veillerions à ce que votre responsabilité soit reconnue le cas échéant - de vous dédouaner de votre soutien, même en passant ces sommes considérables par pertes et profits.
Nous n'oublierons pas de souligner, bien évidemment, les dégâts collatéraux que votre positionnement commercial en faveur d'un ordre professionnel qui concerne plus de 510 000 professionnels infirmiers à travers le pays ont - déjà - comme conséquences et autres influences sur votre clientèle de professionnels paramédicaux et autres.
Nous sommes plus de 450 000 à le rejeter depuis 2006, sur les quelques 85 000 inscrits (souvent sous la contrainte) à l'ordre infirmier la présidente Leboeuf reconnaît qu'au moins 30 000 n'ont pas renouvellé leur cotisation en 2010/2011.
Vous voilà donc maintenant, mesdames et messieurs les membres du Conseil d'Administration, informés à nouveau. Recevez nos salutations infirmières.
Hugues Dechilly,
secrétaire général.
RESILIENCE - 13 rue de Molsheim - 67000 Strasbourg
à
Mesdames et messieurs les membres du Conseil d'Administration
de la BRED / Banques Populaires
copie à
Monsieur le Ministre de la Santé, du Travail et de l'Emploi (Cabinet)
copie à
Monsieur le Député Yves Bur
Strasbourg, le 17 avril 2011.
Mesdames, messieurs,
bien que vous ayant déjà adressé des courriers et autres courriels restés sans réponse,
bien qu'ayant essayé - à plusieurs reprises et sans succès - de prendre contact par téléphone avec votre direction de la communication,
nous vous adressons néanmoins cette lettre avant une réunion prévue le 19 avril prochain, réunion à laquelle la présidente Leboeuf - présidente de l'ordre infirmier - vous a semble t-il convié à assister afin de voir avec votre établissement bancaire toutes les solutions envisageables quant à sa situation financière catastrophique.
Au préalable, nous avons bien conscience que votre banque doit prendre des risques, comme tous les établissements bancaires.
C'est donc avez grand intérêt que nous avons pris connaissance de votre brochure Profil Bred 2010, document dans lequel nous pouvons lire ceci (extraits):
"Après impôts et participation, le résultat net part du groupe ressort à 244,4 millions d'euros, en hausse de 0,6% par rapport à 2009." " En 2009, le bénéfice net consolidé (part du Groupe) de la BRED atteint 243 millions d’euros. La banque est ainsi en mesure de poursuivre une politique d’investissement destinée à assurer son développement dans la durée." "Nous travaillons aussi en partenariat avec les organisations professionnelles. Une convention vient ainsi d’être signée avec l’Ordre national des infirmiers. Portant sur des avantages et tarifs spécifiques pour les professionnels établis, elle prévoit un financement réservé aux jeunes diplômés." "La crise de 2008 et de 2009 laisse encore quelques traces. Le coût du risque augmente de presque 10 millions d'euros, à 70,5 millions d'euros, essentiellement sur notre activité de crédit."
Ces informations sont consultables par n'importe qui sur @, c'est par ce biais que nous nous les sommes procuré.
Il "va de soi" que la crise de 2008/2009 qui alourdit votre prise de risque de quelques 10 millions n'est en aucun cas (?) liée avec le déficit de l'oni, déficit que vous lui avez octroyé sur la ligne de crédit ...
Sauf que sur ce coup, la crise de 2008/2009 a "bon dos" et que le déficit de l'oni n'est en rien en rapport avec la crise mais bien en rapport avec le fait que 85% des infirmiers et infirmières de ce pays refusent et refuseront à jamais de cautionner/cotiser l'oni dont ils n'ont jamais été demandeurs !
Comme les Parlementaires dont beaucoup ont su réviser leur position à la lecture des arguments que nous leur avons fourni dans notre lutte contre l'ordre infirmier, peut être avez vous, vous aussi, été abusés par les élucubrations et autres mensonges ordinaux proférés partout dans la sphère infirmière sur notre supposée volonté à demander un ordre professionnel.
Alors mesdames et messieurs les membres du Conseil d'Administration de la BRED, autant nous comprenons que vous ayez pu être mal informés jusqu'à il y a quelques semaines, autant vous n'aurez plus aucune excuse dans les jours qui viennent à apporter/reporter votre soutien financier à une structure ordinale déficitaire d'au moins 10 millions d'euros au début 2010, de certainement plus à ce jour ...
Enfin, nous avons aussi pris connaissance du document intitulé "Décision juridictionnelle publiée par la Commission bancaire au cours du mois de février 2010" document rédigé à l'initiative de la Commission Bancaire, document que - pour mémoire - nous vous adressons en pièce jointe.
Il va de soi que nous serons amenés à informer la Commission Bancaire sur l'état des finances de l'oni en cas de renouvellement de votre soutien financier à l'oni. Il serait alors irresponsable de votre part - et nous veillerions à ce que votre responsabilité soit reconnue le cas échéant - de vous dédouaner de votre soutien, même en passant ces sommes considérables par pertes et profits.
Nous n'oublierons pas de souligner, bien évidemment, les dégâts collatéraux que votre positionnement commercial en faveur d'un ordre professionnel qui concerne plus de 510 000 professionnels infirmiers à travers le pays ont - déjà - comme conséquences et autres influences sur votre clientèle de professionnels paramédicaux et autres.
Nous sommes plus de 450 000 à le rejeter depuis 2006, sur les quelques 85 000 inscrits (souvent sous la contrainte) à l'ordre infirmier la présidente Leboeuf reconnaît qu'au moins 30 000 n'ont pas renouvellé leur cotisation en 2010/2011.
Vous voilà donc maintenant, mesdames et messieurs les membres du Conseil d'Administration, informés à nouveau. Recevez nos salutations infirmières.
Hugues Dechilly,
secrétaire général.
RESILIENCE - 13 rue de Molsheim - 67000 Strasbourg