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Posté : 26 sept. 2009, 13:00
par Stinger
louise a écrit :
Hello,pour info,nous au bloc de Villeneuve saint georges ( 94 ),on rale aprés la cotisation élevée de l'ordre,mais surtout on ne payera pas et puis point.Il faut simplement être solidaire les uns les autres.Quand on lit que le gouvernement augmenterait de 15 euros par mois le salaire des IDEs qui auront le nouveau diplôme.......Arretons le foutage de gueule et toute cette foutaise de conseil de l ordre.
J'aime cette solidarité recherchée pour s'opposer à la cotisation mais par contre depuis plusieurs années, il n'y a aucune solidarité entre les IADe pour faire bouger les choses pour vos conditions de travail qui semblent se dégrader !!
Surprenant ...
Posté : 26 sept. 2009, 13:30
par Maxime
Quand on touche au porte feuille, ca aide a réagir :)
Posté : 26 sept. 2009, 19:48
par Maxime
Un article sur Rue89
http://www.rue89.com/2009/09/26/fronde- ... infirmiers
Ça s'appelle un accouchement dans la douleur. Près de trois ans après avoir été créé par la loi, l'Ordre des infirmiers a lancé début septembre son appel à cotisation… 75 euros sont demandés aux quelque 500 000 infirmiers et infirmières de France. Le règlement de cette cotisation ainsi que l'inscription au tableau seront obligatoires pour exercer. Mais des syndicats et un collectif Contre-Ordre des infirmiers appellent au boycott. Une partie, pas encore mesurable de la profession, entre en résistance.
Quelle différence entre les avocats, médecins, architectes… et les infirmiers ? Les premiers exercent en libéral, tandis que les derniers sont à 85% salarié(e)s. Une divergence de taille, qui explique la résistance d'une partie de cette profession.
Une menace de poursuites pour exercice illégal
A l'origine de l'idée, quatre syndicats d'infirmières libérales (FNI, SNIIL, ONSIL et Convergence infirmière) et une quarantaine d'associations, estimaient que la profession avait besoin d'être organisée face aux pouvoirs publics et de se doter d'un code de déontologie.
La règle prévoit que « tout infirmier qui exercerait sans être
inscrit au tableau de l'Ordre s'exposerait à des poursuites pour
exercice illégal ainsi que son éventuel employeur ». Ne sont pas soumis
à cet ordre les seuls infirmiers militaires.
Les syndicats d'infirmières hospitalières, hormis le SNPI (CGC) ont toujours refusé cette organisation jugée corporatiste et rétrograde. Michel Rollo, secrétaire général de la CFTC santé sociaux estime que :
« Dans le monde des infirmiers salariés existe déjà le Haut conseil des professions paramédicales, doté des mêmes missions mais regroupant l'ensemble des professions qui travaillent avec nous en équipe. De plus, l'Ordre va permettre aux pouvoirs publics de se désengager de ses responsabilités, l'Etat dira “vous avez un ordre, débrouillez-vous entre vous”. »
Environ 36 millions de budget annuel
Avec une cotisation prévue est de 75 euros par infirmier(e) (ils et elles sont entre 483 000 et 520 000), l'Ordre récolterait environ 36 millions d'euros, à répartir entre structures départementales, régionales et nationale. 250 à 300 salariés sont prévus à terme, mais seuls trois sont pour l'instant embauchés au siège national.
Cette somme paraît particulièrement élevée alors que « le ministère avait parlé de 10 à 20 euros en 2008 », précise l'intersyndicale.
Dominique Lebœuf, présidente de l'Ordre national, fait valoir que « c'est le moins cher des 18 ordres européens d'infirmiers et le moins cher des ordres médicaux ». Mais nombre de syndicats réfutent la soumission à une « dîme » pour avoir le droit de travailler.
Parmi les autres points qui fâchent les infirmiers, l'intersyndicale s'étonne que l'Ordre demande de retourner un « dossier intrusif et inquisiteur de huit pages », comportant un extrait de casier judiciaire.
Que risquent les désobéissants ?
Se refusant à un boycott « anti-Ordre primaire », la Coordination nationale des infirmières (CNI) préconise un paiement partiel de la cotisation, et estime que « tout refus d'inscription au tableau fondé sur le non-paiement serait illégal ».
Christiant Lacault, infirmier syndiqué à SUD et fondateur du forum contre-Ordre des infirmiers, est assez tranquille sur la suite du mouvement :
« Les fonctionnaires qui représentent 75% des infirmiers en France ne seront pas soumis à la justice de l'Ordre. On reste sous tutelle hospitalière. En cas de faute, je dépends du tribunal, pas de l'Ordre. »
Vu le manque d'infirmières partout en France, difficile d'imaginer un ordre empêchant de travailler ses troupes. L'exemple des kinés, qui refusent l'inscription à leur ordre, encourage Christiant Lacault :
« Depuis trois ans qu'ils sont en résistance, jamais ils n'ont été condamnés par la justice. On pense qu'au pire on peut être condamné à verser la cotisation. »
Posté : 26 sept. 2009, 20:01
par Yves Benisty
Michel Rollo, secrétaire général de la CFTC santé sociaux a écrit :« Dans le monde des infirmiers salariés existe déjà le Haut conseil des professions paramédicales, doté des mêmes missions mais regroupant l'ensemble des professions qui travaillent avec nous en équipe.
On a vu l'inutilité de feu le csppm. Le hcpp le remplace, et je ne vois pas de raison qu'il fasse mieux. Mais jusqu'à la création de l'oni, c'était le seul organe officiel où les ide étaient représentées, par deux syndicalistes.
Avec une cotisation prévue est de 75 euros par infirmier(e) (ils et elles sont entre 483 000 et 520 000)
Moi, ça m'interpelle fortement qu'on ne puisse dénombrer à l'heure actuelle les ide exerçant en France. Parce que là, la fourchette est supérieure à 7 %.
Cette somme paraît particulièrement élevée alors que « le ministère avait parlé de 10 à 20 euros en 2008 », précise l'intersyndicale.
C'est sûr, avec 10 à 20 euros, ça ne représentait même pas le prix d'un abonnement à une revue professionnelle. L'ordre ainsi doté n'aurait pas pu faire grand chose, ce qui aurait arrangé le ministère.
Dominique Lebœuf, présidente de l'Ordre national, fait valoir que « c'est le moins cher des 18 ordres européens d'infirmiers et le moins cher des ordres médicaux ».
Toutafé !
Mais nombre de syndicats réfutent la soumission à une « dîme » pour avoir le droit de travailler.
J'aime bien les syndicats qui parlent de dîme ou de racket pour une cotisation. La cotisation syndicale, c'est du racket aussi ?
Posté : 26 sept. 2009, 20:33
par cedr1c
"Le racket, est ce que le code pénal nomme, « extorsion, ou vol avec violence ». Le racketteur exige de sa victime de l’argent, des objets ou des vêtements en le menaçant"
Un syndicat ne m'a jamais menacé car je ne voulais pas lui donner de mon argent. L'ordre, par contre...
Pour l'article de rue89, j'aime surtout les réactions.
Posté : 26 sept. 2009, 20:43
par Yves Benisty
cedr1c a écrit :"Le racket, est ce que le code pénal nomme, « extorsion, ou vol avec violence ».
Donc demander une cotisation prévue par la loi n'est pas du racket. Je vois que nous sommes d'accord.
Posté : 26 sept. 2009, 21:40
par cedr1c
La demander illégalement, si. Et là, entre une demande non validée par la CNIL, des pièces qui n'ont pas à être demandées, un chèque demandé avant la validation de l'inscription, une non attente des décrets d'application, il y a de quoi faire.
Posté : 27 sept. 2009, 00:12
par Yves Benisty
cedr1c a écrit :La demander illégalement, si.
Ça me rappelle les astuces pour échapper aux radars.
La loi rend l'inscription à l'ordre obligatoire, et la cotisation obligatoire. On peut tourner autour du pot et chercher la petite bête, ça ne changera pas le fond du problème : ce qui est illégal, c'est de ne pas s'inscrire et de ne pas payer.
Posté : 27 sept. 2009, 16:37
par cedr1c
Ah, vous êtes resté bloqué sur le fait de ne pas vouloir admettre que l'ordre se trompe en mettant la cotisation comme élément d'inscription...
Pas grave, Yves, j'ai même depuis trouvé une réaction sur l'article de rue89 qui devrait vous faire plaisir et égayer un peu le débat:
Les infirmiers ont tort, il leur faut un ordre, comme aux médecins, pédicures, pharmaciens, notaires, avocats, etc…. Pourquoi échapperaient-ils à l'organisation corporatiste voulue par le Maréchal ? Encore une fois, les sirènes des syndicats bolcheviques tentent de les détourner de leur devoir.
La pensée du Maréchal a franchit le XXème siècle. Nos dirigeants ont su perpétuer la flamme sacrée. Infirmiers, détournez-vous des faux prophètes ! Revenez au sein de la Nation purifiée, votre mère. A bas les syndicats, vive les corporations !
( à prendre au quinzième degré)
Posté : 27 sept. 2009, 17:45
par Yves Benisty
cedr1c a écrit :Pas grave, Yves, j'ai même depuis trouvé une réaction sur l'article de rue89 qui devrait vous faire plaisir et égayer un peu le débat
[...]Pourquoi échapperaient-ils à l'organisation corporatiste voulue par le Maréchal ? Encore une fois, les sirènes des syndicats bolcheviques tentent de les détourner de leur devoir.
Même au quinzième degré, ça me désole que certains en soient restés là.
Si ça vous fait vraiment plaisir, je peux me fendre d'un texte aussi nul qui comparera les anti-ordres aux asservis trop frileux pour se libérer de leur joug, ou aux détrousseurs de petites vieilles qui ont peur que leurs manquements professionnels ne soient révélés par l'oni.
Et avec l'oni, fier comme un bar-tabac, les infirmier(e)s caracolent sur leurs chevaux blancs pour sauver la veuve et l'orphelin, en criant "Liberté" (ajouter la musique de fond qui convient).
Posté : 27 sept. 2009, 21:16
par Louise Michel
Yves Benisty a écrit :
...Et avec l'oni, fier comme un bar-tabac, les infirmier(e)s caracolent sur leurs chevaux blancs pour sauver la veuve et l'orphelin, en criant "Liberté" (ajouter la musique de fond qui convient).
La musique, c'est "pin-pon", non ?
Posté : 27 sept. 2009, 21:29
par cedr1c
Yves Benisty a écrit :soient restés là.
Si ça vous fait vraiment plaisir, je peux me fendre d'un texte aussi nul qui comparera les anti-ordres aux asservis trop frileux pour se libérer de leur joug, ou aux détrousseurs de petites vieilles qui ont peur que leurs manquements professionnels ne soient révélés par l'oni.
Et avec l'oni, fier comme un bar-tabac, les infirmier(e)s caracolent sur leurs chevaux blancs pour sauver la veuve et l'orphelin, en criant "Liberté" (ajouter la musique de fond qui convient).
Mais ça, vous nous l'avez déjà dit le plus sérieusement du monde, Yves. Et un de vos proches ma parlé de Trotskiste contre l'ordre il y a peu. La comparaison aux extrêmes est dans les deux camps, et la vision Pétain contre Bolchéviques est aussi caricaturale d'un coté comme de l'autre. Mais vous semblez ne l'avoir vu que dans un seul...
Si même l'humour vous fait polémiquer (d'un "c'est nul" à haute valeur ajoutée), cela devient inquiétant.
Posté : 27 sept. 2009, 22:18
par guitou
j'ai une question simple... il y a 10ans quand je me suis inscrit sur le fichier de la ddass de mon département, il y avait un bureau qui se chargeait des IDE avec secretaire dans chaque ddass.
si l'ordre rempli cette mission désormais et sachant qu'il se veut totalement independant, que sont devenus ses personnes des DDASS ??? une bel économie faite sur notre dos non?
c'est surtout cela qui me dérange personnellement dans le prix de la cotisation. Sans compter les modes de remboursement d'absence des élus à l'oni... deux poids deux mesures entre ceux qui sont salariés et les liberaux... moi je fais aussi partie d'autre association et quand j'ai une manifestation sportive, une réunion, je prends des RTT, ou des CA...
c'est un choix que j'ai fait... personne ne m'a imposé de me presenter pour etre responsable...
j'aimerai vraiment que Mme leboeuf nous présente son budget previsionnel sur son site avec les sommes allouées par poste...
Posté : 27 sept. 2009, 22:29
par Yves Benisty
Yves Benisty a écrit :Et avec l'oni, fier comme un bar-tabac, les infirmier(e)s caracolent sur leurs chevaux blancs pour sauver la veuve et l'orphelin, en criant "Liberté" (ajouter la musique de fond qui convient).
Louise Michel a écrit :La musique, c'est "pin-pon", non ?
Bof... Je préfèrerais plutôt :
http://www.youtube.com/watch?v=LWlkWPXfvXc
ou dans un autre genre :
http://www.youtube.com/watch?v=q7hDnKtc9oM
Eh oui, l'ordre c'est l'union des infirmières. Je me demande quelles peuvent être les intentions des personnes qui empêchent cette union de se produire.
cedr1c a écrit :Si même l'humour vous fait polémiquer (d'un "c'est nul" à haute valeur ajoutée), cela devient inquiétant.
Ah mais non, je ne polémique pas, je réponds sur le même ton humouristique, mais vous n'avez pas l'air de trouver ça drôle.
Et humour ou pas, on peut dire que c'est du mauvais humour.
guitou a écrit :il y a 10ans quand je me suis inscrit sur le fichier de la ddass de mon département, il y avait un bureau qui se chargeait des IDE avec secretaire dans chaque ddass.
On ne peut pas dire que cette mission soit bien remplie. Personne ne sait combien il y a d'ide en France, ni où elles travaillent. Les fichiers ne sont pas à jour.
guitou a écrit :Sans compter les modes de remboursement d'absence des élus à l'oni... deux poids deux mesures entre ceux qui sont salariés et les liberaux...
Le principe est simple : personne ne doit gagner ou perdre de l'argent en remplissant ses fonctions à l'oni.
De la même façon que les délégués syndicaux ont des missions de représentation, les élus de l'oni nous représentent. Où est le problème ?
Posté : 28 sept. 2009, 06:12
par guitou
guitou a écrit:
il y a 10ans quand je me suis inscrit sur le fichier de la ddass de mon département, il y avait un bureau qui se chargeait des IDE avec secretaire dans chaque ddass.
On ne peut pas dire que cette mission soit bien remplie. Personne ne sait combien il y a d'ide en France, ni où elles travaillent. Les fichiers ne sont pas à jour.
cependant les chiffres de 2009 paraissent relativement juste...
http://www.sante.gouv.fr/drees/seriesta ... tat131.pdf
je ne suis pas contre l'ordre en soi, c'est la façon qui me gène. débuter d'embler avec une telle charge de personnel... on connait ensuite la difficulté de faire marche arrière. l'oni aurait pu monter ses revenus progressivement en même temps que son activité.
par contre Exemple de bonne prise de position: la prise de position sur l'utilisation des élèves et la vaccination en série de la population avec des infirmier qui préparent et d'autres qui piquent... l'ordre s'est trés bien exprimé mais celà s'est fondu dans le bruit de fond...
le cout d'une telle position? =0 pourtant c'est là son objet non?
EIDE
Posté : 28 sept. 2009, 07:10
par Bruno huet
A propos des vaccinations contre la grippe A
Les EIDE ne peuvent pas travailler sans la supervision d'un IDE diplômé.
Les EIDE travaillerons donc sous la responsabilité des infirmiers volontaires pour les campagnes de vaccination.
Sous quel régime de responsabilité ?
Personnellement il n'est pas question que je sois responsable d'élève que je ne connais pas, dont je n'ai pas évalué les capacités d'une autonomie quelconque.
BH
Re: EIDE
Posté : 28 sept. 2009, 07:34
par guitou
Bruno huet a écrit :A propos des vaccinations contre la grippe A
Les EIDE ne peuvent pas travailler sans la supervision d'un IDE diplômé.
Les EIDE travaillerons donc sous la responsabilité des infirmiers volontaires pour les campagnes de vaccination.
Sous quel régime de responsabilité ?
Personnellement il n'est pas question que je sois responsable d'élève que je ne connais pas, dont je n'ai pas évalué les capacités d'une autonomie quelconque.
BH
c'est ce que préconise l'ONI... de plus c'est celui qui prépare qui injecte normalement...
Posté : 28 sept. 2009, 16:03
par Yves Benisty
La prise de position de l'ordre sur les modalités de la vaccination anti-grippale est en effet intéressante. L'oni ne se mêle pas de l'indication (contrairement à un syndicat infirmier, qui sort totalement de son champ de compétence). Mais l'oni s'exprime clairement sur les conditions de fonctionnement des centres de vaccination :
-la personne qui prépare doit être celle qui injecte ; le morcellement des tâches à des fins de rapidité peut être préjudiciable pour le patient ;
-la situation des ési n'est pas acceptable ; ils ne peuvent passer quatre mois à vacciner, ce qui serait préjudiciable à leur formation ; il faut préciser leurs responsabilité, celle des ide qui les encadrent, et les problèmes d'assurance.
Effectivement, l'oni n'a pas pu exprimer son point de vue aussi clairement qu'il l'aurait souhaité ("celà s'est fondu dans le bruit de fond", je suis tout à fait d'accord).
Dans le futur, quand l'oni sera bien établit et installé dans le paysage de la Santé en France, il sera consulté avant la parution de la circulaire, et pourra émettre son avis, participer à l'organisation.
Si une décision de santé était jugée inique, ou non respectueuse de la législation ou de l'éthique infirmière, ou autre travers, l'oni aura la possibilité de s'exprimer sur ce sujet, même si on ne lui a pas demandé son avis. Et dans les situations où l'oni (et par leur voix les ide) jugera qu'il faut intervenir contre une décision de santé, l'oni pourra communiquer avec les 500 000 ide en France pour faire obstacle à des décisions jugées inadaptées.
Posté : 28 sept. 2009, 21:39
par guitou
c'est bien pour ça que mon coeur balance entre:
payer pour voir (mais voir quand ? on ne peut leur demander l'impossible en quelques mois)
et que je m'interroge encore sur la nécessité de fond important pour des salariés et des locaux certes délocalisés dans chaque département et au siège national et ce dans un cours laps de temps ... alors que l'on sait que d'ici quelques années (exemple européen) les échelons départementaux disparaitront au profit des régions.
d'autre part si on admet que les listes actuelles ne sont pas représentatives des effectifs infirmiers, je rappelle que ces mêmes listes ont servi d'émargement pour l'élection de l'ONI actuel...
donc acte, celui ci n'est pas représentatif... (j'adore enfoncer des portes ouvertes...)
Ok je sors...

Posté : 29 sept. 2009, 17:35
par réaseb
Pour info, l'oni a voté la non augmentation de la cotisation pour l'année prochaine.