
Les réactions des politiques à nos courriers
Modérateur : Marc
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Mme Aubry nous répond ...
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voila tout est dans la piece jointe reçue ce jour et disponible ici
http://dl.free.fr/vuNA6GEEK
si l un admin peux mettre le pdf dans le corps du message ...
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réponse de Mr Lenoir député de l'Orne
Madame,
J'ai pris bonne note de vos inquiétudes concernant les conditions de la reconnaissance du diplôme d'IADE au niveau Master.
Je vous confirme que j'ai interpellé la Ministre de la santé à ce sujet.
Je ne manquerai pas de vous faire part de la suite qui sera réservée à ma démarche.
Cordialement,
Jean Claude Lenoir
Député de l'Orne
J'ai pris bonne note de vos inquiétudes concernant les conditions de la reconnaissance du diplôme d'IADE au niveau Master.
Je vous confirme que j'ai interpellé la Ministre de la santé à ce sujet.
Je ne manquerai pas de vous faire part de la suite qui sera réservée à ma démarche.
Cordialement,
Jean Claude Lenoir
Député de l'Orne
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réponse de Mr Baroin député de l'aube
Madame,
Je suis informé de vos revendications par vos collègues de Troyes. Avec leur concours, j’entreprends des démarches pour que vous soyez écoutés et que vos demandes soient examinées avec soin.
Considération distinguée.
François Baroin
Député de l’Aube
Tél. : 03.25.73.09.70
Fax : 03.25.73.53.82
baroin.francois@wanadoo.fr
33 rue Urbain IV - 10000 Troyes
Je suis informé de vos revendications par vos collègues de Troyes. Avec leur concours, j’entreprends des démarches pour que vous soyez écoutés et que vos demandes soient examinées avec soin.
Considération distinguée.
François Baroin
Député de l’Aube
Tél. : 03.25.73.09.70
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- Maxime
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voici la réponse que je viens de recevoir!
Claude BARTOLONE
Député de la Seine-Saint-Denis
Président du Conseil général
Chère Madame,
Vous avez attiré mon attention sur la situation des infirmiers anesthésistes français (IADEs) et je vous en remercie vivement.
Soucieux des conditions de travail de ces personnels essentiels au service public de santé, j'ai décidé de poser une question écrite à Mme la ministre de la santé et des sports, dont vous trouverez copie ci-joint.
Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de la réponse qui me sera apportée. Je vous avoue que je ne suis pas très optimiste sur la capacité d'écoute du Gouvernement, même après le vote qui est intervenu dimanche dernier.
questions QE
Ministère interrogé : SAN - Ministère de la santé et des sports
M. Claude Bartolone attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la situation des infirmiers anesthésistes diplômés d'État (IADEs). Ce corps professionnel, assez mal connu du grand public malgré des missions essentielles menées avec dévouement au service de tous, a le sentiment d'être particulièrement mal reconnu par l'Etat. Elle a récemment souhaité mettre en place une réflexion sur le transfert de compétence et la reconnaissance Licence, Master, Doctorat (LMD). Si l'idée de départ pouvait paraître judicieuse, la signature très rapide d'un accord avec une partie seulement des organisations syndicales, l'était visiblement beaucoup moins. Les IADEs se sentaient en effet déjà lésés depuis de nombreuses années. Leur formation est particulièrement longue. C'est après avoir suivi une formation d'infirmier de 36 mois après le baccalauréat, justifié d'un minimum d'expérience professionnelle de 2 ans, que ceux qui souhaitent intégrer ce corps peuvent prétendre à préparer le concours d'entrée à l'école d'Infirmier Anesthésiste. La formation qui est alors dispensée est de 24 mois ; elle est sanctionnée par un Diplôme d'état. Au total, le cursus exigé est donc de 5 ans après le baccalauréat, ce qui n'est pas illogique puisque l'Infirmier Anesthésiste est le collaborateur direct du médecin et qu'il effectue souvent par délégation la surveillance de l'anesthésie après l'induction. Le fait que le Gouvernement ait proposé de reconnaître le niveau « Licence » (Bac +3) aux Infirmiers et le niveau « Master » (Bac +5) aux IADEs pouvait sembler a priori aller dans le sens d'une plus grande reconnaissance de cette profession. Pourtant, les réévaluations salariales accompagnant cette mesure sont loin d'être en rapport avec les diplômes exigés : si les infirmiers (temps total de formation de 36 mois) sont réévalués de 2466 euros/an et les infirmiers de bloc opératoire (temps total de formation de 54 mois) de 3312 euros/an, les IADEs (temps total de formation de 60 mois) ne le sont que de 2064 euros/an. Des grilles indiciaires prenant en compte le niveau « Master » existent pourtant : les indices prévus sont beaucoup plus hauts que ceux retenus. Il est en outre notable qu'avec la refonte des grilles indiciaires, les IADEs dépendant déjà de la catégorie A auront le choix de rester en catégorie A active sans revalorisation salariale mais avec une prise en compte de la pénibilité au travail permettant un départ à la retraite à partir de 55 ans, ou d'intégrer la nouvelle grille A avec revalorisation salariale mais sans reconnaissance de la pénibilité au travail permettant un départ à la retraite à partir de 60 ans. Il lui demande donc de bien vouloir lui préciser quelles mesures le Gouvernement entend prendre pour rétablir une stricte égalité de traitement envers les infirmiers anesthésistes diplômés d'État.
Claude BARTOLONE
Député de la Seine-Saint-Denis
Président du Conseil général
Chère Madame,
Vous avez attiré mon attention sur la situation des infirmiers anesthésistes français (IADEs) et je vous en remercie vivement.
Soucieux des conditions de travail de ces personnels essentiels au service public de santé, j'ai décidé de poser une question écrite à Mme la ministre de la santé et des sports, dont vous trouverez copie ci-joint.
Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de la réponse qui me sera apportée. Je vous avoue que je ne suis pas très optimiste sur la capacité d'écoute du Gouvernement, même après le vote qui est intervenu dimanche dernier.
questions QE
Ministère interrogé : SAN - Ministère de la santé et des sports
M. Claude Bartolone attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la situation des infirmiers anesthésistes diplômés d'État (IADEs). Ce corps professionnel, assez mal connu du grand public malgré des missions essentielles menées avec dévouement au service de tous, a le sentiment d'être particulièrement mal reconnu par l'Etat. Elle a récemment souhaité mettre en place une réflexion sur le transfert de compétence et la reconnaissance Licence, Master, Doctorat (LMD). Si l'idée de départ pouvait paraître judicieuse, la signature très rapide d'un accord avec une partie seulement des organisations syndicales, l'était visiblement beaucoup moins. Les IADEs se sentaient en effet déjà lésés depuis de nombreuses années. Leur formation est particulièrement longue. C'est après avoir suivi une formation d'infirmier de 36 mois après le baccalauréat, justifié d'un minimum d'expérience professionnelle de 2 ans, que ceux qui souhaitent intégrer ce corps peuvent prétendre à préparer le concours d'entrée à l'école d'Infirmier Anesthésiste. La formation qui est alors dispensée est de 24 mois ; elle est sanctionnée par un Diplôme d'état. Au total, le cursus exigé est donc de 5 ans après le baccalauréat, ce qui n'est pas illogique puisque l'Infirmier Anesthésiste est le collaborateur direct du médecin et qu'il effectue souvent par délégation la surveillance de l'anesthésie après l'induction. Le fait que le Gouvernement ait proposé de reconnaître le niveau « Licence » (Bac +3) aux Infirmiers et le niveau « Master » (Bac +5) aux IADEs pouvait sembler a priori aller dans le sens d'une plus grande reconnaissance de cette profession. Pourtant, les réévaluations salariales accompagnant cette mesure sont loin d'être en rapport avec les diplômes exigés : si les infirmiers (temps total de formation de 36 mois) sont réévalués de 2466 euros/an et les infirmiers de bloc opératoire (temps total de formation de 54 mois) de 3312 euros/an, les IADEs (temps total de formation de 60 mois) ne le sont que de 2064 euros/an. Des grilles indiciaires prenant en compte le niveau « Master » existent pourtant : les indices prévus sont beaucoup plus hauts que ceux retenus. Il est en outre notable qu'avec la refonte des grilles indiciaires, les IADEs dépendant déjà de la catégorie A auront le choix de rester en catégorie A active sans revalorisation salariale mais avec une prise en compte de la pénibilité au travail permettant un départ à la retraite à partir de 55 ans, ou d'intégrer la nouvelle grille A avec revalorisation salariale mais sans reconnaissance de la pénibilité au travail permettant un départ à la retraite à partir de 60 ans. Il lui demande donc de bien vouloir lui préciser quelles mesures le Gouvernement entend prendre pour rétablir une stricte égalité de traitement envers les infirmiers anesthésistes diplômés d'État.
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C'est marrant, j'ai eu la même cet après midi!
Monsieur,
Vous avez attiré mon attention sur la situation des infirmiers anesthésistes français (IADEs) et je vous en remercie vivement.
Soucieux des conditions de travail de ces personnels essentiels au service public de santé, j'ai décidé de poser une question écrite à Mme la ministre de la santé et des sports, dont vous trouverez copie ci-joint.
Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de la réponse qui me sera apportée.
Je vous prie de croire, Monsieur, en l'assurance de mes salutations distinguées.
Claude BARTOLONE
Ministère interrogé : SAN - Ministère de la santé et des sports
M. Claude Bartolone attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la situation des infirmiers anesthésistes diplômés d'État (IADEs). Ce corps professionnel, assez mal connu du grand public malgré des missions essentielles menées avec dévouement au service de tous, a le sentiment d'être particulièrement mal reconnu par l'Etat. Elle a récemment souhaité mettre en place une réflexion sur le transfert de compétence et la reconnaissance Licence, Master, Doctorat (LMD). Si l'idée de départ pouvait paraître judicieuse, la signature très rapide d'un accord avec une partie seulement des organisations syndicales, l'était visiblement beaucoup moins. Les IADEs se sentaient en effet déjà lésés depuis de nombreuses années. Leur formation est particulièrement longue. C'est après avoir suivi une formation d'infirmier de 36 mois après le baccalauréat, justifié d'un minimum d'expérience professionnelle de 2 ans, que ceux qui souhaitent intégrer ce corps peuvent prétendre à préparer le concours d'entrée à l'école d'Infirmier Anesthésiste. La formation qui est alors dispensée est de 24 mois ; elle est sanctionnée par un Diplôme d'état. Au total, le cursus exigé est donc de 5 ans après le baccalauréat, ce qui n'est pas illogique puisque l'Infirmier Anesthésiste est le collaborateur direct du médecin et qu'il effectue souvent par délégation la surveillance de l'anesthésie après l'induction. Le fait que le Gouvernement ait proposé de reconnaître le niveau « Licence » (Bac +3) aux Infirmiers et le niveau « Master » (Bac +5) aux IADEs pouvait sembler a priori aller dans le sens d'une plus grande reconnaissance de cette profession. Pourtant, les réévaluations salariales accompagnant cette mesure sont loin d'être en rapport avec les diplômes exigés : si les infirmiers (temps total de formation de 36 mois) sont réévalués de 2466 euros/an et les infirmiers de bloc opératoire (temps total de formation de 54 mois) de 3312 euros/an, les IADEs (temps total de formation de 60 mois) ne le sont que de 2064 euros/an. Des grilles indiciaires prenant en compte le niveau « Master » existent pourtant : les indices prévus sont beaucoup plus hauts que ceux retenus. Il est en outre notable qu'avec la refonte des grilles indiciaires, les IADEs dépendant déjà de la catégorie A auront le choix de rester en catégorie A active sans revalorisation salariale mais avec une prise en compte de la pénibilité au travail permettant un départ à la retraite à partir de 55 ans, ou d'intégrer la nouvelle grille A avec revalorisation salariale mais sans reconnaissance de la pénibilité au travail permettant un départ à la retraite à partir de 60 ans. Il lui demande donc de bien vouloir lui préciser quelles mesures le Gouvernement entend prendre pour rétablir une stricte égalité de traitement envers les infirmiers anesthésistes diplômés d'État.
Monsieur,
Vous avez attiré mon attention sur la situation des infirmiers anesthésistes français (IADEs) et je vous en remercie vivement.
Soucieux des conditions de travail de ces personnels essentiels au service public de santé, j'ai décidé de poser une question écrite à Mme la ministre de la santé et des sports, dont vous trouverez copie ci-joint.
Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de la réponse qui me sera apportée.
Je vous prie de croire, Monsieur, en l'assurance de mes salutations distinguées.
Claude BARTOLONE
Ministère interrogé : SAN - Ministère de la santé et des sports
M. Claude Bartolone attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la situation des infirmiers anesthésistes diplômés d'État (IADEs). Ce corps professionnel, assez mal connu du grand public malgré des missions essentielles menées avec dévouement au service de tous, a le sentiment d'être particulièrement mal reconnu par l'Etat. Elle a récemment souhaité mettre en place une réflexion sur le transfert de compétence et la reconnaissance Licence, Master, Doctorat (LMD). Si l'idée de départ pouvait paraître judicieuse, la signature très rapide d'un accord avec une partie seulement des organisations syndicales, l'était visiblement beaucoup moins. Les IADEs se sentaient en effet déjà lésés depuis de nombreuses années. Leur formation est particulièrement longue. C'est après avoir suivi une formation d'infirmier de 36 mois après le baccalauréat, justifié d'un minimum d'expérience professionnelle de 2 ans, que ceux qui souhaitent intégrer ce corps peuvent prétendre à préparer le concours d'entrée à l'école d'Infirmier Anesthésiste. La formation qui est alors dispensée est de 24 mois ; elle est sanctionnée par un Diplôme d'état. Au total, le cursus exigé est donc de 5 ans après le baccalauréat, ce qui n'est pas illogique puisque l'Infirmier Anesthésiste est le collaborateur direct du médecin et qu'il effectue souvent par délégation la surveillance de l'anesthésie après l'induction. Le fait que le Gouvernement ait proposé de reconnaître le niveau « Licence » (Bac +3) aux Infirmiers et le niveau « Master » (Bac +5) aux IADEs pouvait sembler a priori aller dans le sens d'une plus grande reconnaissance de cette profession. Pourtant, les réévaluations salariales accompagnant cette mesure sont loin d'être en rapport avec les diplômes exigés : si les infirmiers (temps total de formation de 36 mois) sont réévalués de 2466 euros/an et les infirmiers de bloc opératoire (temps total de formation de 54 mois) de 3312 euros/an, les IADEs (temps total de formation de 60 mois) ne le sont que de 2064 euros/an. Des grilles indiciaires prenant en compte le niveau « Master » existent pourtant : les indices prévus sont beaucoup plus hauts que ceux retenus. Il est en outre notable qu'avec la refonte des grilles indiciaires, les IADEs dépendant déjà de la catégorie A auront le choix de rester en catégorie A active sans revalorisation salariale mais avec une prise en compte de la pénibilité au travail permettant un départ à la retraite à partir de 55 ans, ou d'intégrer la nouvelle grille A avec revalorisation salariale mais sans reconnaissance de la pénibilité au travail permettant un départ à la retraite à partir de 60 ans. Il lui demande donc de bien vouloir lui préciser quelles mesures le Gouvernement entend prendre pour rétablir une stricte égalité de traitement envers les infirmiers anesthésistes diplômés d'État.
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Communiqué de Jacqueline Fraysse et Roland Muzeau pour le Groupe des Député-e-s Communistes, Républicains et du Parti de Gauche
Paris, le 22 Mars 2010,
Infirmières hospitalières : un troc indécent
Le gouvernement entend faire entériner par l'Assemblée nationale une disposition qui imposerait un recul de l'âge dedépart à la retraite, aux deux tiers des agents hospitaliers. Les infirmières sont les premières visées par cet articleintroduit dans un projet de loi sur "la modernisation du dialogue social dans la fonction publique" : en contrepartie d'une revalorisation de leurs salaires, elles devraient désormais obligatoirement travailler au moins jusqu'à 60 ans,
alors que la pénibilité de leur métier était jusque-là compensée par la possibilité d'une retraite à 55 ans. C'est unmarché de dupes qui leur est ainsi proposé.
Une meilleure reconnaissance des professions paramédicales est indispensable, notamment par une revalorisation salariale. Il suffit, pour s'en convaincre, de rappeler qu'une infirmière diplômée d'Etat (Bac +3) gagne 1584 € net mensuels en début de carrière, pour atteindre 2499¬ en fin de carrière. Et pour attester de la pénibilité du travail exercé, il suffit de rappeler qu'une infirmière sur quatre est en invalidité au moment de son départ en retraite, selon les chiffres publiés par la Caisse Nationale de Retraite des Agents des Collectivités locales.
La frénésie de la droite à mettre en pièce le système des retraites en France ne connait donc aucun répit. Contraints, dans un premier temps, de renoncer à faire passer leur réforme en plein été, l'Elysée et Matignon multiplient les tentatives d'enfoncer des coins dans les garanties de telle ou telle catégorie de salariés.
Cette disposition honteuse, intégrée par lettre rectificative dans le projet de loi soumis à l'examen des Député-e-s le 30 mars prochain, a tous les traits d'un coup de force. Les Député-es communistes , républicains, du Parti de gauche en exigent le retrait.
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Bonjour,
Veuillez trouver ci-après la question au gouvernement que Valérie Boyer vient de déposer concernant la réévaluation salariale des IADE.
Type de questions QE
Ministère interrogé : SAN - Ministère de la santé et des sports
Question n° 01-77832 : du :date non fixée
Mme Valérie Boyer attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la réévaluation du salaire des infirmiers anesthésistes diplômés d'état (IADE). Les IADE sont des professionnels de santé, collaborateurs directs du médecin, qui assurent notamment la surveillance de l'anesthésie et du réveil du patient. Ils suivent une formation d'une durée totale de 60 mois sanctionnée par un diplôme d'Etat. Le gouvernement propose de reconnaître les IADE au niveau Master. Cette initiative, juste et attendue, s'accompagne d'une réévaluation salariale. Or, celle-ci semble insuffisante dans le cas des IADE compte-tenu de la durée de leurs études et des responsabilités qui leur sont dévolues. A titre de comparaison, les infirmiers de bloc opératoire bénéficient d'une revalorisation salariale plus importante alors même que leur formation dure 54 mois. Dans ce contexte, elle le prie de bien vouloir lui faire connaître sa position sur ce sujet.
Vous pouvez compter sur le soutien de Valérie Boyer sur ces questions.
Cordialement,
-----------------------
Julien RAVIER
Attaché Parlementaire de Mme Valérie BOYER
Députée de la 8e circonscription des Bouches-du-Rhône
Adjointe au Maire de Marseille déléguée à la Politique de la Ville
Secrétaire nationale UMP Santé
306, Route des Trois Lucs à la Valentine - 13011 Marseille
Tél: 04 91 06 54 33
Fax: 04 91 06 54 12
Veuillez trouver ci-après la question au gouvernement que Valérie Boyer vient de déposer concernant la réévaluation salariale des IADE.
Type de questions QE
Ministère interrogé : SAN - Ministère de la santé et des sports
Question n° 01-77832 : du :date non fixée
Mme Valérie Boyer attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la réévaluation du salaire des infirmiers anesthésistes diplômés d'état (IADE). Les IADE sont des professionnels de santé, collaborateurs directs du médecin, qui assurent notamment la surveillance de l'anesthésie et du réveil du patient. Ils suivent une formation d'une durée totale de 60 mois sanctionnée par un diplôme d'Etat. Le gouvernement propose de reconnaître les IADE au niveau Master. Cette initiative, juste et attendue, s'accompagne d'une réévaluation salariale. Or, celle-ci semble insuffisante dans le cas des IADE compte-tenu de la durée de leurs études et des responsabilités qui leur sont dévolues. A titre de comparaison, les infirmiers de bloc opératoire bénéficient d'une revalorisation salariale plus importante alors même que leur formation dure 54 mois. Dans ce contexte, elle le prie de bien vouloir lui faire connaître sa position sur ce sujet.
Vous pouvez compter sur le soutien de Valérie Boyer sur ces questions.
Cordialement,
-----------------------
Julien RAVIER
Attaché Parlementaire de Mme Valérie BOYER
Députée de la 8e circonscription des Bouches-du-Rhône
Adjointe au Maire de Marseille déléguée à la Politique de la Ville
Secrétaire nationale UMP Santé
306, Route des Trois Lucs à la Valentine - 13011 Marseille
Tél: 04 91 06 54 33
Fax: 04 91 06 54 12
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- Localisation : Dijon
Monsieur,
Vous avez souhaité faire part de vos préoccupations à monsieur BINETRUY sur la situation des infirmiers anesthésistes.
Je vous prie de trouver ci-joint le texte de la question qu'il a adressée à madame le Ministre de la Santé
Je ne manquerai pas de transmettre la réponse qui lui sera apportée.
Cordialement,
Son assistante
http://www.scribd.com/doc/28964239
Vous avez souhaité faire part de vos préoccupations à monsieur BINETRUY sur la situation des infirmiers anesthésistes.
Je vous prie de trouver ci-joint le texte de la question qu'il a adressée à madame le Ministre de la Santé
Je ne manquerai pas de transmettre la réponse qui lui sera apportée.
Cordialement,
Son assistante
http://www.scribd.com/doc/28964239