Bonjour,
j'ai besoin de vos avis sur la lecture à faire de cette phrase du décret du 12/1994 concernant la visite pré-op :
"...la consult pré-op ne se substitue pas à la visite pré-anesthésisque qui doit effectuée [font=Arial]dans les heures précédent [/font]le moment prévu pour l'intervention".
Actuellement , les MAR requestionnent les patients à l'entrée au bloc, et comme par hasard , ils leur manquent souvent un examen, un bilan que l'autre MAR n'a pas demandé .. et donc direction la SSPI pour prélever, faire 1 ECG et j'en passe. Retard dans le programme, les chir font la danse des opérateurs pas contents, la SSPI déborde. les IADE me disent : "quand nous allions dans les services voir les dossiers la veille , nous n'avons pas ces problèmes... "certes mais ce n'est pas dans nos compétences , non ? je refuse qu'ils pallient à ce manque (surtout qu'il y a un MAR 24h/24h sur place".
cela génére de l'insatisfaction générale : des IADE, des chir, patients qui sont patients, des chir, de moi ...
Les heures précédents : est-ce la veille, le matin en salle, entre les deux ?
Comment pourrais-je argumenter pour qu'ils se déplacent jusqu'aux services de soins le veille ?
merci ++ :

Qques éléments ici

http://www.laryngo.com/phpBB2/viewtopic.php?t=2375

Dans toutes les bonnes maisons, les mar font les "vépéa", VPA, visite pré-anesthésie. La veille, ils voient tous les patients entrés la veille, et le matin ils voient ceux qu'ils peuvent voir avant le bloc. Avec une bonne organisation, ils arrivent à voir à peu près tout le monde, ce qui simplifie nettement le travail ensuite, évite les surprises de dernière minute, et diminue nettement l'anxiété du patient.

Ensuite, s'il manque beaucoup d'examens, il y a aussi d'autres problèmes d'organisation à voir en amont.