Garde a vue - SMUR
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Garde a vue - SMUR
Drôme : garde à vue prolongée pour un médecin du Samu
Créé le 04/10/08 - Dernière mise à jour le 05/10/08 à 12h47
3 commentaires
Un médecin du Samu 26, mis en cause après le décès d'une octogénaire victime d'un malaise cardiaque samedi dernier à Valence dans la Drôme, a été placé en garde à vue samedi soir et cette garde à vue a été prolongée de 24 heures dimanche matin. L'homme, vraisemblablement de nationalité étrangère, est soupçonné "d'homicide involontaire", un rapport du directeur de l'hôpital de Valence faisant état de "gestes tout à fait bizarres au regard de la pratique médicale normale", selon le parquet de Valence.
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La garde à vue d'un médecin du Samu 26, interrogé à la suite d'un rapport du directeur de l'hôpital de Valence faisant état de "gestes tout à fait bizarres au regard de la pratique médicale normale" lors d'une intervention, a été prolongée de 24 heures dimanche matin. Ce praticien de 42 ans était intervenu samedi dernier dans un salon de coiffure de Valence où une cliente âgé de 80 ans venait d'être victime d'un malaise cardiaque. "Conduite à l'hôpital de Valence, la patiente décédait cinq minutes après son arrivée", a expliqué le parquet de Valence.
Selon le procureur, le médecin est soupçonné d'"homicide involontaire". Selon les premiers éléments de l'enquête, le médecin était employé "depuis peu de temps" au Samu de Valence. Il pourrait être de nationalité étrangère.
"Des témoins sont entendus et on fait des investigations complémentaires, pour avoir un maximum d'éléments et entendre un maximum de personnes, à la fois du personnel hospitalier et des personnes présentes au moment des faits", a expliqué une source proche de l'enquête.
Source : Europe 1
Créé le 04/10/08 - Dernière mise à jour le 05/10/08 à 12h47
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Un médecin du Samu 26, mis en cause après le décès d'une octogénaire victime d'un malaise cardiaque samedi dernier à Valence dans la Drôme, a été placé en garde à vue samedi soir et cette garde à vue a été prolongée de 24 heures dimanche matin. L'homme, vraisemblablement de nationalité étrangère, est soupçonné "d'homicide involontaire", un rapport du directeur de l'hôpital de Valence faisant état de "gestes tout à fait bizarres au regard de la pratique médicale normale", selon le parquet de Valence.
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La garde à vue d'un médecin du Samu 26, interrogé à la suite d'un rapport du directeur de l'hôpital de Valence faisant état de "gestes tout à fait bizarres au regard de la pratique médicale normale" lors d'une intervention, a été prolongée de 24 heures dimanche matin. Ce praticien de 42 ans était intervenu samedi dernier dans un salon de coiffure de Valence où une cliente âgé de 80 ans venait d'être victime d'un malaise cardiaque. "Conduite à l'hôpital de Valence, la patiente décédait cinq minutes après son arrivée", a expliqué le parquet de Valence.
Selon le procureur, le médecin est soupçonné d'"homicide involontaire". Selon les premiers éléments de l'enquête, le médecin était employé "depuis peu de temps" au Samu de Valence. Il pourrait être de nationalité étrangère.
"Des témoins sont entendus et on fait des investigations complémentaires, pour avoir un maximum d'éléments et entendre un maximum de personnes, à la fois du personnel hospitalier et des personnes présentes au moment des faits", a expliqué une source proche de l'enquête.
Source : Europe 1
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bonjour
depuis hier, jour ou jour de publication de cette nouvelle.......je multiplie les recherches afin d'avoir quelques éléments de réponses afin de savoir ce que l'on reproche dans les faits à ce médecin
or rien !!! il n'existe rien de crédible dans cette affaire..........hier soir ce médecin a été relaché........il n'est pas en garde à vue
c'est du n'importe quoi !!.........les journalistes montent en flèche des infos sans controler les sources, analyser les faits........c'est pitoyable
alors de grâce ne faisons pas de ce forum (de qualité) un relai de commérages médiocres
faisons l'effort de vérifier les sources, d'avoir connaissances des faits .....avant de nous lancer dans des jugements
cordialement
kris
depuis hier, jour ou jour de publication de cette nouvelle.......je multiplie les recherches afin d'avoir quelques éléments de réponses afin de savoir ce que l'on reproche dans les faits à ce médecin
or rien !!! il n'existe rien de crédible dans cette affaire..........hier soir ce médecin a été relaché........il n'est pas en garde à vue
c'est du n'importe quoi !!.........les journalistes montent en flèche des infos sans controler les sources, analyser les faits........c'est pitoyable
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cordialement
kris
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Extrait AFP
Il est finalement sorti libre du tribunal le même jour. Le juge a estimé qu'il n'existait "pas suffisamment de raison de le mettre en examen", s'est félicité son avocat, Me Philippe Chasteau.
Il a cependant été placé sous le statut de témoin assisté, à mi-chemin entre celui de simple témoin et celui de mis en examen.
Ni l'hôpital ni le parquet n'ont souhaité préciser les gestes qui sont reprochés au médecin. Il n'a fait que "refermer la mâchoire d'une personne déjà morte", selon son avocat.
"Lorsque les appareils ont été retirés, la mâchoire de la victime a eu des mouvements réflexes, dits +gasp+, et mon client a fermé sa mâchoire par en-dessous", a-t-il détaillé à l'AFP.
"Elle était morte au niveau cardiaque, ces mouvements ne signifient pas qu'elle essayait de respirer, ce sont des réflexes qui peuvent impressionner", a-t-il estimé, indiquant que des témoins dont une infirmière avaient "pris ce geste pour une tentative d'étouffement".
Même son de cloche chez le docteur Gille Célérien, médecin traitant d'Elise Charmasson. Il était présent "par hasard", lors de l'accident de sa patiente, son cabinet se trouvant à deux pas du salon de coiffure et du domicile de cette dernière.
Lors d'un entretien lundi avec l'AFP, le médecin a été formel: l'urgentiste "a eu un comportement professionnel dans les règles de ce qu'il fallait faire dans les cas d'arrêt cardiaque".
Rappelant que sa patiente avait de "gros antécédents cardiaques", il a salué l'urgentiste "calme et responsable qui, confronté à une crise cardiaque, a fait ce qu'il devait faire et qui l'a fait jusqu'au bout".
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ceci dit, maintenir la mandibule du patient avec la main pour eviter les gasp dans un lieux public, c'est pour le moins maladroit...que des temoins aient pu mal interpreter le geste n'est pas etonnant.
le vrai probleme est que des gens (et surtout des gens comme un directeur d'hopital, un capitaine de police,un procureur...)puissent imaginer un medecin de SMUR assassiner un patient devant temoins et dans un lieu public.
Maintenant pour la garde à vue... c'est devenu de la routine! On est dans un systeme policier à la dérive...les gardes à vues font bon effet vis à vis de la hierarchie. C'est du chiffre et basta. On s'en fout que des gens se suicident derriere. Parceque pour ceux qui l'ignorent, une garde à vue, c'est fait pour detruire le suspect et l'aider à passer aux aveux, l'effet paradoxal, c'est que ça le detruit aussi meme s'il n'a rien à avouer
le vrai probleme est que des gens (et surtout des gens comme un directeur d'hopital, un capitaine de police,un procureur...)puissent imaginer un medecin de SMUR assassiner un patient devant temoins et dans un lieu public.
Maintenant pour la garde à vue... c'est devenu de la routine! On est dans un systeme policier à la dérive...les gardes à vues font bon effet vis à vis de la hierarchie. C'est du chiffre et basta. On s'en fout que des gens se suicident derriere. Parceque pour ceux qui l'ignorent, une garde à vue, c'est fait pour detruire le suspect et l'aider à passer aux aveux, l'effet paradoxal, c'est que ça le detruit aussi meme s'il n'a rien à avouer
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Les critiques se concentrent sur l'hôpital et le parquet de Valence qui auraient agi avec «précipitation» contre l'urgentiste du Samu.
Des questions se posent après le placement en garde à vue d'un médecin du Samu de Valence, soupçonné «d'homicide volontaire» après avoir pris en charge une octogénaire en arrêt cardiaque. Dimanche soir, le praticien a en effet été relâché sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui. Une divergence d'interprétation sur un geste médical a priori banal serait à l'origine de la mise en cause que les syndicats d'urgentistes ont qualifiée lundi d'«intempestive» et «mensongère». D'après ses avocats, le médecin est aujourd'hui «en état de choc».
L'intervention du «Samu 26». Appelée le 27 septembre au matin dans un salon de coiffure de Valence (Drôme), l'équipe du Samu 26 prend en charge une femme de 87 ans, victime d'un malaise cardiaque. Sur place, trois pompiers sont déjà en train de réanimer la patiente. «À l‘arrivée du Samu, la vieille dame n'a ni pouls ni rythme cardiaque et elle ne respire pas, souligne Me Malika Liateni-Girardet, l'avocate du médecin mis en cause. La patiente est, à ce moment-là, déjà décédée. À la demande de mon client, les secouristes continuent toutefois le massage et la ventilation et, pendant 30 minutes supplémentaires, tous les soins qui s'imposent seront prodigués.» Présent sur place, le médecin traitant de la patiente, qui a un lourd passé cardiaque, décrira aux enquêteurs une prise en charge «exemplaire».
Le geste médical. «La mort est finalement déclarée et le médecin traitant propose d'établir le certificat, relate Me Philippe Chasteau, l'autre conseil de l'urgentiste. Mais au moment où le matériel de réanimation est retiré, la mâchoire de la victime se met à avoir des mouvements réflexes, connus par les médecins sous le nom de gasp.» En garde à vue, puis devant le juge d'instruction, l'urgentiste expliquera qu'il a alors refermé, avec deux doigts, la bouche de la vieille dame par égard pour sa famille , témoin de la scène . Mais l'infirmière-urgentiste est, elle, persuadée que l'octogénaire est encore vivante, en raison de ces mouvements pouvant laisser penser à une tentative de respiration, mais aussi d'une légère oscillation sur le scope. Ayant pris le geste du médecin pour une tentative d'étouffement, l'infirmière dénonce à sa hiérarchie un comportement «anormal au regard de la pratique médicale». L'ambulancier se dit lui aussi très choqué.
Un service récemment réorganisé. Informé, le directeur du centre hospitalier de Valence se tourne vers le chef de service du Samu 26. Cette dernière remet un rapport qui sera aussitôt transmis à la justice. Le médecin fait l'objet d'une suspension administrative immédiate. «La direction de l'hôpital s'est dédouanée un peu rapidement, en saisissant ainsi la justice, alors qu'elle aurait pu organiser une réunion de service pour évoquer cette différence d‘interprétation au sein de l'équipe», s'étonne Marc Giroud, le président de Samu de France. Selon plusieurs sources, le service aurait récemment été restructuré à la suite de «dysfonctionnements».
L'emballement judiciaire. Interpellé, samedi à 6 h 15 à son domicile par la sûreté départementale de Valence, le médecin-urgentiste est placé en garde à vue jusqu'à dimanche soir. Les enquêtes sur des erreurs médicales présumées sont délicates, expliquait-on lundi à la Chancellerie, pour justifier cette procédure. Dimanche soir, le procureur de la République de Valence choisit d'ouvrir une information judiciaire pour «homicide volontaire» et requiert un placement sous contrôle judiciaire très strict, avec interdiction d'exercer la médecine. «Cette qualification est inadmissible pour un professionnel dont la vocation est précisément de sauver des vies», s'emporte Patrick Pelloux, le président de l'Association des médecins urgentistes de France (Amuf). «Ce médecin s'est peut-être en l'espèce montré maladroit dans sa manière de faire, mais l'arrêt d'une réanimation est toujours un acte très difficile et peu encadré», renchérit le Dr Giroud.
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- Donateur laryngo 2009
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- Bruno huet
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On a pas un métier facile
Bonjour
Il est bien difficile d'apporter des commentaires sur cette situation, on ne connait pas bien les éléments vérifiés de cette histoire, sans prendre le riquer d'être attaqué pour diffamation.
Si c'est l'IDE du SMUR qui a fait le signalement.
- Cela démontre un manque de communication entre les membres de l'équipe "le mépris parfois de la profession par la corporation médicale améne ce type de réaction, voir le signalement des IDE de réa d'un hôpital dans l'est de la France il y a quelques temps" .
- Cela démontre un manque de recul lié à l'inexpérience de l'intervenant.
- Cela peut démontrer un réglement de compte.
Ce qu'il faut retenir c'est qu'il faut être prudent dans nos réactions sur intervention, cela peut aboutir à de mauvaise interprétations des témoins professionnels ou non.
Cordialement à vous
Il est bien difficile d'apporter des commentaires sur cette situation, on ne connait pas bien les éléments vérifiés de cette histoire, sans prendre le riquer d'être attaqué pour diffamation.
Si c'est l'IDE du SMUR qui a fait le signalement.
- Cela démontre un manque de communication entre les membres de l'équipe "le mépris parfois de la profession par la corporation médicale améne ce type de réaction, voir le signalement des IDE de réa d'un hôpital dans l'est de la France il y a quelques temps" .
- Cela démontre un manque de recul lié à l'inexpérience de l'intervenant.
- Cela peut démontrer un réglement de compte.
Ce qu'il faut retenir c'est qu'il faut être prudent dans nos réactions sur intervention, cela peut aboutir à de mauvaise interprétations des témoins professionnels ou non.
Cordialement à vous
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- Localisation : tres grand ouest
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- Messages : 2388
- Enregistré le : 27 mars 2004, 16:39
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Re: On a pas un métier facile
D'après la dépêche afp, l'infirmière aurait signalé un comportement bizare, et le chef de service aurait remis un rapport au directeur.Bruno huet a écrit :Si c'est l'IDE du SMUR qui a fait le signalement.
- Cela démontre un manque de communication entre les membres de l'équipe "le mépris parfois de la profession par la corporation médicale améne ce type de réaction, voir le signalement des IDE de réa d'un hôpital dans l'est de la France il y a quelques temps" .
- Cela démontre un manque de recul lié à l'inexpérience de l'intervenant.
- Cela peut démontrer un réglement de compte.
L'infirmière ne serait donc pas la seule en cause. La position du chef de service est pour le moins surprenante.Ayant pris le geste du médecin pour une tentative d'étouffement, l'infirmière dénonce à sa hiérarchie un comportement «anormal au regard de la pratique médicale». L'ambulancier se dit lui aussi très choqué.
[...] Informé, le directeur du centre hospitalier de Valence se tourne vers le chef de service du Samu 26. Cette dernière remet un rapport qui sera aussitôt transmis à la justice.
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- Enregistré le : 09 nov. 2005, 19:49
C'est, malheureusement, en faisant n'importe quoi, qu'on ne devient pas n'importe qui... Formation au rabais, professionnels mal formés et c'est la catastrophe... Vive la France!!!
On ne sait pas grand chose dans l'histoire.Petite info que certains n'avaient pas: c'est l'infirmière du SMUR qui a dénoncé les gestes "bizarres" du médecin à la direction. Oops
Je ne parlais pas de la compétence médicale, excusez moi, mais de l'IDE de SMUR qui "balance" sans savoir, peut-être, le réel objectif des gestes médicaux...
Je ne suis pas sûr que l'infirmière soit plus à critiquer que le médecin.
Elle a, apparemment fait état à sa "hiérarchie" et non à la direction, de gestes qu'elle ne comprenait pas, de la part du médecin.
Mais on ne connait pas cette IDE, peut être est elle très expérimentée...
Peut être c'est le médecin qui a manqué de réserve vis à vis des témoins ou bien de communication vis à vis de son équipe.
C'est la tournure judiciaire rapide qui a suivi qui étonne et semble disproportionnée.
N'allons pas dire que c'est l'inexpérience supposée de l'infirmière face à des gestes incompris qui est la cause des tracas judiciaires du médecin. Le corpus médical se chargera surement de ça. C'est l'emballement des responsabilités en cascade qui tant à "judiciariser" (attention ce mot n'existe pas) tout incident. Les gens se protègent maintenant, les directeur d'hôpitaux comme n'importe qui.
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- Enregistré le : 04 mai 2007, 19:07
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Garde a vue - SMUR
Ouais je suis d'accord avec Kris!!! 
