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fin de la trève estivale ?
Posté : 14 août 2010, 10:38
par lady nightingale
bonjour à toutes et à tous!!
Je sais que la plupart d'entre vous êtes en vacances, mais généralement aux alentours du 15 août, les vacanciers reprennent le chemin de "l'ecole"....
Ce petit message pour raviver (si besoin est), notre flamme contre notre chère ministre et sa clique, et aussi pour rassurer les "visiteurs" du site, dont certains m'ont fait part de leurs inquiètudes devant le calme de ce topic; j'ai essayé de les rassurer en parlant de la reunion le 11 septembre (date symbolique)...
voilà le sujet est relancé
La rentrée des IADEs!
Posté : 15 août 2010, 10:44
par PhilIADE
Posté : 15 août 2010, 11:35
par lady nightingale
cool çà fait plaisir de voir que la mobilisation n'a pas fléchi;
quant aux depenses inutiles c partout france; dans notre chu on fait aussi des travaux pdt les travaux: je m'explique les 4 endroits vont fusionner pour dans 5 ans environs mais on depense quand même de l'argent à côté pour faire de menus travaux à droite à gauche, pour tout detruire par la suite.... no coment!!
quant on sait que nous n'auront pas de salle de repos dans notre futur bloc, ni dans la futur salle de reveil.... heu l'esclavagisme n'a pas été aboli

Posté : 25 août 2010, 14:08
par Père Vincamine
lu sur infirmiers.com
source hospimédia
L'ordre des infirmiers sur tous les fronts
24.08.10 - 17:21 - HOSPIMEDIA
Avant l'été, l'ordre des infirmiers s'est retrouvé sur le grill parlementaire. Après une trêve estivale, Dominique Le Boeuf passe en revue son agenda automnal. Au milieu de nombreux dossiers, la problématique du montant de la cotisation à l'ordre n'est pas complètement enterrée.
La table ronde et la manifestation annoncées pour le 18 septembre prochain contre les ordres professionnels viennent d'être annulées, mais ce n'est que partie remise, signale le syndicat Résilience contre les ordres sur son site Internet. La polémique autour du montant de la cotisation à l'Ordre national des infirmiers (ONI) reste dans tous les esprits (lire aussi notre article du 16/06/2010). D'ailleurs, les premiers dossiers déposés à la commission d'entraide de l'ONI concernent essentiellement des demandes d'exonération de cotisation. Il faut toutefois préciser que cette structure vient de se constituer et qu'elle a tenu sa première réunion cet été. Son règlement est même encore en cours d'élaboration et doit être soumis à l'automne aux conseillers départementaux de l'ordre.
L'ordre à l'index
Dans quelques jours, la présidente de l'ONI, Dominique Le Boeuf a rendez-vous avec la ministre de la Santé, souligne-t-elle à Hospimedia. Nul doute que la question du montant de la cotisation de l'institution qu'elle dirige sera abordée mais ce n'est pas la seule. Autres sujets d'achoppement : la publication du code de déontologie des infirmiers prêt depuis le mois de février ou encore la procédure d'inscription automatique au tableau de l'ONI également en stand-by, seront évoqués au cours de la rencontre des deux femmes, sans oublier la question des spécialités IADE, IBODE...
La situation de cet organe professionnel est paradoxale. D'un côté la ministre de la Santé semble le cautionner sur certaines thématiques et d'un autre, elle le met à l'index. Ainsi cet été elle a signé l’arrangement de la reconnaissance mutuelle des diplômes infirmiers France-Québec co-signé auparavant par les ordres infirmiers des deux pays. En contre-partie, Dominique Le Boeuf signale que les chambres disciplinaires régionales de l'ordre des infirmiers sont constituées (à une exception près) et sont maintenant en mesure de se prononcer... sauf qu'elles doivent logiquement rendre leurs avis à partir du code de déontologie encore bloqué au ministère. Certaines ont toutefois déjà rendu des décisions.
Bilan et perspectives
L'agenda automnal de Dominique Le Boeuf s'annonce chargé. Dans une lettre transmise aux représentants de l'ordre dans les départements lundi, elle évoque la feuille de route à venir. Tout d'abord, mi-septembre la prochaine session nationale de l'ONI sera l'occasion, avec la clôture des comptes 2009-2010 de l'ordre, de faire un bilan de sa première année d'existence, prévient-elle. La publication de l'arrêté des comptes est attendue pour la fin de l'année. Mais le programme ordinal ne s'arrête pas là, six thématiques sont qualifiées de prioritaires pour la profession dans les prochains mois.
Et de citer la mise en œuvre des protocoles de coopération entre les professionnels de santé, difficilement applicables selon Dominique Le Boeuf du fait des "lourdeurs administratives instituées". Suivent dans la liste des grands dossiers de la profession : le développement des pôles et des maisons de santé pluridisciplinaires, les projets en matière de télémédecine, la promotion d'un développement professionnel continu spécifique aux infirmiers, la directive européenne sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles et le développement de la libre prestation de service et enfin la question de la formation et d'une réelle intégration des infirmiers à l'université.
Dominique Le Boeuf annonce aussi la mise en ligne d'un nouveau site internet pour l'ONI, proposant des fiches sur les différents métiers infirmiers en collaboration avec les associations professionnelles représentatives. On pourra ainsi retrouver par exemple toutes les informations concernant les infirmières en endoscopie.
L'Ordre devrait aussi prochainement ouvrir de nouveaux chantiers de réflexion concernant notamment la valorisation du rôle de l'infirmier en gérontologie, le rôle des infirmiers sapeurs-pompiers dans la prise en charge de l'urgence ou encore l'infirmier de premier recours.
Lydie Watremetz
Posté : 25 août 2010, 16:35
par Père Vincamine
http://www.jim.fr/en_direct/pro_societe ... _pro.phtml
Paris, le mercredi 25 août 2010 – La dernière grande manifestation d’infirmières anesthésistes à Paris le 8 juin dernier avait pratiquement tourné à l’affrontement physique. Le blocage de la circulation autour de l’Arc de Triomphe et quelques rares violences aux abords du ministère de la Santé avaient même été sévèrement dénoncés par le ministre. Pourtant, depuis, l’été a permis d’apaiser les esprits. Au début du mois de juillet, les syndicats d’infirmières anesthésistes ont reçu la lettre tant attendue confirmant que le dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE) ne pouvait en aucun cas permettre à des infirmiers en soins généraux de réaliser des actes techniques d’anesthésie-réanimation. « Toute expérience acquise dans ce domaine par un infirmier en soins généraux constituerait (…) un exercice illégal qui ne pourrait être validé par le dispositif de VAE » écrivait Roselyne Bachelot, offrant ainsi aux infirmières anesthésistes l’assurance de la protection de leur champ de compétence.
Des infirmières moins revalorisées que d’autres
Un mois plus tard, une autre missive fortement espérée était envoyée aux représentants des infirmières anesthésistes. Signée de Roselyne Bachelot et du ministre de l’Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, elle confirmait que la formation des infirmières anesthésistes serait élevée au niveau master avant la fin de l’année. Si cette nouvelle garantie des deux ministres ne pouvait qu’apporter du baume au cœur aux infirmières anesthésistes, elle ne pouvait finir de totalement apaiser leur malaise.
Plusieurs questions restent en effet en suspens et notamment le devenir et la reconnaissance des 8000 infirmières anesthésistes déjà en poste. En la matière, ces dernières ne veulent se contenter des revalorisations salariales promises par le protocole Bachelot du 2 février 2010 concernant le changement de statut des infirmières. Elles affirment en effet que leur corps est le plus lésé de toute la profession. De fait, alors que les infirmiers de blocs opératoires et puéricultrices connaîtront à la fin du processus de revalorisation des augmentations atteignant 3 366 euros net par an en début de carrière et 3 312 en fin de carrière, les infirmières anesthésistes devront se « contenter » de 2 879 euros et 2 064 en début et fin de carrière.
Une grève qui en provoquera d’autres ?
Confirmant que cette question salariale ainsi que celle du statut des infirmières anesthésistes actuellement en poste demeurent des préoccupations majeures, ces professionnelles préparent une rentrée mouvementée.
Déjà, le 18 août, lors d’une visite à l’hôpital de Vannes, le ministre de la Santé a été vivement pris à partie par une dizaine d’infirmières anesthésistes. « J’entends vos arguments. J’ai pris des engagements et votre situation sera réglée avant la fin de l’année », a-t-elle assuré. Des paroles qui n’ont guère convaincu la poignée de manifestants qui ont soufflé, cité par le quotidien Ouest France : « Il n’est pas sûr qu’elle participera aux négociations en septembre ». Ces infirmières anesthésistes vannetaises, déçues et inquiètes, feront sans doute partie des premières à participer au mouvement national de grève prévu le 23 septembre. Une manifestation qui sera sans doute observée avec attention par le ministère de la Santé qui redoute qu’à l’heure où les infirmières doivent faire le choix crucial entre passage en catégorie A de la fonction publique hospitalière en renonçant à un départ à la retraite à 55 ans ou maintien en catégorie B, la colère des infirmières anesthésistes ne provoque un mouvement d’entraînement.
Aurélie Haroche
Posté : 25 août 2010, 22:10
par merlin d'avalon
salut tout le monde le 95 sera la aussi le 23.
continuons a nous mobiliser le cachalot est sur un siège éjectable a nous d'appuyer sur le bouton.
