selon le journal du dimanche, ce serait elisabeth Hubert qui remplacerait notre cachalot !! c'est une ancienne ministre de la santé.
as t on une lettre de soutien ou qquechose emanant d'elle ? inon il faut le faire tres vite !!!!
un lien ou ils parle egalement de ce changement : http://www.couleurgeek.com/19799-remani ... 01010.html

Semaine du 20/07/95 ELISABETH HUBERT; SANTÉ PUBLIQUE
source : le nouvel observateur

Célibataire, médecin, bosseuse, Titi tendance rurale, chiraquienne pur sucre aimant l'ordre et la droite Célibataire, médecin, bosseuse, Titi tendance rurale, chiraquienne pur sucre aimant l’ordre et la droite.

Une histoire comme celle-là, ça ne s'invente pas. Le 11 mai 1981, à 11 heures du matin, Elisabeth Hubert s'est précipitée au siège du RPR pour prendre sa carte. «Après la victoire de Mitterrand, je pensais que la droite ne pourrait pas s'en sortir sans moi, raconte-t-elle en pouffant de rire. Aujourd'hui, avec du recul, je suis beaucoup plus modérée.»

Du haut de son 1,78 mètre et de ses 39 ans, Elisabeth Hubert est une chiraquienne pur sucre. La langue bien pendue, volontiers ironique. «On a suffisamment l'occasion de s'emmerder, dit-elle, pour ne pas manquer une occasion de rire.» Un côté Titi, tendance rurale. Si elle choisit le RPR en mai 81, c'est qu'elle a assisté auparavant aux meetings respectifs de Giscard et de Chirac: «Dans le premier, il n'y avait que des notables, dans le second un vrai mélange social, avec des paysans et des PDG.»

A Nantes, chez les Hubert, on ne parle pas politique devant Elisabeth, la petite dernière. Le père, militaire de carrière puis assureur, et le frère aîné, de droite modérée, s'y intéressent. Mais quand Elisabeth veut se mêler à la conversation, on lui dit gentiment: «Tais-toi!» «La bourgeoisie de province classique explique cette célibataire sans aucune pointe de regret. Catholique pratiquante, mais ouverte aux différences.» Petite, elle cultive déjà tout à la fois ses côtés frondeur et bosseur. Chez les bonnes sœurs, à l'école, elle est très dissipée, elle a «du mal à supporter les règles». A 11 ans, une religieuse ose lui dire: «Si tu continues, tu ne feras pas grand-chose dans la vie!» Elle répond aussi sec: «Il n'y a pas de sot métier.» Régulièrement convoqués pour les facéties de leur fille, les Hubert ne s'en alarment pas. Car, malgré tout, elle bosse et réussit. «On me dit toujours que j'ai mauvais caractère, mais en fait c'est que je suis très exigeante. Sans travail, on n’a rien.»

Après le bac, elle choisit très vite de devenir médecin généraliste: «Parce que c'était le moyen de s'ouvrir aux autres, j'allais soigner, j'allais guérir. Et puis, en même temps, un généraliste, c'est très indépendant." Je n'avais pas l'échine assez souple pour subir la hiérarchie de l'hôpital.»Indépendante, mais entichée de la défense des intérêts corporatistes. A la fac, elle commence à militer à la CSMF, la Confédération des Syndicats médicaux français. Praticienne, elle continuera. Cette jeune femme a un certain sens de l'ordre et de la droite. En mai68, elle n'a que 12 ans, mais elle pense déjà que «les universités, c'est fait pour bosser, pas pour faire de la politique».

Pourtant, de la politique, elle va en faire. Son adhésion au RPR, au lendemain du 10mai81, n'est pas un simple coup de cœur, mais un véritable engagement. Deux ans plus tard, elle se retrouve conseillère municipale de Nantes. En octobre 1985, Chirac, qui a remarqué sa pugnacité, lui propose de se présenter l'année suivante à la députation, dans la 2e circonscription de la Loire-Atlantique. «Il savait que j'étais une emmerdeuse. Je n'ai même pas eu la pudeur de refuser. Dix ans plus tard, Olivier Guichard ne s'en est toujours pas remis!» Elue en 1986, elle sera réélue en 1993



Les iade ont du caractère .... et ils vont le montrer de nouveau.
A bientôt Mademoiselle H ...

Elle a été virée avec 6 autres "jupettes", d'ici à ce que le girondin et elle sévissent à nouveau ensemble!!!" dites "33" !