Page 1 sur 1

Syndicat des Manageurs Publics de Santé

Posté : 14 janv. 2011, 08:59
par syndicat RESILIENCE
Accueil › L'actu › Communiqués de presse


Syndicat des Manageurs Publics de SantéLe snch devient le Syndicat des manageurs publics de santé (smps)

Une réforme statutaire ambitieuse

Au terme d’un débat de dix-huit mois, les adhérents du snch ont répondu favorablement au triple référendum sur le devenir du syndicat :

oui à 78,2 % pour la création de deux nouvelles catégories, celle des D3S et celle des directeurs des soins,
oui à 59,1 % au changement d’appellation, le snch devenant le syndicat des manageurs publics de santé,
oui à 58,3 % à l’adhésion de membres associés, afin d’accueillir en notre sein les manageurs de santé qui n’appartiennent pas à nos catégories traditionnelles, mais qui partagent nos valeurs et notre vision du devenir des établissements de santé, notamment parmi les chefs de pôle et les présidents de CME.
Une évolution qui ancre le syndicat dans la modernité

Par son action, le snch a contribué à plusieurs évolutions récentes :

Création du corps des attachés d'administration en 2002, des directeurs des soins en 2002 et de celui des D3S en 2007.
Evolution vers une nouvelle vision de l’encadrement, plus participative et plus respectueuse des individus, en un mot plus managériale. :enculmouche: de la toute filière IDE via la signature du protocole du 2 février 2010 ...Renforcement de la capacité décisionnelle des directeurs au sein des établissements, avec pour corollaire une meilleure coordination des manageurs médicaux.
Le snch est le premier à tirer les conséquences dans son organisation interne de l’évolution considérable de nos établissements en quinze ans. Il se fixe pour objectif, en tant que smps, de veiller à ce que l’esprit des réformes aille en son terme, malgré les conservatismes de tout ordre.

Ceci implique plus de soutien et de reconnaissance envers les manageurs de santé. Ceci nécessite de renforcer encore la réactivité des établissements publics de santé en augmentant leurs marges de manœuvre organisationnelles et financières.

Un logo provisoire

Les quatre lettres du sigle snch symbolisent une longue suite d’engagements, d’actions et de dévouements.

C’est pourquoi, durant une année, un logo provisoire associera les sigles snch et smps, avant de laisser place au logo définitif.

Smps : un syndicat tourné vers l’avenir

En charge du dossier :

Délégation nationale

Tél : 01 40 27 52 21

http://www.snch.fr/lactu/communiques-de ... nt-le.html

Re: Syndicat des Manageurs Publics de Santé

Posté : 14 janv. 2011, 23:07
par Frisette
Ils se fouteraient pas un peu de notre gueule, par hasard??? :boxe1:

Re: Syndicat des Manageurs Publics de Santé

Posté : 14 janv. 2011, 23:36
par syndicat RESILIENCE
Frisette a écrit :Ils se fouteraient pas un peu de notre gueule, par hasard??? :boxe1:
enfin une réaction, après 14 heures de post ...
c'est moi qui ait ajouté la phrase en bleue ... car c'est trop facile de dresser un bilan en oubliant quand même le principal ...
oui, de toute façon, ils se foutent de notre gueule ... sur ce coup là on s'est tous fait entubé ...

Re: Syndicat des Manageurs Publics de Santé

Posté : 15 janv. 2011, 10:23
par Maxime
syndicat RESILIENCE a écrit :
Frisette a écrit :Ils se fouteraient pas un peu de notre gueule, par hasard??? :boxe1:
enfin une réaction, après 14 heures de post ...
c'est moi qui ait ajouté la phrase en bleue ... car c'est trop facile de dresser un bilan en oubliant quand même le principal ...
oui, de toute façon, ils se foutent de notre gueule ... sur ce coup là on s'est tous fait entubé ...
Modifier un communiqué officiel sans l'indiquer clairement, c'est limite. Ok pour la couleur et le passe en gras, mais bon...

Sur le principe, c'est plus "clean" de faire ses commentaires après ou avant, mais de laisser le communiqué tel qu'il a été écrit.

Re: Syndicat des Manageurs Publics de Santé

Posté : 25 janv. 2011, 13:43
par syndicat RESILIENCE
SNCH et autres magouilles au tribunal ...
par seringuelectrique Aujourd'hui à 12:36
http://www.liberation.fr/societe/010123 ... -l-hopital

D’ordinaire, quand un directeur d’hôpital est débarqué, c’est parce qu’il est plutôt incompétent ou parce qu’il aurait eu des pratiques douteuses. L’inverse vient de se produire pour l’hôpital de Poissy-Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Gilbert Chodorge, personnalité reconnue dans le monde hospitalier, devrait être débarqué en début de semaine par Claude Evin, directeur de l’agence régionale de santé d’Ile-de-France, alors qu’il a réussi à diviser par trois le déficit de son établissement. «Absolument incompréhensible», lâche un ancien directeur d’hôpital.

Record. Voilà une histoire déroutante, révélant la vie cachée de nos hôpitaux. L’établissement de Poissy-Saint-Germain est une vaste structure, installée sur deux sites. Jusqu’à récemment, il détenait le record de déficit des hôpitaux français : près de 140 millions d’euros cumulés. Dans ce contexte, en 2008, Gilbert Chodorge, jusqu’alors directeur de l’hôpital de Saint-Denis (et ex-conseiller de Claude Evin lorsque celui-ci était ministre de la Santé, entre 1988 et 1991), y est envoyé en catastrophe pour remettre de l’ordre.

Notre chevalier blanc n’en revient pas. Il vérifie tous les comptes. Et remarque quelques bizarreries dans ce «trou» financier : plus de 70 millions d’euros de factures n’ont pas été recouvrés, faute d’une comptabilité sérieuse. Un rapport de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales (Libération du 8 décembre 2009) révèle une incroyable légèreté dans les appels d’offres, au point que le procureur de la République des Yvelines sera saisi, et une information judiciaire ouverte.

Outre ces bizarreries dans les appels d’offres, il y a ce projet de nouvel hôpital qui regrouperait les deux sites actuels de Poissy et de Saint-Germain-en-Laye. Ledit projet, un des plus importants pour l’Ile-de-France, traîne depuis dix ans. Gilbert Chodorge le relance. Peut-être le fait-il sans beaucoup de souplesse ? «Il a pris des coups, raconte le député et maire UMP de Chambourcy, Pierre Morange. Mais il a nettoyé les écuries d’Augias et c’était bien nécessaire.»

Chodorge s’intéresse aussi aux détachements de fonctionnaires payés par un établissement en déficit chronique. L’hôpital de Poissy est champion toutes catégories de cette pratique. Parmi les employés concernés : une secrétaire de l’ancien ministre de la Santé Bernard Kouchner, une autre qui travaille aujourd’hui avec l’actuel ministre, Xavier Bertrand. Ou encore une fonctionnaire employée à la direction de l’organisation des soins au ministère. Toutes sont payées par l’hôpital de Poissy mais n’y mettent pas les pieds. «Certaines années, ces détachements coûtaient plus de 2 millions d’euros à l’hôpital», relève un ancien responsable. Un record en France.

Comment expliquer de telles pratiques ? Jusqu’à l’arrivée de ce nouveau directeur, Poissy a toujours été dirigé par une personnalité appartenant au Syndicat national des cadres hospitaliers (SNCH), l’organisation professionnelle historique des directeurs d’hôpitaux. Une organisation cocasse, jouant sur de multiples réseaux. Sans compter qu’au moins trois de ses anciens responsables ont été poursuivis pour escroquerie. Deux ont été condamnés, dont l’un en novembre 2000 pour corruption dans une affaire liée à des appels d’offres truqués. Pourtant, le SNCH reste intouchable, il est omniprésent dans tous les organismes statutaires. Dans le cas de Poissy, les liens sont historiques. Manifestement, Gilbert Chodorge aura manqué de doigté. Est-ce suffisant pour le débarquer ? En trois ans, il a fait passer le déficit de 37 millions d’euros à 11 millions pour 2010.

«Sac de nœuds». «Nous avons considéré qu’aujourd’hui, il était souhaitable qu’il quitte cet établissement», affirme Claude Evin. Et de raconter : «La situation dans les Yvelines est très compliquée, très tendue. C’est un sac de nœuds invraisemblable, les interactions de réseaux sont complexes. Tout le monde s’y perd. Je souhaite que cet établissement retrouve une certaine sérénité. Gilbert Chodorge a fait un excellent travail, mais je le redis, c’est de son intérêt qu’il sorte de cet établissement.» Claude Evin conclut : «C’est un dossier complexe, avec des menaces physiques et des manipulations nombreuses.»

Avis aux postulants : la vie dans les hôpitaux n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Aux dernières nouvelles, le cabinet du ministre de la Santé a repoussé la suspension du directeur. On attend avec impatience la suite.

Re: Syndicat des Manageurs Publics de Santé

Posté : 25 janv. 2011, 13:46
par syndicat RESILIENCE
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cala ... once.shtml



Accueil » Edition Calais » Actualité Calais »

Les agents du centre hospitalier dénoncent un « malaise grandissant » et un « rythme de travail excessif »

vendredi 21.01.2011, 05:06 - La Voix du Nord

Les agents, remontés, ont tenu à avoir une explication avec leur directeur Philippe Blua. Les agents, remontés, ont tenu à avoir une explication avec leur directeur Philippe Blua.


Hier après-midi, vers 14 h, à l'appel de la CFDT, une petite centaine d'agents de service, d'infirmières et d'aides-soignants de l'hôpital de Calais ...

ont quitté leurs services respectifs. Après un rassemblement dans le hall, ils sont montés au huitième étage faire part de leur ras-le-bol au d irecteur Philippe Blua et à la présidente Natacha Bouchart, avant le conseil de surveillance. Plantés les bras croisés devant la porte de la salle de réunion, les manifestants barrent pacifiquement le passage. Ils entendent faire abroger cette fameuse note de service n° 25, diffusée à l'ensemble du personnel courant décembre. Celle-ci concerne les nouvelles règles en matière de planification pour les congés 2011.


Cette nouvelle organisation, qui demande de poser cinq congés annuels minimum entre le 1er janvier et le 1er juin et cinq entre le 1er octobre et le 31 décembre, « ne laisse pas à chacun la possibilité de concilier vie professionnelle et vie privée », estime Catherine Meyns, déléguée CFDT et secrétaire au centre de planification. « On nous demande de couper nos congés en deux. De ce fait, nous ne pouvons plus prendre nos vacances en même temps que notre famille », ajoute une infirmière.

Dimitri, 22 ans, agent de service depuis quatre ans, vient d'enchaîner six jours d'affilée. « En une après-midi, je dois faire entre 40 et 45 sorties, c'est-à-dire nettoyer et désinfecter 40 à 45 chambres de fond en comble. Le rythme est vraiment trop chargé depuis quelque temps ».

Autre grief : en raison de restrictions budgétaires, l'absentéisme n'est pas remplacé et le temps partiel n'est pas respecté. « Il n'est pas rare qu'on nous appelle sur notre jour de repos pour remplacer quelqu'un au pied levé. On enchaîne les heures de travail », poursuit cette jeune infirmière, qui en est à sa cent quarante-huitième heure de travail supplémentaire. Le budget consacré aux remplacements a été divisé par deux pour 2011 (de 1, 2 millions à 500 000 E).

Mal-être

Pris à partie, Philippe Blua a écouté les revendications des agents. Face à ce mal-être, le directeur a rappelé que « l'hôpital était en déficit. Déficit qui s'explique entre autres par le fait d'une augmentation des dépenses des remplacements. Aujourd'hui, nous sommes obligés de faire avec l'argent qu'on nous donne. Je ne peux pas ouvrir l'hôpital 365 jours par an, 24 h sur 24, donner des vacances à tout le monde selon les désirs de chacun et en plus avoir du personnel compétent pour assurer les remplacements. » À l'arrivée de la maire Natacha Bouchart, une délégation d'une vingtaine d'agents a été reçue et « entendue », à défaut d'un accord. Une réunion entre le directeur du centre hospitalier et le personnel devrait avoir lieu prochainement. •

ARIANE DELEPIERRE

PHOTO JEAN-PIERRE BRUNET

Re: Syndicat des Manageurs Publics de Santé

Posté : 25 janv. 2011, 13:47
par syndicat RESILIENCE
Re: Syndicat des Manageurs Publics de Santé
de seringuelectrique le Mar 25 Jan 2011 11:57

par seringuelectrique Hier à 15:59
pour info, ce monsieur le directeur Philippe Blua (sauf erreur) est un ancien - lui aussi - directeur du ... S N C H devenu depuis peu syndicat des managers publics de santé ... de la théorie à la pratique ...