France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
Modérateur : Marc
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France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
ENQUÊTE DE SANTÉ
INFIRMIÈRES : PROFESSION EN DANGER
Magazine
MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35 (EN DIRECT)
Infirmier : un métier aux multiples facettes, de plus en plus pénible et toujours aussi mal rémunéré.
© 17 Juin Media / Pulsations
En ville, à la campagne, en libéral ou à l’hôpital, les infirmières sont plus de 500 000 en France, soit deux fois plus que les médecins. Quelles sont leurs conditions de travail ? Quelle est leur place dans le système de soins ? Enquête de santé, présenté par Marina Carrère d'Encausse et Michel Cymes, leur donne la parole avec le documentaire Les Blues des infirmières et un débat en plateau.
Parce qu’elles aiment leur métier, elles supportent tout : les bas salaires, les heures supplémentaires, le manque de reconnaissance, les mauvaises conditions de travail. Au jour le jour, pour l’exercer le mieux possible, elles jonglent avec le manque de personnel et la détresse, voire la violence des malades. Bien qu’unanimement appréciées, les infirmières — les femmes constituent 80 % de la profession — ont le blues. Pour cerner tous les aspects de cette crise et de l’évolution du métier, la réalisatrice Géraldine Laura a suivi dans leur quotidien quatre professionnels : Cathy à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, Laura aux urgences du CHU de Nantes, Brigitte, infirmière libérale à Nice, et Philippe, également indépendant, dans la Creuse. Quatre exemples de personnes qui font passer leur vie privée au second plan pour se dévouer à leurs patients, pour un salaire de 1 600 euros bruts en début de carrière. Maillon indispensable de la chaîne, les infirmières sont l’interface avec les médecins, mais n’ont pas le droit de prescription. A titre d’exemple, aux urgences du CHU de Nantes, Laura et une trentaine de collègues prennent en charge deux cents personnes par jour en moyenne. Dans ce service comme dans beaucoup d’autres, les conditions de travail se dégradent : les files d’attente des malades s’allongent dans des couloirs transformés en salles d’examen, mais les créations de postes sont gelées. Pour que la continuité des soins soit assurée, les jours de repos et de récupération sont reportés, voire supprimés.
Du sacerdoce au burn-out
© 17 Juin Media / Pulsations
Autre cas de figure, mais mêmes sous-effectifs et mêmes plannings intenables : Cathy, à la Pitié-Salpêtrière, en hôpital de jour, passe plus de temps dans un bureau à gérer des tâches administratives qu’auprès des patients. Pour échapper à ce carcan hospitalier et à la pression économique, de plus en plus de blouses blanches sont attirées par l’exercice libéral, comme Philippe et Brigitte. Le premier, installé depuis vingt-cinq ans dans le sud de la Creuse, région rurale désertée par le corps médical, travaille soixante heures par semaine pour 3 000 euros nets mensuels et tient un rôle qui va bien au-delà des soins. La seconde, à Nice, est infirmière depuis trente ans. Elle a fait le choix de passer du temps auprès de ses patients et d’exercer dans un rapport de totale confiance avec les médecins.
Ce métier relèverait-il du sacerdoce ? Le constat dressé par ce documentaire est sans appel : près de 30 % du personnel hospitalier serait en surmenage et un tiers des nouveaux diplômés quittent la profession dans les cinq ans.
Stéphanie Thonnet
MAGAZINE
DURÉE 48’
PRÉSENTATION MARINA CARRÈRE D’ENCAUSSE ET MICHEL CYMES, AVEC LA PARTICIPATION DE BENOÎT THEVENET
RÉALISATION BERNARD FAROUX
PRODUCTION PULSATIONS
DOCUMENTAIRE
DURÉE 52’
RÉALISATION GÉRALDINE LAURA
PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS / PULSATIONS
ANNÉE 2011
http://www.france5.fr/et-vous/France-5- ... danger.htm
INFIRMIÈRES : PROFESSION EN DANGER
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Infirmier : un métier aux multiples facettes, de plus en plus pénible et toujours aussi mal rémunéré.
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En ville, à la campagne, en libéral ou à l’hôpital, les infirmières sont plus de 500 000 en France, soit deux fois plus que les médecins. Quelles sont leurs conditions de travail ? Quelle est leur place dans le système de soins ? Enquête de santé, présenté par Marina Carrère d'Encausse et Michel Cymes, leur donne la parole avec le documentaire Les Blues des infirmières et un débat en plateau.
Parce qu’elles aiment leur métier, elles supportent tout : les bas salaires, les heures supplémentaires, le manque de reconnaissance, les mauvaises conditions de travail. Au jour le jour, pour l’exercer le mieux possible, elles jonglent avec le manque de personnel et la détresse, voire la violence des malades. Bien qu’unanimement appréciées, les infirmières — les femmes constituent 80 % de la profession — ont le blues. Pour cerner tous les aspects de cette crise et de l’évolution du métier, la réalisatrice Géraldine Laura a suivi dans leur quotidien quatre professionnels : Cathy à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, Laura aux urgences du CHU de Nantes, Brigitte, infirmière libérale à Nice, et Philippe, également indépendant, dans la Creuse. Quatre exemples de personnes qui font passer leur vie privée au second plan pour se dévouer à leurs patients, pour un salaire de 1 600 euros bruts en début de carrière. Maillon indispensable de la chaîne, les infirmières sont l’interface avec les médecins, mais n’ont pas le droit de prescription. A titre d’exemple, aux urgences du CHU de Nantes, Laura et une trentaine de collègues prennent en charge deux cents personnes par jour en moyenne. Dans ce service comme dans beaucoup d’autres, les conditions de travail se dégradent : les files d’attente des malades s’allongent dans des couloirs transformés en salles d’examen, mais les créations de postes sont gelées. Pour que la continuité des soins soit assurée, les jours de repos et de récupération sont reportés, voire supprimés.
Du sacerdoce au burn-out
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Autre cas de figure, mais mêmes sous-effectifs et mêmes plannings intenables : Cathy, à la Pitié-Salpêtrière, en hôpital de jour, passe plus de temps dans un bureau à gérer des tâches administratives qu’auprès des patients. Pour échapper à ce carcan hospitalier et à la pression économique, de plus en plus de blouses blanches sont attirées par l’exercice libéral, comme Philippe et Brigitte. Le premier, installé depuis vingt-cinq ans dans le sud de la Creuse, région rurale désertée par le corps médical, travaille soixante heures par semaine pour 3 000 euros nets mensuels et tient un rôle qui va bien au-delà des soins. La seconde, à Nice, est infirmière depuis trente ans. Elle a fait le choix de passer du temps auprès de ses patients et d’exercer dans un rapport de totale confiance avec les médecins.
Ce métier relèverait-il du sacerdoce ? Le constat dressé par ce documentaire est sans appel : près de 30 % du personnel hospitalier serait en surmenage et un tiers des nouveaux diplômés quittent la profession dans les cinq ans.
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PRÉSENTATION MARINA CARRÈRE D’ENCAUSSE ET MICHEL CYMES, AVEC LA PARTICIPATION DE BENOÎT THEVENET
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
Rien sur les IADE à priori. Dommage.
Revenons dans 10 ans : ce sera le même titre.
Ah oui mais plus de 90% des gens nous admirent. Super...
Revenons dans 10 ans : ce sera le même titre.
Ah oui mais plus de 90% des gens nous admirent. Super...
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
Emission dispo en ligne :
http://www.pluzz.fr/enquete-de-sante.html
Quasi rien sur les IADEs mais reconnaissons que cette émission est assez réaliste !
Quant à la DGOS .....
http://www.pluzz.fr/enquete-de-sante.html
Quasi rien sur les IADEs mais reconnaissons que cette émission est assez réaliste !
Quant à la DGOS .....

Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
Surtout question représentation où les orgas anti ONI sortent on ne peut plus vainqueurs d'élections professionnelles! Notons la présence unilatérale du lobbying pro ONI, comme si le salut des infirmières ne pouvait être perçu que par le prisme associatif, syndical archi minoritaire soutaniste et certains ministres, députés, d'obédience Centro/UMP...heliosvp a écrit :Emission dispo en ligne :
http://www.pluzz.fr/enquete-de-sante.html
Quant à la DGOS .....

Comment croire après cela que les médias et la profession ne sont pas manipulés...muselés

- Bisologue
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
En ce qui concerne l' émission, elle est assez représentative de l état actuel de notre profession et cela est bien regrettable. Quant au débat qui a suivi le reportage et pour répondre en parti à notre cher Mr Hyde, l' ONI n' était pas représenté. Mr Tisserand a demissionné de ses fonctions de conseiller national avec une lettre ouverte appelant tous les libéraux à ne plus cotiser ( avant les élections professionnelles ).
Il est donc regrettable que l' ordre infirmier sensé défendre la profession, n est pas été invité ... Ou bien encore refuser l invitation, ce qui serait pire.
J aurai bien aimé entendre l' ordre infirmier sur l' avenir de la profession mais on ne peut pas dire que l' ordre est responsable de tous les maux de la profession car cela ne date pas d' hier. À contrario, les syndicats dits généralistes, n' étaient pas présent pour le débat pourtant ils sont aux " manettes " depuis des années .... Qu' ont ils apportés à la profession infirmière ???
Pour terminer, la représentativité des IADE est passé une nouvelle fois à la trappe surtout lors de l évocation des pratiques avancées ... Il serait temps que les querelles de clocher cessent et que l ' on fasse de nouveau entendre notre voix.
Il est donc regrettable que l' ordre infirmier sensé défendre la profession, n est pas été invité ... Ou bien encore refuser l invitation, ce qui serait pire.
J aurai bien aimé entendre l' ordre infirmier sur l' avenir de la profession mais on ne peut pas dire que l' ordre est responsable de tous les maux de la profession car cela ne date pas d' hier. À contrario, les syndicats dits généralistes, n' étaient pas présent pour le débat pourtant ils sont aux " manettes " depuis des années .... Qu' ont ils apportés à la profession infirmière ???
Pour terminer, la représentativité des IADE est passé une nouvelle fois à la trappe surtout lors de l évocation des pratiques avancées ... Il serait temps que les querelles de clocher cessent et que l ' on fasse de nouveau entendre notre voix.
Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
Cher Bisologue...
j'ai quand même l"impression que, s'agissant d'une espèce de cour des miracles (qu'on a du bien mal à entrevoir au bout de cinq ans), une présidente IDEL a fait son show sur France 5 mais en omettant de signaler son titre ordinal, tout comme son collègue président d'un syndicat à la représentation relativement confidentielle eu égard les résultats des récentes élections syndicales professionnelles (tout comme la CNI) et qui a trouvé le moyen de nous représenter sur le petit écran sans préciser sa présidence ordinale parisienne ... que pour parler concrêtement de l'ONI ce dernier était finalement relativement sur-représenté eu égard le sentiment général des IDEs vis à vis de la structure dont il est question...
Je me souviens par contre que ce Monsieur était "autorisé" en sous titre...de là à déduire que les vainqueurs des éléctions professionnelles tels la cegete ne l'ont pas été... chacun appréciera selon sa conception de la représentation et de l'autorisation...

j'ai quand même l"impression que, s'agissant d'une espèce de cour des miracles (qu'on a du bien mal à entrevoir au bout de cinq ans), une présidente IDEL a fait son show sur France 5 mais en omettant de signaler son titre ordinal, tout comme son collègue président d'un syndicat à la représentation relativement confidentielle eu égard les résultats des récentes élections syndicales professionnelles (tout comme la CNI) et qui a trouvé le moyen de nous représenter sur le petit écran sans préciser sa présidence ordinale parisienne ... que pour parler concrêtement de l'ONI ce dernier était finalement relativement sur-représenté eu égard le sentiment général des IDEs vis à vis de la structure dont il est question...
Je me souviens par contre que ce Monsieur était "autorisé" en sous titre...de là à déduire que les vainqueurs des éléctions professionnelles tels la cegete ne l'ont pas été... chacun appréciera selon sa conception de la représentation et de l'autorisation...



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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
.
Je viens de regarder quelques extraits de cette émission .... J'attendais un peu et je fais ça à petite dose car souvent ces emissions me font mal au trippes.
j'avoue que le problème de l'oni , je m'en fous un peu face a ce que cette émission révèle de bien plus profond sur nous mêmes.
L'excercice médiatique est difficile et tous ceux qui s'y sont confronté ont chuté un moment ou un autre ( Cf C+ ) mais là, comme souvent, la bonne volonté et la bienveillance sont présentes du côté des journalistes ( comme par ex dans "complement d'enquête" il ya quelques temps ou le journaliste vedette ramait pour faire sortir trois mots d'une IDE des urgences de Créteil et finalement defendait notre taf à notre place )
Mais nos collègues présents n'ont pas su/pu saisir l'occasion ...
Que dire de Mme PODEUR experte es langue de bois, référente en éléments de langages tellement imprégiée de Sarkosisme qu'elle se deguise avec sa grande cape en Kadafi, le dictateur ex meilleurs grand copain de son mentor ...avant qu'il ne commette le crime de lèse Petit Président en envoyant peter ses promesses d'achat d'EPR et de rafales .... et se prenne une bombe larguée d'un mirage 2000 ...
Gaffe Annie, gaffe, les vents tournent brutalemnt parfois !
Encore une fois, malgré de la bonne volonté, la gentillesse et l'humilité ( ou plutôt l'autisme ) ne passe pas , et les homages ne remplissent ni une vie ni un compte en banque comme ils ne préservent ni la vie familliale ni la santé physique et psychologique ....
Nos instances qui ont du rentrer triomphantes au Ministère toute cape au vent ne doivent cependant pas oublier que s'il nous roulent dans la farine encore et encore , ils retrouverons sous leurs fenetres au moins nous IADE ... au moins tous les dix ans et de façon plus rude à chaque mobilisation tant l'exaspération et le sentiment d'injustice montent et se cristalisent ... tant la situation se dégrade par leurs décisions
Tous les dix ans ....puisqu'il semble que nous ne voulions pas profiter de la fenetre de tir des presidentielles
Je ne vais pas regarder l'intégralité de cette émission, je sais déjà ce qu'on y voit et entends ... et je préfere la voix dignes de mes collègues quand ils luttent .
.
Je viens de regarder quelques extraits de cette émission .... J'attendais un peu et je fais ça à petite dose car souvent ces emissions me font mal au trippes.
j'avoue que le problème de l'oni , je m'en fous un peu face a ce que cette émission révèle de bien plus profond sur nous mêmes.
L'excercice médiatique est difficile et tous ceux qui s'y sont confronté ont chuté un moment ou un autre ( Cf C+ ) mais là, comme souvent, la bonne volonté et la bienveillance sont présentes du côté des journalistes ( comme par ex dans "complement d'enquête" il ya quelques temps ou le journaliste vedette ramait pour faire sortir trois mots d'une IDE des urgences de Créteil et finalement defendait notre taf à notre place )
Mais nos collègues présents n'ont pas su/pu saisir l'occasion ...
Que dire de Mme PODEUR experte es langue de bois, référente en éléments de langages tellement imprégiée de Sarkosisme qu'elle se deguise avec sa grande cape en Kadafi, le dictateur ex meilleurs grand copain de son mentor ...avant qu'il ne commette le crime de lèse Petit Président en envoyant peter ses promesses d'achat d'EPR et de rafales .... et se prenne une bombe larguée d'un mirage 2000 ...
Gaffe Annie, gaffe, les vents tournent brutalemnt parfois !
Encore une fois, malgré de la bonne volonté, la gentillesse et l'humilité ( ou plutôt l'autisme ) ne passe pas , et les homages ne remplissent ni une vie ni un compte en banque comme ils ne préservent ni la vie familliale ni la santé physique et psychologique ....
Nos instances qui ont du rentrer triomphantes au Ministère toute cape au vent ne doivent cependant pas oublier que s'il nous roulent dans la farine encore et encore , ils retrouverons sous leurs fenetres au moins nous IADE ... au moins tous les dix ans et de façon plus rude à chaque mobilisation tant l'exaspération et le sentiment d'injustice montent et se cristalisent ... tant la situation se dégrade par leurs décisions
Tous les dix ans ....puisqu'il semble que nous ne voulions pas profiter de la fenetre de tir des presidentielles
Je ne vais pas regarder l'intégralité de cette émission, je sais déjà ce qu'on y voit et entends ... et je préfere la voix dignes de mes collègues quand ils luttent .

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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
Nos instances qui ont du rentrer triomphantes au Ministère toute cape au vent ne doivent cependant pas oublier que s'il nous roulent dans la farine encore et encore , ils retrouverons sous leurs fenetres au moins nous IADE ... au moins tous les dix ans et de façon plus rude à chaque mobilisation tant l'exaspération et le sentiment d'injustice montent et se cristalisent ... tant la situation se dégrade par leurs décisions

Comme j'aurai voulu être autour de cette table, Podeur en aurait pris pour son grade, surtout quand elle rend hommage à la profession (foutaises, elle et ses sbires nous conchient,son institution n'a fait que nous mépriser en 2010.
J'espère qu'elle sautera bientôt, mais on la retrouvera DG d'un CHRU plus tard ... comme Pubien... Le problème c'est que rien n'est sûr pour elle, et même si alternance il y a, ces hauts fonctionnaires s'accrocheront à leur poste.
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
En fait, Mr Hyde a en parti raison car il y avait aussi Amourox du CDOI de Paris (Mais qui n'a pas parlé au nom de l'Ordre, pourquoi pas d'ailleurs ? ). Là où je rejoins Libecciu, c'est que finalement, que l'Ordre soit sur représenté ou non, on s'en fout.
Les questions que l'on doit se poser, c'est comment sommes nous arrivés à une telle dégradation de nos conditions d'exercices, comment sommes nous arrivés à si peu de reconnaissances et surtout c'est pour quand la grande révolte infirmière ???
Les questions que l'on doit se poser, c'est comment sommes nous arrivés à une telle dégradation de nos conditions d'exercices, comment sommes nous arrivés à si peu de reconnaissances et surtout c'est pour quand la grande révolte infirmière ???
Là, je ne suis pas d'accord, nous IADE, nous devons saisir notre chance !!!!!! REVEILLEZ-VOUS !!!!!Libecciu a écrit :Nos instances qui ont du rentrer triomphantes au Ministère toute cape au vent ne doivent cependant pas oublier que s'il nous roulent dans la farine encore et encore , ils retrouverons sous leurs fenetres au moins nous IADE ... au moins tous les dix ans et de façon plus rude à chaque mobilisation tant l'exaspération et le sentiment d'injustice montent et se cristalisent ... tant la situation se dégrade par leurs décisions
Tous les dix ans ....puisqu'il semble que nous ne voulions pas profiter de la fenetre de tir des presidentielles
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
.
Bisologue : tu te doutes toute l'amertume qui m'envahi quand j'écris ces lignes ... bien évidemment je suis d'accord avec toi !
Réveillons nous, voyez sinon si nous ne faisons rien comme ont été ratifiées, normalisées et banalisées tant de pertes et renonciations depuis deux ans ...
Par une belle langue de bois rodée dans les écoles d'administration : transformées même en acquis et progrès dans la bouche de Dame Podeur à la cape de kadhafi ....
Bisologue : tu te doutes toute l'amertume qui m'envahi quand j'écris ces lignes ... bien évidemment je suis d'accord avec toi !
Réveillons nous, voyez sinon si nous ne faisons rien comme ont été ratifiées, normalisées et banalisées tant de pertes et renonciations depuis deux ans ...
Par une belle langue de bois rodée dans les écoles d'administration : transformées même en acquis et progrès dans la bouche de Dame Podeur à la cape de kadhafi ....
- Bisologue
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
Ouais ouais la Sarkoteam utilise des images subluminables pour essayer de nous faire adhérer et renflouer l'OBRED...qui a investi dans la reconnaissance infirmière...
!
Pour le reste on verra ce qui a été dit à l'AFISAR!
En attendant on nous prépare à la diète grecque après la dette...!
Comme dirait mon fils...PAPAIADUBOULOS!

Serre les fesses fils, serre les fesses!

Pour le reste on verra ce qui a été dit à l'AFISAR!
En attendant on nous prépare à la diète grecque après la dette...!
Comme dirait mon fils...PAPAIADUBOULOS!


Serre les fesses fils, serre les fesses!
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
Libecciu a écrit :.
Bisologue : tu te doutes toute l'amertume qui m'envahi quand j'écris ces lignes ... bien évidemment je suis d'accord avec toi !
Réveillons nous, voyez sinon si nous ne faisons rien comme ont été ratifiées, normalisées et banalisées tant de pertes et renonciations depuis deux ans ...
Par une belle langue de bois rodée dans les écoles d'administration : transformées même en acquis et progrès dans la bouche de Dame Podeur à la cape de kadhafi ....






Entièrement d'accord: saisissons notre chance, si minime soit-elle, de faire entendre une dernière fois notre mécontentement avant 6 mois...Tous, mais vraiment TOUS sur les pavés, niveau IADE de WE dans les blocs!
- Maxime
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35




Enfin, ce communiqué est sur la bonne voie (SNCF ?), mais il ne serait être que la seule réponse ... REVEILLEZ-VOUS !
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Re: France 5/ Le Mag / MARDI 8 NOVEMBRE 2011 À 20.35
le reportage etait bien fait mais la situation est pire que ce qui nous a été presenté et MMe DGOS a allumé une meche tant ses propos etaient honteux loin de la réalité
il est temps c est vrai de se reveiller retournons sur les paves et emmenons toute la profession IDE avec nous
il est temps c est vrai de se reveiller retournons sur les paves et emmenons toute la profession IDE avec nous