Pour réussir il te faut une motivation en béton ! (comme les gencives de la pub ).
Tu révises tout ton programme IDE;
anat, physio, pharmaco.
la législation, car il y a toujours des pièges. (quel article te régit, en date de quand ? as -tu le droit en tant qu'IDE à faire ceci ou cela...).
Pour ma part, je suis "tombé" au moment où il ne fallait plus que deux ans d'expérience au lieu des trois années requises.
Il était trop tard pour m'inscrire à la préparation du concours (organisée à l'AP HP).
Ma collègue d'alors, était inscrite, mais l'a joué "esprit concours" et n'a pas voulu me filer ses cours ...
J'ai donc pris mes cours d'IDE, et j'ai bossé.
Et je l'ai eu. du premier coup ! sur Paris, car j'étais promo professionnelle, et il m'était impossible, comme beaucoup, d'assurer deux ans sans salaire.
à titre perso, j'ai découvert les IADE lors d'un stage IDE au bloc. J'étais en deuxième année, et j'ai vu des gens cool derrière le rideau.
J'ai posé la question. On m'a dit qu'elles étaient infirmières anesthesites.
Tiens ? cékoiça ???!!! m'étonnais-je ?!
Puis, j'ai approfondi. et j'ai trouvé que c'était ce vers quoi je voulais m'orienter.
La suite, ben tu l'as plus haut.
Maintenant, je suis bien content d'être IADE. dernière promotion à être diplômé en janvier. (1992).
Première promo à recevoir le Diplôme d'Etat, et plus le certificat ...
Mais je n'aurais plus le courage de recommencer.
Moralité : Faire ça jeune.
on a encore le training des cours, de l'apprentissage.
Et puis pour les femmes, les enfants ne sont pas encore nés quand on est jeune IDE.
ça compte vachement. Faire des études de IADE, avec un enfant en bas âge, bonjour !
à réflêchir.
sinon, bonne chance. le métier est franchement intéressant, tu franchis un cran voire deux.
tu comprends mieux les choses.
tu as une véritable autonomie.
Et au sein du bloc, une vraie reconnaissance de ton boulot.
quand à l'ambiance avec les anesthésistes, elle est ce que tous veulent bien qu'elle soit.

ou bien
pour ma part c'est l'option deux .