30 mars 2010 : Précisions de B. Franceschi

iadekb

PentoCelo34 a écrit :
iade_hdf a écrit : :

Quel mauvais réveil quand nous sommes sortis des écoles!!! Plus jamais d'embrouille de ce genre!!!

Non mais il faut qu'ils réparent !!!!!

iade_hdf

Certes, mais avant tout, il faut se concentrer sur l'obtention du niveau
Master... A partir de là, énormément d'opportunités se présenteront à nous !

pas mieux :)

kéta78

je suis sortie de l'école en 2002 et la doucche a été bien glaciale!!
comme beaucoup je me pose des questions (pas nouvelles) sur la représentativité de notre profession...... en particulier de puis la mise en route de l'ONI...
MAIS, quoi qu'il en soit le moment n'est pas à la division maisau rassemblement!
tous les iade que je connais... et il y en a bcp, sont mobilisés, veulent agir et espèrent enfin être reconnus....
comme on dit, l'union fait la force, alors sans être naïve, soyons tous ensemble devant l'assemblée nationale... un grand rendez vous pour notre profession
mais je ne serai pas contre un débat après tous ces mouvements sur qui nous représentent, comment communiquent ils, etc...
j'espère seulement que le snia se rend compte que s'il rate ce train, il ne sera plus très crédible...

Elrond

iade_hdf a écrit :

Certes, mais avant tout, il faut se concentrer sur l'obtention du niveau
Master... A partir de là, énormément d'opportunités se présenteront à nous !

Je ne suis pas tout à fait d'accord.
Certes l'obtention du grade Master est primordial mais mon implication dans ce mouvement est surtout tournée contre le projet de loi sur le dialogue social qui aborde 2 points essentiels :
- la perte de la peniblité et donc de la categorie active.
- la revalorisation salariale la moins importante de toutes les spécialités.
C'est sur ce dernier point que mon avis diffère :
l'obtention du grade Master est en cours pour les IADE mais aussi pour les IBODE et Puer.( ce que l'on tend un peu à oublier)
De ce fait, ma motivation actuelle est de me battre :
- Contre ce projet de loi afin de beneficier d'un niveau de revalorisation salariale semblable aux autres spécialités.
Je trouve inconcevable que l'on mette sur le tapis la question des pratiques avancées et du Master.
Je ne vois pas pourquoi la faible revalorisation salariale serait justifiée par la non obtention du grade Master alors qu'il n'en est rien pour les IBODE et les Puers.
-Contre la perte de la penibilité.

Eschmann m'a sauvé

elrond a écrit :
iade_hdf a écrit :

Certes, mais avant tout, il faut se concentrer sur l'obtention du niveau
Master... A partir de là, énormément d'opportunités se présenteront à nous !
Je ne suis pas tout à fait d'accord.
Certes l'obtention du grade Master est primordial mais mon implication dans ce mouvement est surtout tournée contre le projet de loi sur le dialogue social qui aborde 2 points essentiels :
- la perte de la peniblité et donc de la categorie active.
- la revalorisation salariale la moins importante de toutes les spécialités.
C'est sur ce dernier point que mon avis diffère :
l'obtention du grade Master est en cours pour les IADE mais aussi pour les IBODE et Puer.( ce que l'on tend un peu à oublier)
De ce fait, ma motivation actuelle est de me battre :
- Contre ce projet de loi afin de beneficier d'un niveau de revalorisation salariale semblable aux autres spécialités.
Je trouve inconcevable que l'on mette sur le tapis la question des pratiques avancées et du Master.
Je ne vois pas pourquoi la faible revalorisation salariale serait justifiée par la non obtention du grade Master alors qu'il n'en est rien pour les IBODE et les Puers.
-Contre la perte de la penibilité.

surtout si la reconnaissance master donne une revalorisation indemnitaire et non indiciaire ...

Elrond

Rappelons que ce projet de loi est le fait du gouvernement alors que les difficultés rencontrés dans l'obtention du grade Master( à travers les travaux sur les pratiques avancées) sont essentiellement le fait des MAR.
Les sociétés "savantes" nous rappellent bien que l'anesthésie est un acte medical
Les MAR, essentiellement du Privé, ne veulent rien nous lâcher et bloquent les travaux sur les pratiques avancées de peur de decoter des actes anesthesiques dans leur facturation.