04 OCT : La journée en LIVE !
Modérateur : Marc
- Bruno huet
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communique de presse du SNPHAR-E
Voici le communique de presse du SNPHAR-E
Merci a eux pour leurs soutiens
CP-04/10/2010- UN GOUVERNEMENT QUI TAPE SES INFIRMIERS EST UN GOUVERNEMENT DISQUALIFIÉ
Vendredi 1er octobre, les IADE (infirmiers anesthésistes) faisaient leur 7ème journée d’action
pour faire reconnaître l’exclusivité d’exercice de leur profession, le niveau master de
leurs études, avec la revalorisation indiciaire qui en découle, et la prise en compte de la
pénibilité de leur profession.
Alors que leur mobilisation, aussi bien en nombre de grévistes qu’en nombre de manifestants
à Paris rapporté à leur effectif, n’a pas fléchi, ils ont été victimes d’agressions inqualifiables,
d’une violence inadmissible notamment au Ministère de la Santé. Les images retransmises
sont terribles.
Nos collègues IADE n’ont pas été entendus et les promesses verbales ont toutes été démenties
par les écrits.
Jamais un tel degré d’agressivité n’avait été constaté, notamment sur du personnel
soignant. C’est un signe grave pour notre démocratie. Les IADE ne sont pas des
terroristes. Si le dialogue social avait existé en amont ils n’en seraient pas là. Les préavis de
grève illimitée sont la conséquence de cette rupture, et pas le fait d’agités. Les IADE sont des
professionnels respectables, que nous respectons car travaillant au quotidien avec eux, dans
une totale confiance. Nous soutenons leur combat.
Le SNPHAR-E ne peut que constater les conséquences terribles de la rupture de confiance.
Nous sommes inquiet.
Il est de la responsabilité du Ministère de la Santé et de Mme la Ministre de la Santé
d’assurer le dialogue social. Il apparaît que cette mission n’a pas été remplie. Il est
grand temps que le bon sens et la raison s’installent. Les professionnels de la santé
méritent une écoute attentive et un climat de confiance. Ils ne méritent pas le mépris.
SNPHAR-E
Merci a eux pour leurs soutiens
CP-04/10/2010- UN GOUVERNEMENT QUI TAPE SES INFIRMIERS EST UN GOUVERNEMENT DISQUALIFIÉ
Vendredi 1er octobre, les IADE (infirmiers anesthésistes) faisaient leur 7ème journée d’action
pour faire reconnaître l’exclusivité d’exercice de leur profession, le niveau master de
leurs études, avec la revalorisation indiciaire qui en découle, et la prise en compte de la
pénibilité de leur profession.
Alors que leur mobilisation, aussi bien en nombre de grévistes qu’en nombre de manifestants
à Paris rapporté à leur effectif, n’a pas fléchi, ils ont été victimes d’agressions inqualifiables,
d’une violence inadmissible notamment au Ministère de la Santé. Les images retransmises
sont terribles.
Nos collègues IADE n’ont pas été entendus et les promesses verbales ont toutes été démenties
par les écrits.
Jamais un tel degré d’agressivité n’avait été constaté, notamment sur du personnel
soignant. C’est un signe grave pour notre démocratie. Les IADE ne sont pas des
terroristes. Si le dialogue social avait existé en amont ils n’en seraient pas là. Les préavis de
grève illimitée sont la conséquence de cette rupture, et pas le fait d’agités. Les IADE sont des
professionnels respectables, que nous respectons car travaillant au quotidien avec eux, dans
une totale confiance. Nous soutenons leur combat.
Le SNPHAR-E ne peut que constater les conséquences terribles de la rupture de confiance.
Nous sommes inquiet.
Il est de la responsabilité du Ministère de la Santé et de Mme la Ministre de la Santé
d’assurer le dialogue social. Il apparaît que cette mission n’a pas été remplie. Il est
grand temps que le bon sens et la raison s’installent. Les professionnels de la santé
méritent une écoute attentive et un climat de confiance. Ils ne méritent pas le mépris.
SNPHAR-E
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4 OCT: la journée en live
POur le CHU de Besançon( les bonnets jaunes!!): Nous avons débrayé hier après midi pour organiser une AG. A l'unanimité, nous avons décidé de faire grève tous les jours, sous la forme d'heures flottantes. Aujourd'hui, le bloc est mort de 7 à 10H et demain, nous ferons d'autres horaires pour désorganiser au maximum le bloc, sans trop de perte salariale. L'ambiance est tendue car les MAR sont obligés de nous remplacer au pied levé, sans la présence des internes qui ont soutenance de mémoire aujourd'hui (Ca tombe bien!!!
).
Parallèlement, nous avons rencontré les journalistes de Chérie FM, nous envisageons de voir ceux de France 3, de l'EST Républicain et France Bleue.. Nous avons également demandé un RDV à l'ARS pour faire remonter notre colère!
Pendant nos heures de grève: distribution de tracts aux usagers, aux patients, pour rappeler nos revendications, encore et toujours marteler notre détermination!!!
Nous ne lâcherons rien!!
IADE UNITED

Parallèlement, nous avons rencontré les journalistes de Chérie FM, nous envisageons de voir ceux de France 3, de l'EST Républicain et France Bleue.. Nous avons également demandé un RDV à l'ARS pour faire remonter notre colère!

Pendant nos heures de grève: distribution de tracts aux usagers, aux patients, pour rappeler nos revendications, encore et toujours marteler notre détermination!!!

Nous ne lâcherons rien!!
IADE UNITED
Cela ne change pas les textes.chez nous dans le smur périphérique les assignations c est souvent sur le fax...
enfin quand il fonctionne...
SMUR ou SAMU, les assignations doivent être remises en main propre.
Lors de la grève des PARM (qui ont obtenu satisfaction semble-t-il) notre cadre a été obligée de faire la tournée des domiciles pour remettre les assignations en main propre.
Il n'y a aucune raison pour que cela soit différent pour les IADE.
Ce qui m'étonne c'est la réaction de certains d'attendre les assignations, comme si une gifle, il fallait qu'elle soit donnée avec la main droite et pas la gauche...et au lieu de l'attendre à la maison avec le nom sur la sonnette je suppose, ils vont la chercher au taf....hem!
Une gifle est une gifle...
Une gifle est une gifle...
- fp1954
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- Enregistré le : 10 juin 2010, 07:19
- Localisation : Montpellier
Mister Hyde.
Je me suis fait la même reflexion que toi au sujet des réquisitions...
Le pouvoir est une notion éminemment politique et il faut se tourner vers les appareils idéologique d’état :
Ensemble d’institutions publiques et privées qui élaborent, inculquent le système de norme et qui a pour fonction la reproduction des rapports sociaux existants.
L’individu est en fait habitué à obéir et à recevoir des récompenses pour cela que ce soit dans le domaine scolaire, familial ou professionnel.
La société inculque à l’enfant et dès son plus jeune âge un profond respect de l’autorité.
J'ajouterais que, dans le cas du système hospitalier, la notion de soumission est décuplée du fait de l'histoire hospitalière mais aussi du fait que nous soignons des êtres, pas des machines.
Et puis, le pouvoir, celui des Directions hospitalières, apparaît souvent comme la vision du commandeur dans l'opéra de Mozart.
Nous nous retrouvons ainsi en attitude de soumission directe alors que les mêmes directions ne souhaitent pas du tout avoir cette image.
Don Juan (nous) est en face du Commandeur, face à l'Enfer : émouvant, transi de peur, mais ne reniant jamais sa grandeur humaine, et allant jusqu'au bout, frère parmi les hommes.
Petit résumé :
Dans l'opéra de Mozart, Don Juan tue le père de sa copine.
Celui ci donc, le fameux Commandeur, revient et Don Juan l'invite, par bravade, à manger chez lui.
Le Commandeur négocie alors et obtient que ce soit l'inverse, et Don Juan accepte, pour sa perte, le repas... en enfer... Il n'en reviendra pas.
Si l'on ajoute à ce cocktail l'implacable silence de nos dirigeants se manifestant par une réponse" fermée" aux demandes répétées de négociation, de discussion nous avancerons alors dans le propos.
Silence lorsque la France est dans la rue, silence face aux syndicats si bien que certains y voient la une marque d'autisme, par analogie avec la pathologie psychiatrique.
Ce silence renforce encore l'image du Commandeur et nous étouffe littéralement, nous empêchant d'être, d'exister tout simplement.
Mea Culpa : Oui, comme bien de mes camarades, j'ai cédé, durant ma carrière, alors que j'aurais pu faire autrement, à l'autorité...
Notamment dans les réquisitions.
Alors j'ai beau jeu, en fin de carrière, d'avoir le privilège que me donne l'âge et connaissant toutes les ficelles d'utiliser celle ci en ne répondant pas, par exemple au téléphone, et en ouvrant pas ma porte au personnels de l'hôpital chargés de m'amener le fameux papier à domicile.
Aurais-je fait cela à 30ans, je ne le pense pas, la charge de culpabilité que j'avais alors en moi n'aurait pas autorisé le comportement que j'ai eu, ce jour, alors que la retraite approche.
Une des raisons qui ont prédisposées à la création des groupements syndicalistes, est l'évidence qu'en nombre, une entité supérieure se dessinait alors permettant des actions plus efficaces.
On appelle ça la force du groupe.
L'homme de base est soutenu par celui-ci et le syndicaliste responsable "porté"
par l'ensemble des hommes et des femmes de base.
Mais lorsqu'on nous présente une réquisition, nous sommes de nouveaux seuls pour combattre.
La peine n'est plus commune mais individualisée...
Et la, nos comportements sont tout autres....
Il faut une très grande force pour refuser quel que soit le moyen employé et accepter ensuite la culpabilisation engendrée par cette action.
Elle est à mon avis sans commune mesure avec celle que nous ressentons lorsque nous cédons à l'autorité et que nos camarades le comprennent.
Sauf cas exceptionnel, on ne reprochera jamais, en milieu hospitalier, l'acte de soumission, à contrario, l'acte de rébellion étonne, fait parfois envie mais est en tous cas sévèrement réprimé si l'on sort de la Loi.
Je me suis fait la même reflexion que toi au sujet des réquisitions...
Le pouvoir est une notion éminemment politique et il faut se tourner vers les appareils idéologique d’état :
Ensemble d’institutions publiques et privées qui élaborent, inculquent le système de norme et qui a pour fonction la reproduction des rapports sociaux existants.
L’individu est en fait habitué à obéir et à recevoir des récompenses pour cela que ce soit dans le domaine scolaire, familial ou professionnel.
La société inculque à l’enfant et dès son plus jeune âge un profond respect de l’autorité.
J'ajouterais que, dans le cas du système hospitalier, la notion de soumission est décuplée du fait de l'histoire hospitalière mais aussi du fait que nous soignons des êtres, pas des machines.
Et puis, le pouvoir, celui des Directions hospitalières, apparaît souvent comme la vision du commandeur dans l'opéra de Mozart.
Nous nous retrouvons ainsi en attitude de soumission directe alors que les mêmes directions ne souhaitent pas du tout avoir cette image.
Don Juan (nous) est en face du Commandeur, face à l'Enfer : émouvant, transi de peur, mais ne reniant jamais sa grandeur humaine, et allant jusqu'au bout, frère parmi les hommes.
Petit résumé :
Dans l'opéra de Mozart, Don Juan tue le père de sa copine.
Celui ci donc, le fameux Commandeur, revient et Don Juan l'invite, par bravade, à manger chez lui.
Le Commandeur négocie alors et obtient que ce soit l'inverse, et Don Juan accepte, pour sa perte, le repas... en enfer... Il n'en reviendra pas.
Si l'on ajoute à ce cocktail l'implacable silence de nos dirigeants se manifestant par une réponse" fermée" aux demandes répétées de négociation, de discussion nous avancerons alors dans le propos.
Silence lorsque la France est dans la rue, silence face aux syndicats si bien que certains y voient la une marque d'autisme, par analogie avec la pathologie psychiatrique.
Ce silence renforce encore l'image du Commandeur et nous étouffe littéralement, nous empêchant d'être, d'exister tout simplement.
Mea Culpa : Oui, comme bien de mes camarades, j'ai cédé, durant ma carrière, alors que j'aurais pu faire autrement, à l'autorité...
Notamment dans les réquisitions.
Alors j'ai beau jeu, en fin de carrière, d'avoir le privilège que me donne l'âge et connaissant toutes les ficelles d'utiliser celle ci en ne répondant pas, par exemple au téléphone, et en ouvrant pas ma porte au personnels de l'hôpital chargés de m'amener le fameux papier à domicile.
Aurais-je fait cela à 30ans, je ne le pense pas, la charge de culpabilité que j'avais alors en moi n'aurait pas autorisé le comportement que j'ai eu, ce jour, alors que la retraite approche.
Une des raisons qui ont prédisposées à la création des groupements syndicalistes, est l'évidence qu'en nombre, une entité supérieure se dessinait alors permettant des actions plus efficaces.
On appelle ça la force du groupe.
L'homme de base est soutenu par celui-ci et le syndicaliste responsable "porté"
par l'ensemble des hommes et des femmes de base.
Mais lorsqu'on nous présente une réquisition, nous sommes de nouveaux seuls pour combattre.
La peine n'est plus commune mais individualisée...
Et la, nos comportements sont tout autres....
Il faut une très grande force pour refuser quel que soit le moyen employé et accepter ensuite la culpabilisation engendrée par cette action.
Elle est à mon avis sans commune mesure avec celle que nous ressentons lorsque nous cédons à l'autorité et que nos camarades le comprennent.
Sauf cas exceptionnel, on ne reprochera jamais, en milieu hospitalier, l'acte de soumission, à contrario, l'acte de rébellion étonne, fait parfois envie mais est en tous cas sévèrement réprimé si l'on sort de la Loi.
Je comprends bien, mais je constate que malgré l'humiliation, certains en redemandent...Rebellion? il faut le prouver? Tu n'as pas à être chez toi pour attendre une assignation. Il reste la réquisition que le gendarme viendra te donner, voila les systèmes sont plus lourds, mais ils sont prévus..ce n'est pas de la rébellion, mais bien de la soumission "inconsciente" que d'attendre....
Soit les choses reprennent comme au printemps , les blocs n'auront de morts que les IADE épuisés, donc soit ils se décident à rendre un peu les coups qu'ils ont reçu en compliquant ce qui est légitime, tout en restant dans le légitime, soit, alternative de retrait qui me parait légitime, ils ne sont plus capables d'exercer temporairement eu égard le traitement qui nous est fait, pour eux-mêmes, pour les usagers...
ça c'est pour ceux qui tiennent au légitime...donc les autres font ce qu'ils veulent...
Les médias semblent nous avoir déja oublié...les blocs seraient-ils encore bien vivants?
Notre destin, et aussi pour les patients, sera scellé à jamais cette année, ne l'oublions pas...
Soit les choses reprennent comme au printemps , les blocs n'auront de morts que les IADE épuisés, donc soit ils se décident à rendre un peu les coups qu'ils ont reçu en compliquant ce qui est légitime, tout en restant dans le légitime, soit, alternative de retrait qui me parait légitime, ils ne sont plus capables d'exercer temporairement eu égard le traitement qui nous est fait, pour eux-mêmes, pour les usagers...
ça c'est pour ceux qui tiennent au légitime...donc les autres font ce qu'ils veulent...
Les médias semblent nous avoir déja oublié...les blocs seraient-ils encore bien vivants?
Notre destin, et aussi pour les patients, sera scellé à jamais cette année, ne l'oublions pas...

- fp1954
- Messages : 211
- Enregistré le : 10 juin 2010, 07:19
- Localisation : Montpellier
oui, si le sujet t'intéresse, je vais te donner un lien qui te décrira l'expérience de Milgram, à moins que tu ne la connaisses déjà ?
Plus on tape fort plus on aime ! Et on en redemanderait un peu plus !
L'expérience de Milgram est une expérience de psychologie réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram.
Cette expérience cherchait à évaluer le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet.
Les résultats ont suscité beaucoup de commentaires dans l’opinion publique, mais la méthode utilisée a fait naître critiques et controverses chez les psychologues et les philosophes des sciences
Je plaisante à peine, lis ceci :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram
Il y aurait beaucoup à dire la-dessus.... mais bon...
Si ! une réflexion très importante :
Plus tard, certains se sont demandés si Milgram n'était pas pire que les sujets de son expérience.
Placer des personnes dans une telle situation relève de la perversité voire du sadisme le plus absolu.
On pourrait en dire autant de l'ensemble des personnels qui l'entourait.
Milgram, lui, ne fera jamais le lien que nous venons de faire ici et, bien peu de gens, encore de nos jours ne le font.
Plus on tape fort plus on aime ! Et on en redemanderait un peu plus !
L'expérience de Milgram est une expérience de psychologie réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram.
Cette expérience cherchait à évaluer le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet.
Les résultats ont suscité beaucoup de commentaires dans l’opinion publique, mais la méthode utilisée a fait naître critiques et controverses chez les psychologues et les philosophes des sciences
Je plaisante à peine, lis ceci :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram
Il y aurait beaucoup à dire la-dessus.... mais bon...
Si ! une réflexion très importante :
Plus tard, certains se sont demandés si Milgram n'était pas pire que les sujets de son expérience.
Placer des personnes dans une telle situation relève de la perversité voire du sadisme le plus absolu.
On pourrait en dire autant de l'ensemble des personnels qui l'entourait.
Milgram, lui, ne fera jamais le lien que nous venons de faire ici et, bien peu de gens, encore de nos jours ne le font.
- fp1954
- Messages : 211
- Enregistré le : 10 juin 2010, 07:19
- Localisation : Montpellier
Oui, toi et moi semblons être faits du même bois.
Mais que représentons-nous ?
Voici ce qu'en pense Migram :
on pouvait espérer ensuite de ce fait une amélioration du pourcentage de résistants aux pressions. Comme on va le voir, il n'en fut rien. Le pourcentage d'environ 10% de réfractaires aux pressions, le même qui fut constaté aux lavages de cerveau pendant la guerre de Corée, resta sensiblement le même.
10 % je crois que ce chiffre parle de lui-même..
Mais que représentons-nous ?
Voici ce qu'en pense Migram :
on pouvait espérer ensuite de ce fait une amélioration du pourcentage de résistants aux pressions. Comme on va le voir, il n'en fut rien. Le pourcentage d'environ 10% de réfractaires aux pressions, le même qui fut constaté aux lavages de cerveau pendant la guerre de Corée, resta sensiblement le même.
10 % je crois que ce chiffre parle de lui-même..
Je ne crois pas qu'il faille plus,fp1954 a écrit :Oui, toi et moi semblons être faits du même bois.
Mais que représentons-nous ?
Voici ce qu'en pense Migram :
on pouvait espérer ensuite de ce fait une amélioration du pourcentage de résistants aux pressions. Comme on va le voir, il n'en fut rien. Le pourcentage d'environ 10% de réfractaires aux pressions, le même qui fut constaté aux lavages de cerveau pendant la guerre de Corée, resta sensiblement le même.
10 % je crois que ce chiffre parle de lui-même..
à l'échelle du monde, les bouleversements se font parfois avec une poignée...mais il faut la poignée!
- fp1954
- Messages : 211
- Enregistré le : 10 juin 2010, 07:19
- Localisation : Montpellier
-
- Donateur 2013
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- Enregistré le : 11 déc. 2005, 10:32
- Localisation : Dijon
-
- Donateur 2013
- Messages : 782
- Enregistré le : 11 déc. 2005, 10:32
- Localisation : Dijon
Jef62 a écrit :Situation au CH Calais
demain journée bloc mort: 100% iade grévistes, seuls 1 iade pour la maternité de niveau 3 de garde et 1 iade d'astreinte pour le bloc soit 6 salles fermées sur 7 et fermeture de l'unité d"endoscopie. Les iade grévistes se reuniront demain a 10h pour une conf avec la presse locale pour rappeler nos revendications.
Nous espérons que les hopitaux voisins se bougeront aussi ...