Pour une sortie honorable en cas de refus de négocier
Modérateur : Marc
-
- Messages : 140
- Enregistré le : 19 mai 2010, 21:12
- Année de diplôme IADE : 2005
- Poste occupé actuellement : entubé,sous-traitant
- Localisation : côtes d'armor
Pour une sortie honorable en cas de refus de négocier
INTERNATIONAL, EUROPE
Démission collective de 12.800 infirmières en Finlande
Les infirmières occupent une place prépondérante dans le système de soins en Finlande, du fait d’une pénurie historique de médecins. Comme 16.000 membres du Syndicat des salariés de la santé et de l’assistance sociale (Tehy) ont annoncé leur démission collective à partir du 19 novembre, des transferts de patients ont déjà été organisés vers les pays voisins de la Finlande.
25 avril 2009
Des revalorisations salariales ont été récemment promises à l’ensemble des employés municipaux (+ 9 % sur deux ans et demi). Mais les infirmières souhaitent obtenir une hausse de 24 % sur 3 ans, soit entre 400 et 600 euros par mois, pour combler le retard accusé par la profession, du fait du gel des salaires depuis les années 80. Employées par les communes, elles gagnent actuellement 1.900 euros mensuels environ, une somme très inférieure à la moyenne des salaires des employés municipaux qui est de 2.500 euros.
La présidente du syndicat, Jaana Laitinen-Pesola, ne voit aucune alternative. "Si le niveau des salaires n’augmente pas de façon significative, il ne nous reste plus qu’à changer de branche ou à aller travailler en Suède car les salaires y sont supérieurs de 500 euros par mois".
Face à l’inefficacité de leur précédent mouvement de grève (quatre semaines en 1995) en raison de la nécessité de répondre à l’obligation de service minimum, le syndicat Tehy a choisi d’user de l’arme de la démission collective pour paralyser le système de santé.
A la veille de l’ultimatum du 19 novembre, les hôpitaux prennent donc la menace au sérieux et envisagent de fermer des services entiers.
En effet, malgré des semaines de négociations, comme les communes (qui emploient les infirmières) et le gouvernement (qui assure le financement de ces communes) n’ont pas l’intention de répondre aux revendications des infirmières et des sages-femmes, des transferts de patients ont déjà été organisés vers la Suède et l’Allemagne.
Ce type d’action collective n’est pas sans risque. Rien ne garantit que les infirmières retrouveront leur emploi, une fois le conflit résolu. Mais l’embauche des démissionnaires sera une condition à la signature des accords collectifs, et la pénurie de main-d’œuvre dans les hôpitaux devrait faciliter le retour à l’emploi.
Les infirmières bénéficient d’un fort soutien de la population. Toute tendance politique confondue, les Finlandais ont exprimé dans plusieurs sondages leur adhésion à ce mouvement, bien que l’augmentation des rémunérations des infirmières entraînera inévitablement dans plusieurs localités une progression des impôts. Seul un quart des personnes interrogées se déclare hostiles à l’action des infirmières et rejette leur menace de démission.
Autre article sur le sujet : lire l’article d’Eric Favereau, grand reporter à Libération
trouvé sur le site du syndicat national des professionnels infirmiers
Démission collective de 12.800 infirmières en Finlande
Les infirmières occupent une place prépondérante dans le système de soins en Finlande, du fait d’une pénurie historique de médecins. Comme 16.000 membres du Syndicat des salariés de la santé et de l’assistance sociale (Tehy) ont annoncé leur démission collective à partir du 19 novembre, des transferts de patients ont déjà été organisés vers les pays voisins de la Finlande.
25 avril 2009
Des revalorisations salariales ont été récemment promises à l’ensemble des employés municipaux (+ 9 % sur deux ans et demi). Mais les infirmières souhaitent obtenir une hausse de 24 % sur 3 ans, soit entre 400 et 600 euros par mois, pour combler le retard accusé par la profession, du fait du gel des salaires depuis les années 80. Employées par les communes, elles gagnent actuellement 1.900 euros mensuels environ, une somme très inférieure à la moyenne des salaires des employés municipaux qui est de 2.500 euros.
La présidente du syndicat, Jaana Laitinen-Pesola, ne voit aucune alternative. "Si le niveau des salaires n’augmente pas de façon significative, il ne nous reste plus qu’à changer de branche ou à aller travailler en Suède car les salaires y sont supérieurs de 500 euros par mois".
Face à l’inefficacité de leur précédent mouvement de grève (quatre semaines en 1995) en raison de la nécessité de répondre à l’obligation de service minimum, le syndicat Tehy a choisi d’user de l’arme de la démission collective pour paralyser le système de santé.
A la veille de l’ultimatum du 19 novembre, les hôpitaux prennent donc la menace au sérieux et envisagent de fermer des services entiers.
En effet, malgré des semaines de négociations, comme les communes (qui emploient les infirmières) et le gouvernement (qui assure le financement de ces communes) n’ont pas l’intention de répondre aux revendications des infirmières et des sages-femmes, des transferts de patients ont déjà été organisés vers la Suède et l’Allemagne.
Ce type d’action collective n’est pas sans risque. Rien ne garantit que les infirmières retrouveront leur emploi, une fois le conflit résolu. Mais l’embauche des démissionnaires sera une condition à la signature des accords collectifs, et la pénurie de main-d’œuvre dans les hôpitaux devrait faciliter le retour à l’emploi.
Les infirmières bénéficient d’un fort soutien de la population. Toute tendance politique confondue, les Finlandais ont exprimé dans plusieurs sondages leur adhésion à ce mouvement, bien que l’augmentation des rémunérations des infirmières entraînera inévitablement dans plusieurs localités une progression des impôts. Seul un quart des personnes interrogées se déclare hostiles à l’action des infirmières et rejette leur menace de démission.
Autre article sur le sujet : lire l’article d’Eric Favereau, grand reporter à Libération
trouvé sur le site du syndicat national des professionnels infirmiers
-
- Messages : 140
- Enregistré le : 19 mai 2010, 21:12
- Année de diplôme IADE : 2005
- Poste occupé actuellement : entubé,sous-traitant
- Localisation : côtes d'armor
Les infirmières finlandaises font plier leurs employeurs
Antoine Jacob
20/11/2007 | Mise à jour : 06:55
Face à la menace d’une démission en masse, les communes leur ont accordé une augmentation substantielle.
Helsinki
Matleena Flinkkilä a pris sa décision. Elle quittera la Finlande pour poursuivre sa carrière d’infirmière à l’étranger, comme l’ont déjà fait plusieurs milliers de ses consœurs. Ses trois années à l’hôpital de Herttoniemi, à Helsinki, ont fini par la décourager. Même si un conflit social majeur dans le pays nordique a pu être évité in extremis hier, au prix d’une généreuse augmentation salariale, cette brune de 30 ans est désormais convaincue que la classe politique n’a «aucune considération» pour sa profession.
C’est précisément parce qu’elles s’estiment ignorées et exploitées que quelque 12 500 infirmières, dont Matleena Flinkkilä, avaient décidé de démissionner en bloc. Leur initiative, sans précédent dans un pays traditionnellement enclin au dialogue social, devait initialement entrer en application la nuit dernière, au dernier coup de minuit. «Cette démarche constituait pour nous le seul moyen de faire comprendre aux employeurs et au gouvernement que nous étions prêtes à aller jusqu’au bout», expliquait hier Marjut McLean, une des membres du conseil dirigeant de Tehy, le principal syndicat du personnel de santé et de l’assistance sociale.
Hausse des impôts
La profession s’était mise en grève pour la première fois en 1968, puis en 1983 et en 1995. Ce genre d’extrémité est prévu dans le système bien huilé qui régit les relations entre partenaires sociaux dans les pays nordiques. Toutefois, à entendre les mécontentes, leur sort ne s’était guère amélioré depuis. «En 1995, notre mouvement n’a pas été efficace, puisque de nombreuses grévistes sont restées travailler pour traiter les urgences», se souvient Marjut McLean.
Aussi, cette année, le syndicat était-il déterminé à «ne pas se laisser marcher dessus» lors du renouvellement des conventions collectives. D’autant qu’avant les législatives de mars dernier, les partis politiques avaient promis un rattrapage salarial pour les professions à dominante féminine. Alors que les autres syndicats de personnels communaux acceptaient une augmentation de 9 % sur deux ans et demi, Tehy refusait. Les employeurs – les municipalités – ont alors proposé 12 %. Tehy, lui, réclamait 24 % ! Et il joignait à ses revendications une lettre de démission collective de 12 500 de ses membres (sur 123 000).
«Irresponsable», a rétorqué la Fédération des communes. Des économistes ont mis en garde contre les conséquences d’une telle hausse de salaire sur l’inflation (2,3 % sur un an) et sur les négociations à venir dans d’autres secteurs. Du côté du gouvernement de centre-droite, on a fait appel à «la raison». À son initiative, le Parlement a adopté, le 16 novembre, une loi qui aurait obligé quelque 2 500 des démissionnaires à assurer un service minimum à partir de ce matin.
Cette démarche n’a fait que renforcer la détermination des membres de Tehy. À l’hôpital de Malmi, dans la grande banlieue d’Helsinki, la mobilisation était palpable hier, avant l’annonce d’un accord. «Les conditions de travail se sont dégradées au fil du temps. Nous manquons déjà de personnel, alors que la population vieillissante aura de plus en plus besoin de soins», déplorait Leila Nieminen, infirmière en chef. Sur sa blouse blanche, un pin’s proclame : «C’est une affaire de volonté.»
Le pays se préparait donc à vivre un conflit inhabituel. Des opérations avaient été annulées, des femmes enceintes transférées en Suède. Dimanche soir, les communes ont fini par céder. Elles ont conclu un accord avec Tehy, qui a été rendu public hier et approuvé de part et d’autre : les infirmières ont obtenu une hausse allant de 22 % à 28 % sur une période de quatre ans, dont 10 % la première année. Mais cela aura un prix : «Une commune sur quatre va devoir augmenter ses impôts», a-t-on déjà averti du côté des employeurs.
trouvé sur le site le figaro.fr
Antoine Jacob
20/11/2007 | Mise à jour : 06:55
Face à la menace d’une démission en masse, les communes leur ont accordé une augmentation substantielle.
Helsinki
Matleena Flinkkilä a pris sa décision. Elle quittera la Finlande pour poursuivre sa carrière d’infirmière à l’étranger, comme l’ont déjà fait plusieurs milliers de ses consœurs. Ses trois années à l’hôpital de Herttoniemi, à Helsinki, ont fini par la décourager. Même si un conflit social majeur dans le pays nordique a pu être évité in extremis hier, au prix d’une généreuse augmentation salariale, cette brune de 30 ans est désormais convaincue que la classe politique n’a «aucune considération» pour sa profession.
C’est précisément parce qu’elles s’estiment ignorées et exploitées que quelque 12 500 infirmières, dont Matleena Flinkkilä, avaient décidé de démissionner en bloc. Leur initiative, sans précédent dans un pays traditionnellement enclin au dialogue social, devait initialement entrer en application la nuit dernière, au dernier coup de minuit. «Cette démarche constituait pour nous le seul moyen de faire comprendre aux employeurs et au gouvernement que nous étions prêtes à aller jusqu’au bout», expliquait hier Marjut McLean, une des membres du conseil dirigeant de Tehy, le principal syndicat du personnel de santé et de l’assistance sociale.
Hausse des impôts
La profession s’était mise en grève pour la première fois en 1968, puis en 1983 et en 1995. Ce genre d’extrémité est prévu dans le système bien huilé qui régit les relations entre partenaires sociaux dans les pays nordiques. Toutefois, à entendre les mécontentes, leur sort ne s’était guère amélioré depuis. «En 1995, notre mouvement n’a pas été efficace, puisque de nombreuses grévistes sont restées travailler pour traiter les urgences», se souvient Marjut McLean.
Aussi, cette année, le syndicat était-il déterminé à «ne pas se laisser marcher dessus» lors du renouvellement des conventions collectives. D’autant qu’avant les législatives de mars dernier, les partis politiques avaient promis un rattrapage salarial pour les professions à dominante féminine. Alors que les autres syndicats de personnels communaux acceptaient une augmentation de 9 % sur deux ans et demi, Tehy refusait. Les employeurs – les municipalités – ont alors proposé 12 %. Tehy, lui, réclamait 24 % ! Et il joignait à ses revendications une lettre de démission collective de 12 500 de ses membres (sur 123 000).
«Irresponsable», a rétorqué la Fédération des communes. Des économistes ont mis en garde contre les conséquences d’une telle hausse de salaire sur l’inflation (2,3 % sur un an) et sur les négociations à venir dans d’autres secteurs. Du côté du gouvernement de centre-droite, on a fait appel à «la raison». À son initiative, le Parlement a adopté, le 16 novembre, une loi qui aurait obligé quelque 2 500 des démissionnaires à assurer un service minimum à partir de ce matin.
Cette démarche n’a fait que renforcer la détermination des membres de Tehy. À l’hôpital de Malmi, dans la grande banlieue d’Helsinki, la mobilisation était palpable hier, avant l’annonce d’un accord. «Les conditions de travail se sont dégradées au fil du temps. Nous manquons déjà de personnel, alors que la population vieillissante aura de plus en plus besoin de soins», déplorait Leila Nieminen, infirmière en chef. Sur sa blouse blanche, un pin’s proclame : «C’est une affaire de volonté.»
Le pays se préparait donc à vivre un conflit inhabituel. Des opérations avaient été annulées, des femmes enceintes transférées en Suède. Dimanche soir, les communes ont fini par céder. Elles ont conclu un accord avec Tehy, qui a été rendu public hier et approuvé de part et d’autre : les infirmières ont obtenu une hausse allant de 22 % à 28 % sur une période de quatre ans, dont 10 % la première année. Mais cela aura un prix : «Une commune sur quatre va devoir augmenter ses impôts», a-t-on déjà averti du côté des employeurs.
trouvé sur le site le figaro.fr
-
- Messages : 140
- Enregistré le : 19 mai 2010, 21:12
- Année de diplôme IADE : 2005
- Poste occupé actuellement : entubé,sous-traitant
- Localisation : côtes d'armor
-
- Messages : 624
- Enregistré le : 01 juin 2007, 19:54
- Année de diplôme IADE : 2009
- Autre info : IADE - Bloc Pluridisciplinaire
- Localisation : Alsace
-
- Donateur 2012
- Messages : 1016
- Enregistré le : 27 janv. 2010, 01:26
- Année de diplôme IADE : 2005
- Poste occupé actuellement : IADE
- Autre info : Elu au conseil national du SNIA
- Localisation : IADE Collectif LR+
. Il ne faut pas oublier une chose c'est que infirnieres finnoises étaient et sont toujours majoritairement syndiquées! Et de toute façon bien plus nombreuses! Ensuite le grand risque d'une démission collective c'est que les directions en profitent pour virer les locomotives du mouvement ou les éléments gênants ...HeartBeat a écrit :Aucune chance que cela se fasse en France. On a déjà mis cette idée sur le tapis.
Rappelle toi que nous avons été 1500 et non 4000 à la dernière manifestation (à mon grand regret)...
-
- Messages : 79
- Enregistré le : 14 mai 2010, 14:58
- Localisation : phare ouest
-
- Messages : 199
- Enregistré le : 18 avr. 2007, 16:29
- Année de diplôme IADE : 2009
- Poste occupé actuellement : bloc
- Localisation : Alpes Maritimes
-
- Messages : 624
- Enregistré le : 01 juin 2007, 19:54
- Année de diplôme IADE : 2009
- Autre info : IADE - Bloc Pluridisciplinaire
- Localisation : Alsace
- guitou
- Donateur laryngo 2010-2011
- Messages : 88
- Enregistré le : 16 août 2009, 04:35
- Année de diplôme IADE : 2011
je suis pas d'accord,HeartBeat a écrit :Aucune chance que cela se fasse en France. On a déjà mis cette idée sur le tapis.
Rappelle toi que nous avons été 1500 et non 4000 à la dernière manifestation (à mon grand regret)...
le nombre n'est pas le reflet de l'exaspération ni du soutien.
en tant qu'étudiant iade, j'ai essayé d'organiser avec la promo un minibus pour le 1 oct et honnetement 10h de route, une pression d'enfer la veille par l'école pour rendre des parties de mémoire dans des délais tres court et le cout (environ 50euros / pers) ça nous a calmé.
par contre une lettre de démission collective en 1 de journaux, ça ne coutera que le prix de la publication et l'engagement de chacun devant ses responsabilités.
et surtout, il ne faut pas dire que c'est une menace. ce sera un fait réel
démission de la fonction d'iade, soit vous demandez à integrer un service de réa ou d'urgence en tant qu'ide soit vous trouverez toujours du travail en tant qu'ide en intérim. Ils seront bien obligé de céder.
et au niveau du public et des médecins ça aura plus de valeur: on vous a prévenu, on ne sera plus réquisitionnable à partir de telle date. mais il faut un délias je crois pour les titulaires de minimum 2 mois (a confirmer)
nous au niveau scolarité on ne peut dépasser le nombre de jours de carence, mais on doit etre encadrer par des iades sinon ce n'est plus légal. donc pas d'utilisation des étudiants à votre place, pas de VAE. et donc là ça coince.
mais il faut tenir et etre réellement solidaire.
-
- Messages : 60
- Enregistré le : 19 févr. 2010, 15:06
Dans l'article de Libé ( http://societe.blogs.liberation.fr/lapl ... ns-fr.html ) :
j'ai bien envie de prendre contact avec ce syndicat finlandais "Tehy" !!!
http://www.tehy.fi/in_english/
Ce problème semble universel ...Selon l'AFP, les infirmières ont décidé de recourir à la démission collective car elles considèrent que le service minimum applicable en cas de simple grève les pénalise dans leur rapport de force avec leur employeur.
j'ai bien envie de prendre contact avec ce syndicat finlandais "Tehy" !!!
http://www.tehy.fi/in_english/
Modifié en dernier par Echoes le 10 oct. 2010, 01:00, modifié 1 fois.
-
- Donateur Laryngo 2008
- Messages : 632
- Enregistré le : 24 mai 2006, 17:37
- Localisation : Poitiers
Sisi, elle arrive....guitou a écrit :mais apparement aucune réactions...
Cette idée, je pense aussi que bien menée, aura du poids....il y a aussi quelques temps que je la ressors.....
Autant, ils se priveront de certaines professions, autant pour nous ce sera plus dur....mais l'administration pense toujours que nous ne le ferons pas...
Chiche...

Pas toujours besoin d'être nombreux pour avoir du poids.......
-
- Messages : 476
- Enregistré le : 22 sept. 2005, 17:40
- Année de diplôme IADE : 2005
- Localisation : nord de france
c "rigolo" j'ai eu ce genre de discussion : demission des iade de France, car au boulot s'est tendu tendu... on lutte sur 2 fronts: national et regional, et discuter avec des murs .... usant
Se faire empapaouter sur les 2 tableaux ras le luc!!!!!!!!
Donc il y a 2 jours on m'aurait dit faut te couper la tête.... ok !!!!
Traiter pour de la m....e autant leur renvoyer la balle!! assignation??? mais ils vont assigner qui si on demissionent tous???
On ne sert à rien ? Hé bien donc il n'y aura pas mort d'hommes, au propre comme au figuré, si on n'est pas là
Alors là on verra si on sera les seuls à manifester....

Se faire empapaouter sur les 2 tableaux ras le luc!!!!!!!!

Donc il y a 2 jours on m'aurait dit faut te couper la tête.... ok !!!!
Traiter pour de la m....e autant leur renvoyer la balle!! assignation??? mais ils vont assigner qui si on demissionent tous???
On ne sert à rien ? Hé bien donc il n'y aura pas mort d'hommes, au propre comme au figuré, si on n'est pas là

Alors là on verra si on sera les seuls à manifester....
- atropine35
- Messages : 5
- Enregistré le : 09 juin 2010, 11:54
- Localisation : rennes
le truc, pour éviter que la direction accepte des démissions, est que l'on soit solidaire jusqu'au bout et que si un ou une de nous est menacé(e) alors tout le monde démissione.
c'est, soit tout le monde, soit personne!
il faut que les choses soient claires dés le début.
on décide qu'une personne réceptionne toutes les lettres, puis à une même date, partout en France,, média avisés, toutes les dém. sont expédiée chez les directeurs d'hôpitaux.
moi suis pour!
ça peut être très très fort comme mouvement.
qu'en pensez vous?
mike
c'est, soit tout le monde, soit personne!
il faut que les choses soient claires dés le début.
on décide qu'une personne réceptionne toutes les lettres, puis à une même date, partout en France,, média avisés, toutes les dém. sont expédiée chez les directeurs d'hôpitaux.
moi suis pour!
ça peut être très très fort comme mouvement.
qu'en pensez vous?
mike
-
- Messages : 37
- Enregistré le : 28 sept. 2010, 12:37
- Localisation : PARTOUT
il faut aussi penser qu une demission peut etre accepter
la grande gueule,le delégué syndicale etc..
lors d un conflit avec la drh sur les gardes dans un ch, un certain nombre ont demissionné pour montrer leur mecontentement , la drh les a foutu dehors et a pris des interimaires .
donc ki pose sa dem doit songer aussi ca en connaissance de cause
la grande gueule,le delégué syndicale etc..
lors d un conflit avec la drh sur les gardes dans un ch, un certain nombre ont demissionné pour montrer leur mecontentement , la drh les a foutu dehors et a pris des interimaires .
donc ki pose sa dem doit songer aussi ca en connaissance de cause
- i love cats
- Donateur 2013
- Messages : 1543
- Enregistré le : 09 mars 2010, 16:15
- Année de diplôme IADE : 2002
- Poste occupé actuellement : Ni Dieu ni Maître!..
- Localisation : Vie: Avignon, où le vent rend fou!