
ya pas assez de manifs ou quoi?
Modérateur : Marc
Même problème avec les pandas longs!carapitouille a écrit :les pandas courts bien entendu......
source : http://www.letelegramme.com/ig/generale ... 177863.phpPloemeur.
Un nouveau directeur à la clinique du Ter
18 janvier 2011
Alain Carié, 50 ans, a pris, hier, ses fonctions de directeur de la clinique du Ter à Ploemeur, propriété du groupe Vitalia. Bordelais d'origine, il a débuté comme infirmier puis infirmier anesthésiste, avant de rallier l'industrie pharmaceutique puis de créer une agence de conseil en management dans le secteur de la santé. Il succède à Olivier Devriendt, en poste depuis mai2009. Ce dernier retrouve le Nord, sa région d'origine, où il dirigera deux établissements de santé. La clinique du Ter compte 190 lits, emploie 200 salariés et 60 praticiens. En 2010, elle a accueilli près de 23.000 patients.
Sait elle la gamine férue de radio qui était le président Rosco?eugenie a écrit :![]()
source :http://www.sudouest.fr/2011/02/17/la-pe ... 9-1510.php17 février 2011 06h00 | Par Katia Broussy
Depuis qu'elle est à la retraite, Marie-Claude Benaouda s'est investie « à 120 % » dans l'art numérique.
Sa passion pour la photo remonte à l'enfance, « je piquais celui de mon père avant qu'il ne se décide à m'offrir mon propre appareil », et celle pour la peinture à ses années lycée. Depuis, l'informatique est passé par là et a changé sa vision des choses.
Aujourd'hui, après plus de 35 ans de carrière en tant qu'infirmière anesthésiste à Paris, Marie-Claude Benaouda a décidé de consacrer sa retraite à la « peinture numérique ». Un art « encore confidentiel en France, mais déjà bien implanté aux États-Unis », dans lequel elle s'investit à « 120 % ».
Un art qui lui a surtout permis de mêler ses trois passions, la peinture, la photo et l'informatique, pour réaliser ses œuvres. Avec une souris en guise de pinceau et un écran à la place des traditionnelles toiles, Marie-Claude fait des petits miracles aussi colorés que variés. « Cela va de la toile digigraphiée au verre acrylique, en passant par des bâches ou des photographies à effet relief », précise-t-elle.
Le principe : des photos retravaillées sur ordinateur avec plus d'une vingtaine de filtres, palettes numériques et autres logiciels, dont un spécialement conçu pour elle par un ami informaticien.
« Royan m'a touché »
Marie-Claude expose actuellement environ 25 de ses réalisations au Palais des congrès. Des œuvres locales puisqu'elles représentent toutes des paysages et morceaux choisis de Royan et Pontaillac.
Pied-noire née à Oran, Marie-Claude a retrouvé en s'installant à Royan, voilà six ans, quelques images de son enfance, notamment les paysages de bord de mer. « Royan est une ville blanche et moderne qui a su garder un côté ancien avec ses maisons des années 1930. Sa lumière et ses espaces m'ont touché. »
Elle aime aussi tout particulièrement les escaliers en spirale qu'elle a immortalisés sur papier d'art, dans un style qui lui est propre. « J'ai voulu redonner de la matière à des photos plates. Sur ces clichés, on peut distinguer le relief du béton ou du plâtre. C'est une sorte de trompe-l'œil sans en être vraiment », souligne l'artiste.
Quant au littoral royannais qu'elle affectionne tant, elle lui a consacré une bâche panoramique réalisée à partir d'une dizaine de photos. « Je voulais qu'on y voit une bonne partie du front de mer, Notre Dame, mais aussi les gradins rouges du festival Un Violon sur le sable, pour lequel je réalise régulièrement des photos. »
Mais du contemporain à l'hyperréalisme, ce que recherche avant tout Marie-Claude, c'est « redonner vie à l'image ».
source : http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2 ... 179845.phpPublié le 10 février 2011 à 04h00
Jacques Pédehontaà et Raymonde Loustau. © jean laplace
Cantonales Candidat à un quatrième mandat sur le canton de Navarrenx, Jacques Pédehontaà n'a pas eu de mal à trouver une coéquipière « proche des valeurs » (pas forcément politiques) qu'il défend. Une amie de longue date, connue pour son dynamisme, son franc-parler et très impliquée dans la vie associative du canton.
Née à Bastanès, infirmière anesthésiste actuellement en semi-activité, Raymonde Loustau a partagé sa carrière entre les hôpitaux de Bordeaux (pendant 12 ans) et celui de Bayonne où elle a exercé durant 23 ans. C'est là qu'elle a intégré l'association humanitaire Euskadi-Sénégal, à laquelle elle consacre trois semaines par an, depuis douze ans, lors de missions auprès des populations sous-développées africaines. À Navarrenx, elle anime la section bridge du club Echo des Remparts, accompagne le Stade Navarrais Rugby au sein de l'équipe des dirigeants et à l'amicale des supporters, participe à l'accueil des pèlerins et aux activités du comité de jumelage. « Une équipière idéale », estime Jacques Pédehontaà, « pour une campagne de proximité sincère, simple et naturelle ».
source : http://www.clicanoo.re/11-actualites/16 ... -elle.htmlFin 2009, une patiente en bonne santé a succombé suite à une intervention bénigne, au cours de laquelle le protocole de soins n’a pas été respecté. Malgré deux rapports internes pointant ces dysfonctionnements, la direction du centre hospitalier Félix-Guyon a classé l’affaire.
Les faits remontent à novembre 2009. Viviane*, une Saint-Pauloise de 39 ans, est hospitalisée au CHD Félix-Guyon de Saint-Denis pour y subir une hystérioscopie, opération destinée à examiner l’utérus. Admise au bloc opératoire, la patiente subit une rachianalgésie, doublée d’une anesthésie locale. Concrètement, on lui pique la colonne vertébrale pour injecter du sérum, par voie basse. L’intervention, plutôt bénigne, est effectuée par un médecin anesthésiste réanimateur, mais sans l’assistance d’une infirmière anesthésiste diplômée d’Etat, conformément au protocole de soins. Seule l’infirmière de bloc opératoire est présente. Le docteur assure à cette dernière qu’il restera présent en salle d’intervention. L’opération se déroule bien. Mais Viviane, consciente, se plaint d’avoir chaud. Vers 15 h 45, le médecin quitte la salle et laisse l’infirmière seule avec la patiente, sans équipe d’anesthésie.
LE MÉDECIN S’EN VA ET NE REVIENT PAS
Trente minutes plus tard, Viviane présente des difficultés respiratoires et fait un malaise. L’infirmière bipe le médecin pour demander de l’aide. En vain. Pas de réponse. Elle se tourne alors vers un autre médecin présent dans le bloc. Mais ce dernier est occupé avec une malade en état de choc. L’infirmière tente à nouveau d’alerter le médecin anesthésiste. Toujours pas de retour. C’est finalement le collègue d’un autre service (soins intensifs postopératoires) qui intervient en urgence, pour intuber la patiente. Mais son état continue à se dégrader. Elle s’agite. A de plus en plus de mal à respirer. Et finit par faire un arrêt cardiaque. Les tentatives de réanimation ne donnent rien. L’équipe d’urgence décide de la transférer vers le bloc de chirurgie cardiaque pour pratiquer une circulation extracorporelle. Trop tard. La patiente décédera avant l’intervention. Elle aurait succombé à un œdème aigu du poumon. Viviane a-t-elle été victime d’une négligence médicale ? Le protocole d’intervention a-t-il été respecté ? Quelques jours après le décès, l’infirmière du bloc décide d’adresser une fiche de signalement d’événement indésirable à la direction du CHR, document destiné à rendre compte d’un dysfonctionnement de la chaîne de soins. Ce rapport - que nous nous sommes procuré - détaille les circonstances de l’intervention. Pointe le départ du médecin anesthésiste, son absence de réponse. Et signale “la gravité vitale” de l’événement. Un autre compte rendu a été dressé par l’infirmière anesthésiste d’une salle attenante, intervenue en urgence.
UN DÉBRIEFING MAIS PAS D’ENQUÊTE
Mais ces courriers restent sans suite. L’affaire se solde par un débriefing interne, avec consigne de ne rien ébruiter (voir par ailleurs) L’infirmière de bloc ne sera jamais auditionnée. Pas plus que le médecin coupable d’absence. La direction du CHD, à l’époque représentée par Patrick Gras, ne diligente aucune enquête administrative et médicale. Etonnant ! Dans un cas de ce type, la procédure voudrait pourtant que l’autorité de tutelle, l’Agence régionale d’hospitalisation (ex-ARH), soit alertée. Après vérification auprès des services de l’ARS, cela n’a jamais été le cas. “Personne chez nous n’a eu connaissance de cette affaire”, confirme la responsable de la communication. Nous avons rapporté les faits au docteur Dominique Polycarpe, directeur de la veille et de la sécurité sanitaire à l’ARS. Sa réponse est sans équivoque : “En cas d’événements indésirables graves, l’autorité de tutelle est tenue d’être informée. Les directeurs d’établissements le savent, puisque nous avons mis en place une plate-forme de veille et d’urgence sanitaire chargée d’étudier d’éventuels dysfonctionnements de soins”. De son côté, la famille de la défunte n’a pas porté plainte. Pour des motifs religieux, d’après nos informations. L’a-t-on informée des circonstances exactes qui ont précédé le décès ? Rien n’est moins sûr. Aujourd’hui, un cadre de santé de l’hôpital sort du silence et dénonce : “L’administration n’a pas fait son boulot. Il y a eu un manquement médical manifeste. Le médecin en cause aurait dû passer en conseil de discipline”. Or, ce dernier exerce toujours. Dans le même service
Vincent Boyer
* Prénom d’emprunt par souci d’anonymat
“Faut pas que ça s’ébruite” Une employée du bloc opératoire, présente lors de cette intervention à l’issue tragique, a accepté de témoigner, sous couvert d’anonymat. Elle confirme que la direction a voulu étouffer l’affaire : “J’étais dans la salle voisine quand cela s’est passé. Je confirme qu’il n’y avait pas d’infirmière anesthésiste lors de la rachi-analgésie. Et que le médecin a quitté la salle peu de temps après. Il est parti chercher son fils à l’école, et n’a jamais répondu aux appels d’urgence. Après le décès, il y a un débriefing interne. Chacun s’est renvoyé la balle. Mais personne n’a osé mettre en cause directement le médecin qui a abandonné son poste. Ses chefs l’ont couvert. L’un des cadres de santé nous a dit : “Secret médical. Faut pas que ça s’ébruite”. Ça a jeté un gros malaise dans le service pendant plusieurs semaines. Beaucoup se sont étonnés qu’il n’y ait pas eu de plainte ni d’enquête pour éclaircir cette histoire, alors que le responsable est connu. La collègue infirmière de bloc a évidemment très mal vécu cette histoire. Elle est partie en congés maladie après les faits”
- “Aucun souvenir de cette affaire-là”
Interrogé, l’ancien directeur de l’hôpital Félix-Guyon répond n’avoir “aucun souvenir de cette affaire-là”. “On traite beaucoup de dossier, vous savez. Celui-là n’a pas retenu mon attention. S’il y a eu une fiche de signalement, sans doute qu’une analyse interne a dû être menée. J’ai quitté mes fonctions de directeur deux mois plus tard, et je n’ai pas eu retour”, s’est borné à déclarer Patrick Gras. Qui nous a renvoyé vers l’actuelle direction pour davantage de renseignements.
Nous avons donc contacté le directeur de la qualité et de la gestion des risques du CHD, Luis Santos, pour lui demander si une enquête avait été ouverte après le décès de cette patiente. Pas de réponse, si ce n’est ce commentaire lourd d’embarras : “Je m’étonne que vous ayez été destinataire d’une fiche de signalement d’élément indésirable”. Avant de s’en remettre à “la confidentialité des données médicales”.
Pour le coup, le secret médical a bon dos…
Il est à noter que la “fuite” concernant cette négligence médicale coïncide avec la nomination de Patrick Gras à la tête du projet de Pôle sanitaire ouest. Rancœur ou jalousie ? Visiblement, certains n’ont pas l’intention de lui souhaiter la bienvenue…
source :Préavis de Grève à l'hôpital Pasteur
Les membres de la CGT du Centre hospitalier Pasteur ont déposé un "préavis de grève pour le souvenir" pour le jeudi 10 mars au soir.
Le syndicat CGT a déposé aujourd'hui un préavis de grève à l'hôpital Pasteur à Cherbourg (Manche). Ce mouvement devrait débuter le jeudi 10 mars à 21 heures et s'achever le samedi 12 mars à 7 heures.
Intitulé "Un préavi de grève pour le souvenir"... ce mouvement a été décidé pour rendre hommage à Alain Bonnet. Cet infirmier anesthésiste avait mis fin à ses jours il y a un an. Pour les syndicats ce décès était une conséquence directe du non renouvellement de ses fonctions à titre conservatoire. Cette grève sera également l'occasion pour les syndicats de mener une rencontre interprofessionnelle sur le thème des risques psychosociaux.
http://www.tdg.ch/actu/suisse/medecins- ... 2011-12-12Deux médecins condamnés pour homicide par négligence
Le Tribunal correctionnel de Lausanne a condamné lundi un chirurgien et un anesthésiste à respectivement 120 et 60 jours-amende avec sursis
http://www.ledauphine.com/savoie/2011/1 ... ment-moralUn médecin anesthésiste poursuivi pour harcèlement moral
Lui est médecin anesthésiste. Elle nettoie les salles d’opération. Tous deux travaillent ensemble, à la clinique générale de Savoie. Plus pour longtemps. En 2007, l’employée, agent de service, dépose plainte pour harcèlement moral.
Reproches fréquents, pression sur le personnel, dénigrement du travail, agressivité, mépris, paroles humiliantes (“Conchita”). La liste énumérée par le président du tribunal, Bernard Landot, est longue.
À la barre, le médecin de 56 ans, le regard sûr de lui, s’explique : « Je suis exigeant sur la qualité du travail, et c’était un gros problème dans ce service. La biodécontamination était de son ressort et parfois il restait du sang entre deux opérations. Je suis coléreux quand les choses ne vont pas mais je ne pense pas être méprisant. »
D’après “l’autre camp”, tout se passait bien dans le bloc. Et on décrit la plaignante comme « paresseuse », « sûre d’elle », « revendicative », « a du mal à accepter les remontrances », « pas un bon élément ». Selon l’expert psychiatrique, la plaignante aurait une personnalité fragile et vulnérable. À la barre, elle a du mal à parler, sanglote. « J’ai encore peur de lui, il m’a fait du mal. »
« Je défends Monsieur C., pas Dominique Strauss-Kahn »
« Un coup, ma cliente faisait mal son travail, un coup elle mettait trop de temps à le faire. Quand on a une cible, on trouve toujours quelque chose qui ne va pas », plaide l’avocat de la partie civile. Mise sous antidépresseurs, soignée pendant deux semaines en centre hospitalier spécialisé, « sa vie n’est pas gâchée mais elle a pris un sérieux coup », résume l’avocat qui demande 20 000 € de dommages-intérêts.
Suite à la dénonciation de l’agent de service, ce médecin est licencié fin 2007. « D’autres ont subi cette attitude, on voit les ravages que cela a provoqués », explique Florence Laréal, substitut du procureur. « Certaines sont parties, ne supportant plus ces comportements. Certaines ont pris sur elles car elles en avaient les ressources psychiques. »
Dans les auditions, il est également décrit comme mielleux avec les femmes, installant parfois une ambiance libertine. Avec jeux d’eau et arrachage des pyjamas en papier à la fin des opérations. « Je défends Monsieur C., pas Dominique Strauss-Kahn », tient à préciser M e Karine Riou. « Il est exigeant car il a la vie de ses patients entre les mains. Oui il est intransigeant et colérique, mais quand vous avez une telle responsabilité, vous ne pouvez pas vous permettre de ne pas l’être. »
Le parquet a requis trois mois avec sursis et 10 000 € de dommages-intérêts. Le jugement a été mis en délibéré au 20 janvier.
source : http://www.charentelibre.fr/2012/01/09/ ... 073642.phpGirac: il se réveille en pleine opération
En pleine opération chirurgicale, les effets de l'anesthésie ont cessé. L'intervention sur Marcel Bergeron a dû être stoppée, inachevée.
L'anesthésie de Marcel Bergeron n'a pas duré assez longtemps. Pour des raisons qu'il ignore encore aujourd'hui. Photo Majid Bouzzit
"C'est comme si on me découpait en morceaux à l'intérieur. C'était une torture". C'est un calvaire qu'a vécu Marcel Bergeron, 66 ans, sur une table d'opération de l'hôpital de Girac, en septembre dernier, lors d'une opération de la prostate. «Brutalement, j'ai tout senti. Je me suis mis à crier. Le chirurgien a arrêté, puis il a recommencé. J'ai crié encore plus fort. Il a arrêté complètement. C'était impossible de continuer», raconte Marcel Bergeron.
L'intervention n'était pourtant pas terminée. Il a dû se contenter de ce qui avait été fait. «Ils n'ont fait qu'un côté de la canalisation», sourit-il jaune. Marcel est resté hospitalisé une dizaine de jours: «Si la fenêtre avait été ouverte, j'aurais sauté. Ils m'ont assommé de médicaments».
Après quoi il a été renvoyé chez lui, à Angeac-Charente. «Normalement, après ce type d'opération, on ne peut pas faire d'efforts durant deux mois. Moi, c'est toujours pareil après plus de trois mois. Sinon, j'ai mal. Je suis toujours sous anti-inflammatoires. Si j'essaie de diminuer les doses, je souffre». L'inactivité forcée lui plombe le moral. Et surtout, il n'urine pas mieux qu'avant l'intervention. Chaque nuit, il doit se relever «entre 6 et onze fois».
Source : http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolit ... leur.dhtmlIl se réveille en pleine opération et hurle de douleur
Un sexagénaire français a vécu une expérience traumatisante lors d'une intervention chirurgicale. Le patient s'est réveillé en pleine opération.
Pour Marcel Bergeron, cette intervention restera à jamais gravée dans sa mémoire. Cet homme de 66 ans s'était fait opérer de la prostate en septembre dernier à la suite de problèmes urinaires mais tout ne s'est pas passé comme prévu.
Alors qu'il se trouvait sur la table d'opération, les effets de l'anesthésie ont cessé. Marcel s'est réveillé et a ressenti d'horribles douleurs. "C'est comme si on me découpait en morceaux à l'intérieur. C'était une torture", relate-t-il au quotidien Charente Libre.
"Je me suis mis à crier. Le chirurgien a arrêté, puis il a recommencé. J'ai crié encore plus fort. Il a arrêté complètement. C'était impossible de continuer". Mais l'opération n'était pas terminée. "Ils n'ont fait qu'un côté de la canalisation", explique aujourd'hui le sexagénaire qui souffre toujours de problèmes urinaires.
Mais pas question de songer à une autre opération. Plus de trois mois après cette intervention qui a viré au cauchemar, Marcel souffre toujours de douleurs dues à cette opération ratée. "J'ai mal. Je suis toujours sous anti-inflammatoires. Si j'essaie de diminuer les doses, je souffre". (CB)
11/01/12 14h46