Mais nous c est parce qu on est "inutile en pre hop".. :)) , mais en parallele l admi. souhaiterait nous voir aux urg...
On nage en plein delire, que veux tu... Il faut

Modérateur : Marc
Ils sont forts ces IDEs qui essaient de virer les IADE !!IADE2701 a écrit :actuellemnt nous sommes encore au smur mais il yb a aussi des ide et il essaie aussi de nous sortir du système et encore pour d es raissons financière mais la s écurité il n'en n'ont rien a faire
je ne vois pas comment c'est possible, car les textes disent bien :ANTOAL a écrit :
Sachez que chez nous la DRH a decidé d'interpreter les textes:pas de cotas pour le passage en classe sup pour les IADEs donc pas de passage en classe sup pour 9 de nos collegues cela permet de faire des economies puisque notre CH est dans le rouge donc ce sont les IADEs qui payent l addition et pas d effet retro-actif quand ils pourront passer en classe sup
Le vrai calcul existe, il est simple à faire. La différence de traitement entre un ide de la fonction publique et un ide qui devient iade est d'environ 5 %. Autant dire rien. L'argument financier n'est jamais un argument recevable, ça n'est qu'un faux argument placé pour détourner l'attention.Karim Abellan a écrit :Soit un cout de différence entre un salaire net IDE et IADE d'environ... 400 Euros (1600 Vs 2000).
Tout à fait d'accord. Je vais plus loin, quand on parle aux administratifs, il faut leur parler un langage qu'ils comprennent. Compétence, qualité des soins, ce sont des mots qui ne les intéressent pas.Karim Abellan a écrit :Et la compétence me direz vous ?
1/ C'est un terme qui échappe à la logique comptable. N'essayez pas de leur expliquer, ça les dépasse complétement.
C'est pourquoi je pense que nous avons un réel rôle à jouer dans les transports interhospitaliers sans médecin à bord. Quelques pistes :Karim Abellan a écrit :3/ Effectivement, pour justifier une plus-value de coûts, il faut justifier une plus value d'efficacité, voire de rentabilité. A titre d'exemple (CARICATURAL, bien sûr), les IADE seraient mise en valeur si on démontrait que la présence du médecin n'est pas utile de façon systématique.
Je vais vous raconter une vieille histoire de vieux. Il y a eu il y a bien longtemps un accident d'anesthésie qui s'est soldé par un état neurovégétatif chronique chez un homme jeune et en bonne santé (et chargé de famille). Les dommages et intérêts ont été très élevés. À cette époque, un anesthésiste avait calculé que quelques procès de ce type représentaient en dommages et intérêts de quoi changer le parc vieillissant de tous les respirateurs d'anesthésie du plus grand centre hospitalier de Paris (pour ne pas le nommer...). Et c'est ainsi que c'est terminée la carrière des RPR...Karim Abellan a écrit :4/ Le petit chapitre sur l'assurance nous ouvre une voie de réflexion : Est-il plus rentable à long terme de mettre des gens de qualité au chevet du malade ou bien d'investir dans un bon cabinet d'avocat et de provisionner une reserve de dommages et intêrets pour le cas où ?....
Parce qu'il faut commencer par le commencement. Notre rôle auprès de patients cadrés et à risque évolutif faible est évident.Karim Abellan a écrit :Pourquoi en parler que des transferts et pas des primaires ?
Je ne peux pas parler pour mes collègues ni pour les isp. Je pense que c'est une part de notre travail qui est intéressante, je ne sais pas ce qu'en pensent les autres.Karim Abellan a écrit :Pourquoi les ISP sont ravis et motivés pour en faire alors que les IADE sont beaucoup plus rétifs ?
Les deux sont possibles, mais on ne leur confiera pas les mêmes patients.Karim Abellan a écrit :Les communications ont déjà eues lieux et pour avoir été dans la salle ; devant le questionnement de la plus value des IADE pour ce genre de transports les réponses ont été très évasives et peu convaincantes.