Et Maintenant ?
Modérateur : Marc
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picolat
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Steph.L
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La grève continu
Au Centre Hospitalier de Troyes il y a 2 assignés pour le Bloc.
Personnelement RB nous mène en bateau depuis le début de notre mouvement. Elle ne reconnait même plus la pénibilité de notre travail. Elle nous mens et nous méprise. Son manque de considération pour notre profession s'affiche au grand jour.Qu'elle belle image de la France de voir molesté le personnel de santé par les forces de l'ordre alors que la manifestation était pacifique. C'est une honte... Bachelot démission....Bachelot démission....La lutte pour la reconnaissance de notre niveau d'études n'est pas fini bien au contraire elle ne fait que commencer.....
Personnelement RB nous mène en bateau depuis le début de notre mouvement. Elle ne reconnait même plus la pénibilité de notre travail. Elle nous mens et nous méprise. Son manque de considération pour notre profession s'affiche au grand jour.Qu'elle belle image de la France de voir molesté le personnel de santé par les forces de l'ordre alors que la manifestation était pacifique. C'est une honte... Bachelot démission....Bachelot démission....La lutte pour la reconnaissance de notre niveau d'études n'est pas fini bien au contraire elle ne fait que commencer.....
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Christophe.Leroy
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Et maintenant...?
Preuve est faite que nous pouvons nous mobiliser en MASSE...
Preuve est faite que nous pouvons DURCIR des actions....mais nous serons surveillés comme le lait sur le feu.Il va falloir plus être intelligent dans nos actions ...(ça on sait faire!)
Et si la solution était d'effectuer des actions ponctuelles avec moins de jours de grève, qui sont perdus dans le flou des assignations et dont les statistiques se perdent dans les couloirs du ministère...
Et pourquoi pas visiter notre belle province...
Preuve est faite que nous pouvons nous mobiliser en MASSE...
Preuve est faite que nous pouvons DURCIR des actions....mais nous serons surveillés comme le lait sur le feu.Il va falloir plus être intelligent dans nos actions ...(ça on sait faire!)
Et si la solution était d'effectuer des actions ponctuelles avec moins de jours de grève, qui sont perdus dans le flou des assignations et dont les statistiques se perdent dans les couloirs du ministère...
Et pourquoi pas visiter notre belle province...
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Linfalas
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- Localisation : En exil chez les sodomites...
RBN nous "promet" une entrevue au mois de juin, en appellant de tous ses voeux le pourrissement de la situation (vacances obliges)?
Pas grâve, allons chercher les Français là, où ils seront soit: sur la plage, ou sur les routes!
Puis tant qu'à bloquer , autant aller faire un tour du côté de St Tropez, la Jet-Set Bling-bling pourrait en glisser un mot à son king!
Pas grâve, allons chercher les Français là, où ils seront soit: sur la plage, ou sur les routes!
Puis tant qu'à bloquer , autant aller faire un tour du côté de St Tropez, la Jet-Set Bling-bling pourrait en glisser un mot à son king!
Modifié en dernier par Linfalas le 19 mai 2010, 09:59, modifié 2 fois.
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aubépine
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et maintenant?
il faut faire une piqure de rappel aux sénateurs,voici notre courrier:
Le 17 mai 2010
Monsieur le Sénateur,
Les infirmier(e)s anesthésistes du Centre Hospitalier de Troyes souhaitent attirer votre attention.
Madame la Ministre de la santé BACHELOT-NARQUIN a présenté en février 2010 un protocole de réforme de nos statuts . Ce protocole n’a été approuvé et signé que par un seul syndicat , celui des cadres , bien loin de représenter la corporation infirmière et encore moins les infirmiers(ères) anesthésistes .
Vous allez débattre et prendre position sur l’article 30 du projet de réforme .
Cet article a été ajouté en dépit du bon sens et sans aucune concertation de nos partenaires sociaux . Il a été apposé plus tard au protocole et cela très discrètement .
Cette démarche ne respecte pas la voie démocratique et encore moins le « dialogue social » . Il a été adopté à l’assemblée nationale dans la précipitation et avec le plus grand mépris de notre profession .
Les promesses de l’Etat devaient revaloriser les infirmiers(ères) et leur accorder une meilleure considération . Elles se soldent par du chantage .
Alors que les débats sur les réformes des retraites ne font que commencer , il serait de bon ton d’éviter aux infirmiers(ères) de servir d’exemple pour un passage en force de décisions unilatérales .
Notre pénibilité de travail a été légitimement reconnue en 2002 , ce qui avec notre passage en catégorie A active , nous permet de quitter nos fonctions dès 55 ans .
Comment peut elle disparaître ainsi par enchantement ? Nos fonctions et nos charges de travail ne font qu’augmenter , la durée de vie s’allonge , les pathologies évoluent , la recherche aussi , la technicité demande une constante adaptation.
Devons nous vous rappeler la situation qui règne actuellement dans les hôpitaux ? À savoir:
- baisse des effectifs paramédicaux et médicaux , flexibilité d’horaires , mise à disposition du personnel ( jours , nuits , week-end et fériés )
- augmentation de la charge de travail , des responsabilités , des prises de risques , des adaptations aux normes croissantes de sécurité bien connues en Anesthésie , SMUR , Réanimation (nos lieux d’exercice en qualité d’infirmiers anesthésistes) , ceci par principe de précaution
- exposition aux produits , rayons , milieux périlleux , détresses vitales , infections notamment celles qu’on pensait ne plus revoir mais qui émergent avec la misère sociale croissante
- fatigue , stress , épuisement parfois
- baisse des budgets de formation…
Les mesures de restrictions budgétaires et de rendement ne doivent pas nuire à la qualité des soins et aux soignants.
La perte de la reconnaissance de la pénibilité nous apparaît comme une insulte à notre égard et ne fait qu’alimenter les manifestations de contestations devant le Ministère de la santé.
Par ailleurs , elle ne favorisera pas l’attractivité du métier déjà bien pauvre en effectif , notre branche professionnelle spécialisée en Anesthésie comme les autres .
Cette décision ne fera que renforcer la perte de motivation des personnels en place .
Nous exerçons encore un métier qui nous est apparu comme une vocation , force est de constater qu’il ne deviendra qu’un « emploi » sans grande perspective qui ne s’inscrira plus dans un projet de carrière .
Ceci pourrait expliquer le grand nombre d’abandon des jeunes professionnels , les contraintes étant trop fortes pour un salaire encore inadéquat.
Nous serons tous confrontés à l’avenir à la nécessité de soins . Il en va de l’intérêt pour tous que nous puissions bénéficier de soins de qualité portés avec une attention personnalisée , par des agents motivés , qualifiés et reconnus .
Nous voulons que notre revalorisation soit à la hauteur du niveau de nos études BAC+5 soit MASTER 2 , (3 ans pour obtenir le diplôme d’état infirmier puis 2 années de spécialisation) , la plus longue des formations de spécialisation paramédicale .
Nous voulons une réelle grille salariale proportionnelle à nos compétences et nos prises de risques et non un lissage avec celle des infirmières . Nos domaines d’activités et nos gestes sont bien différents . Nous ne sommes que 7500 en France .
Notre pénibilité n’est plus à démontrer , nos connaissances ont fait leurs preuves en matière de sécurité anesthésique . Qu’en sera-t-il lorsque nos postes seront accessibles à des infirmiers non formés , comme le protocole le laisse entrevoir avec le développement des VAE ? Comment peut-on si vite remplacer de la sorte une expérience professionnelle minimale de 2 ans puis un concours très sélectif et un diplôme d’état qui clôture les deux années d’études supplémentaires de spécialisation?
A ce jour seuls les infirmier(e)s anesthésistes diplômé(e)s d‘état ( IADE ) , par exclusivité de compétence , sont autorisé(e)s à exercer l’anesthésie . Ce diplôme est exigé . Nous voulons conserver cette exclusivité et notre formation de qualité .
Nous comptons sur votre impartialité pour faire respecter la démocratie et nous préserver de l’injustice , de la prise de décisions à la hâte , dont les décideurs ne mesurent pas les conséquences pour l’avenir .
Tout en faisant appel à votre vigilance et votre clairvoyance , nous restons prêts à vous exposer de vive voix nos arguments lors d’un entretien que vous voudrez bien nous accorder . Nous pourrons alors vous présenter tous les documents qui prouvent le bien fondé de nos revendications ( fiches de paies , statistiques sur la démographie et pénurie infirmière , débat à l’Assemblée Nationale , le protocole en question…).
Les infirmier(e)s anesthésistes tous grévistes de Troyes
il faut faire une piqure de rappel aux sénateurs,voici notre courrier:
Le 17 mai 2010
Monsieur le Sénateur,
Les infirmier(e)s anesthésistes du Centre Hospitalier de Troyes souhaitent attirer votre attention.
Madame la Ministre de la santé BACHELOT-NARQUIN a présenté en février 2010 un protocole de réforme de nos statuts . Ce protocole n’a été approuvé et signé que par un seul syndicat , celui des cadres , bien loin de représenter la corporation infirmière et encore moins les infirmiers(ères) anesthésistes .
Vous allez débattre et prendre position sur l’article 30 du projet de réforme .
Cet article a été ajouté en dépit du bon sens et sans aucune concertation de nos partenaires sociaux . Il a été apposé plus tard au protocole et cela très discrètement .
Cette démarche ne respecte pas la voie démocratique et encore moins le « dialogue social » . Il a été adopté à l’assemblée nationale dans la précipitation et avec le plus grand mépris de notre profession .
Les promesses de l’Etat devaient revaloriser les infirmiers(ères) et leur accorder une meilleure considération . Elles se soldent par du chantage .
Alors que les débats sur les réformes des retraites ne font que commencer , il serait de bon ton d’éviter aux infirmiers(ères) de servir d’exemple pour un passage en force de décisions unilatérales .
Notre pénibilité de travail a été légitimement reconnue en 2002 , ce qui avec notre passage en catégorie A active , nous permet de quitter nos fonctions dès 55 ans .
Comment peut elle disparaître ainsi par enchantement ? Nos fonctions et nos charges de travail ne font qu’augmenter , la durée de vie s’allonge , les pathologies évoluent , la recherche aussi , la technicité demande une constante adaptation.
Devons nous vous rappeler la situation qui règne actuellement dans les hôpitaux ? À savoir:
- baisse des effectifs paramédicaux et médicaux , flexibilité d’horaires , mise à disposition du personnel ( jours , nuits , week-end et fériés )
- augmentation de la charge de travail , des responsabilités , des prises de risques , des adaptations aux normes croissantes de sécurité bien connues en Anesthésie , SMUR , Réanimation (nos lieux d’exercice en qualité d’infirmiers anesthésistes) , ceci par principe de précaution
- exposition aux produits , rayons , milieux périlleux , détresses vitales , infections notamment celles qu’on pensait ne plus revoir mais qui émergent avec la misère sociale croissante
- fatigue , stress , épuisement parfois
- baisse des budgets de formation…
Les mesures de restrictions budgétaires et de rendement ne doivent pas nuire à la qualité des soins et aux soignants.
La perte de la reconnaissance de la pénibilité nous apparaît comme une insulte à notre égard et ne fait qu’alimenter les manifestations de contestations devant le Ministère de la santé.
Par ailleurs , elle ne favorisera pas l’attractivité du métier déjà bien pauvre en effectif , notre branche professionnelle spécialisée en Anesthésie comme les autres .
Cette décision ne fera que renforcer la perte de motivation des personnels en place .
Nous exerçons encore un métier qui nous est apparu comme une vocation , force est de constater qu’il ne deviendra qu’un « emploi » sans grande perspective qui ne s’inscrira plus dans un projet de carrière .
Ceci pourrait expliquer le grand nombre d’abandon des jeunes professionnels , les contraintes étant trop fortes pour un salaire encore inadéquat.
Nous serons tous confrontés à l’avenir à la nécessité de soins . Il en va de l’intérêt pour tous que nous puissions bénéficier de soins de qualité portés avec une attention personnalisée , par des agents motivés , qualifiés et reconnus .
Nous voulons que notre revalorisation soit à la hauteur du niveau de nos études BAC+5 soit MASTER 2 , (3 ans pour obtenir le diplôme d’état infirmier puis 2 années de spécialisation) , la plus longue des formations de spécialisation paramédicale .
Nous voulons une réelle grille salariale proportionnelle à nos compétences et nos prises de risques et non un lissage avec celle des infirmières . Nos domaines d’activités et nos gestes sont bien différents . Nous ne sommes que 7500 en France .
Notre pénibilité n’est plus à démontrer , nos connaissances ont fait leurs preuves en matière de sécurité anesthésique . Qu’en sera-t-il lorsque nos postes seront accessibles à des infirmiers non formés , comme le protocole le laisse entrevoir avec le développement des VAE ? Comment peut-on si vite remplacer de la sorte une expérience professionnelle minimale de 2 ans puis un concours très sélectif et un diplôme d’état qui clôture les deux années d’études supplémentaires de spécialisation?
A ce jour seuls les infirmier(e)s anesthésistes diplômé(e)s d‘état ( IADE ) , par exclusivité de compétence , sont autorisé(e)s à exercer l’anesthésie . Ce diplôme est exigé . Nous voulons conserver cette exclusivité et notre formation de qualité .
Nous comptons sur votre impartialité pour faire respecter la démocratie et nous préserver de l’injustice , de la prise de décisions à la hâte , dont les décideurs ne mesurent pas les conséquences pour l’avenir .
Tout en faisant appel à votre vigilance et votre clairvoyance , nous restons prêts à vous exposer de vive voix nos arguments lors d’un entretien que vous voudrez bien nous accorder . Nous pourrons alors vous présenter tous les documents qui prouvent le bien fondé de nos revendications ( fiches de paies , statistiques sur la démographie et pénurie infirmière , débat à l’Assemblée Nationale , le protocole en question…).
Les infirmier(e)s anesthésistes tous grévistes de Troyes
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Christophe.Leroy
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iadesosso
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- Localisation : Bob Debré
Robert Debré 100% d'assignés! Et hier pendant que j'étais sur les voies sncf ma cousine attendait gentiment son train pour se rendre à Nantes à un entretien d'embauche....coïncidence elle ne nous en veut pas elle trouve qu'on a raison!
Souvenez qu'il y a qques années les iade ont été grévistes 6semaines nous n'en sommes qu'à 3 mais nous sommes de plus en plus solidaires et unis battons nous encore ça vau le coup au moins on pourra se dire qu'on aura tout tenté! Courage à tous!
Souvenez qu'il y a qques années les iade ont été grévistes 6semaines nous n'en sommes qu'à 3 mais nous sommes de plus en plus solidaires et unis battons nous encore ça vau le coup au moins on pourra se dire qu'on aura tout tenté! Courage à tous!
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Christophe.Leroy
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Christophe.Leroy
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sg 57 en 55
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