salut à tout le monde,
je cherche des stats sur le nombre de SAMU/SMUR en France, le nombre de MAR y travaillant, le nombre d'IADE y bossant aussi ainsi qu'un petit historique pour savoir depuis quand il y a des IADE au SAMU.
Si quelqu'un pouvez me renseigner ça serait bien sympa.
Merci à tous par avance.
Recherches infos IADE au SAMU
Modérateur : Marc
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picolat
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Maxime
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Un post sur le sujet, assez complet, est disponible sur le forum d'infirmier.com
http://www.infirmiers.com/frm/ftopic23926.php
Tu y trouveras une bonne quantité d'info.
Si te te sens de nous faire une petite synthèse de tout ca, ca interessera du monde je pense
Juste, j'ai modifié le titre de ta question pour qu'on puisse plus facilement retrouver le sujet si besoin
http://www.infirmiers.com/frm/ftopic23926.php
Tu y trouveras une bonne quantité d'info.
Si te te sens de nous faire une petite synthèse de tout ca, ca interessera du monde je pense
Juste, j'ai modifié le titre de ta question pour qu'on puisse plus facilement retrouver le sujet si besoin
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picolat
- Messages : 54
- Enregistré le : 30 mars 2006, 10:01
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salut,
merci pour la réponse, ceci dit il me manque pas mal de données : il disent "juste" s'il y a des ia ou des ide en samu, il n'y a pas de stats avancées : nombre samu/smur en france, nombre de MAR et IADE y travaillant, historique des IADE au SAMU.
j'ai besoin de ces données pré citées, donc si il y avait d'autres infos cela serait sympa.
merci par avance.
merci pour la réponse, ceci dit il me manque pas mal de données : il disent "juste" s'il y a des ia ou des ide en samu, il n'y a pas de stats avancées : nombre samu/smur en france, nombre de MAR et IADE y travaillant, historique des IADE au SAMU.
j'ai besoin de ces données pré citées, donc si il y avait d'autres infos cela serait sympa.
merci par avance.
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Dopamine
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Christophe.Leroy
- Donateur Laryngo 2008
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- Enregistré le : 24 mai 2006, 17:37
- Localisation : Poitiers
Pour l'historique des IADE sur les SAMU/SMUR de France , tu peux faire une croix dessus car au commencement il y avait un je ne sais quoi de "je fais ce que je veux quand je veux.....".Chaque SAMU faisait sa sauce....Sinon tu as le site SAMU.org , mais on n'y trouve pas si IADE ou pas.Mais il existe un annuaire de tous les SAMU/SMUR de France ...essaie de te déplacer sur un SAMU et ils devraient en avoir un...Sinon, je peux me renseigner avec un de mes potes au SAMU 17....(demande par mp)
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MrConick
- Donateur Laryngo 2011 2012
- Messages : 86
- Enregistré le : 12 juin 2007, 08:33
Salut
Je présume que ta recherche concerne un mémoire à rédiger??? hummm?
La première ressource a exploiter et celle des abonnements souscrits par bon nombre d'IFSI dont tu pourra accèder aux centre documentaire avec facilité je pense.
Il existe une enquête annuelle portant sur les samu-smur, au travers des enquêtes annuelles des Etablissements de Santé sur demande de la direction générale de la santé. Publié dans la collection "Etudes et Statistiques"... Autre source possible, le rapport annuel de l'ONDPS (observatoire national de la demographie des professions de santé) qui comporte un volet sur les paramédicaux....
En espérant que ca te donne des pistes...
Je présume que ta recherche concerne un mémoire à rédiger??? hummm?
La première ressource a exploiter et celle des abonnements souscrits par bon nombre d'IFSI dont tu pourra accèder aux centre documentaire avec facilité je pense.
Il existe une enquête annuelle portant sur les samu-smur, au travers des enquêtes annuelles des Etablissements de Santé sur demande de la direction générale de la santé. Publié dans la collection "Etudes et Statistiques"... Autre source possible, le rapport annuel de l'ONDPS (observatoire national de la demographie des professions de santé) qui comporte un volet sur les paramédicaux....
En espérant que ca te donne des pistes...
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Gaetan CLEMENCEAU
- Messages : 14
- Enregistré le : 25 janv. 2007, 16:32
- Localisation : CHOLET (49)
Permettez-moi de vous exprimer ces quelques pistes de réflexion pour avoir votre avis sur ce sujet d'actualité (et de conflit) sur qui et que doit être l'infirmier urgentiste de demain en France.
Je pense et j'affirme que l'infirmier urgentiste de demain devra être un infirmier anesthésiste-réanimateur et urgentiste (ou oxyologue pour la terminologie).
En effet, de part l'histoire des SAMU/SMUR de France(créés par les médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR)), la médecine d'urgence notamment pré-hospitalière EST en tout point liée à l'anesthésie et la réanimation.Je n'oublie pas l'histoire du Service de santé des Armées et de ses médecins militaires qui rassemblent d'ailleurs aujourd'hui ces mêmes MAR et Urgentistes (oxyologues) sous le Collège des Anesthésistes Réanimateurs et Urgentistes militaires (CARUM).
De ces faits de l'histoire, et des positions de chacuns, c'est-à-dire de tous ces mêmes médecins qui peuvent appartenir à 3 ministères différents (Santé,Intérieur pour les professionnels de santé des sapeurs-pompiers, et Défense), la place de l'infirmier EST souhaitée, obtenue et plus ou moins développée.
Quelle doit-être alors la formation de cet infirmier à l'heure du recul démographique des professions de santé, de l'exigence de qualité et de sécurité de cette population française veillisante, de plus en plus demandeuse de soins ?
Je pense, tout d'abord, que cette formation doit être validéé par les autorités de tutelle du ministère de la santé, quelque soit le lieu d'exercice de l'activité (SAU-SAMU/SMUR, SSSM des sapeurs-pompiers, militaire du SSA).
Son contenu peut et doit tourner autour de la formation actuelle d'infirmier anesthésiste, mais sa durée et sa forme doivent être effective en 5 ans post-baccalauréat, pour pouvoir être reconnu master (et aller de pair avec un salaire à la hauteur des responsabilités et du niveau de formation). Les domaines de la réanimation doivent y être approfondies par des stages obligatoires et des apports théoriques conséquents ( à l'instar de nos collègues belges qui possèdent la formation d'infirmier en soins intensifs et aide médicale urgente : un an de plus après leur 3 ans d'infirmier ; ou bien, de nos collègues suisses qui proposent la spécialité en soins intensifs en un an là aussi).
Pour ce qui est de la médecine d'urgence, son contenu doit y être complètement repensé dans la forme : comme par exemple, les formations de type européen URGAPP* (IEFS METZ) anciennement ATMU* copié des stages CITERA de l'armée, ou des approches anglo-saxonnes telle ACLS, PHTLS... ou ces formations sont axées sur la pratique : étude de cas : attitudes gestuelles et comportementales adéquates, avec une évaluation rigoureuse et répétée dans le temps. les CESU, notamment ceux sièges des CHU et des 25 écoles d'infirmiers anesthésistes, devraient être les instigateurs de ces nouvelles formations (en plus de l'AFGSU que tous les 95 CESU de France doivent proposer). Des stages obligatoires en SAU-SAMU/SMUR doivent y être suivis.
Au total, disons oui à la réponse graduée en médecine d'urgence notamment pré-hospitalière par ce "paramédic" à la française que doit être l'infirmier anesthésiste-réanimateur/urgentiste. (Nous pourrons alors envisager sereinement l'attractivité de la spécialité et la reconnaissance enfin de la profession infirmière).
Bien à vous, et en étant à l'écoute de toutes vos remarques ; je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire.
Gaëtan CLEMENCEAU
IADE CH CHOLET
ISPV SSSM SDIS 49 sapeur-pompier
IADE réserviste SSA/UIISC 1 Nogent-le-Rotrou (28)
Je pense et j'affirme que l'infirmier urgentiste de demain devra être un infirmier anesthésiste-réanimateur et urgentiste (ou oxyologue pour la terminologie).
En effet, de part l'histoire des SAMU/SMUR de France(créés par les médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR)), la médecine d'urgence notamment pré-hospitalière EST en tout point liée à l'anesthésie et la réanimation.Je n'oublie pas l'histoire du Service de santé des Armées et de ses médecins militaires qui rassemblent d'ailleurs aujourd'hui ces mêmes MAR et Urgentistes (oxyologues) sous le Collège des Anesthésistes Réanimateurs et Urgentistes militaires (CARUM).
De ces faits de l'histoire, et des positions de chacuns, c'est-à-dire de tous ces mêmes médecins qui peuvent appartenir à 3 ministères différents (Santé,Intérieur pour les professionnels de santé des sapeurs-pompiers, et Défense), la place de l'infirmier EST souhaitée, obtenue et plus ou moins développée.
Quelle doit-être alors la formation de cet infirmier à l'heure du recul démographique des professions de santé, de l'exigence de qualité et de sécurité de cette population française veillisante, de plus en plus demandeuse de soins ?
Je pense, tout d'abord, que cette formation doit être validéé par les autorités de tutelle du ministère de la santé, quelque soit le lieu d'exercice de l'activité (SAU-SAMU/SMUR, SSSM des sapeurs-pompiers, militaire du SSA).
Son contenu peut et doit tourner autour de la formation actuelle d'infirmier anesthésiste, mais sa durée et sa forme doivent être effective en 5 ans post-baccalauréat, pour pouvoir être reconnu master (et aller de pair avec un salaire à la hauteur des responsabilités et du niveau de formation). Les domaines de la réanimation doivent y être approfondies par des stages obligatoires et des apports théoriques conséquents ( à l'instar de nos collègues belges qui possèdent la formation d'infirmier en soins intensifs et aide médicale urgente : un an de plus après leur 3 ans d'infirmier ; ou bien, de nos collègues suisses qui proposent la spécialité en soins intensifs en un an là aussi).
Pour ce qui est de la médecine d'urgence, son contenu doit y être complètement repensé dans la forme : comme par exemple, les formations de type européen URGAPP* (IEFS METZ) anciennement ATMU* copié des stages CITERA de l'armée, ou des approches anglo-saxonnes telle ACLS, PHTLS... ou ces formations sont axées sur la pratique : étude de cas : attitudes gestuelles et comportementales adéquates, avec une évaluation rigoureuse et répétée dans le temps. les CESU, notamment ceux sièges des CHU et des 25 écoles d'infirmiers anesthésistes, devraient être les instigateurs de ces nouvelles formations (en plus de l'AFGSU que tous les 95 CESU de France doivent proposer). Des stages obligatoires en SAU-SAMU/SMUR doivent y être suivis.
Au total, disons oui à la réponse graduée en médecine d'urgence notamment pré-hospitalière par ce "paramédic" à la française que doit être l'infirmier anesthésiste-réanimateur/urgentiste. (Nous pourrons alors envisager sereinement l'attractivité de la spécialité et la reconnaissance enfin de la profession infirmière).
Bien à vous, et en étant à l'écoute de toutes vos remarques ; je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire.
Gaëtan CLEMENCEAU
IADE CH CHOLET
ISPV SSSM SDIS 49 sapeur-pompier
IADE réserviste SSA/UIISC 1 Nogent-le-Rotrou (28)
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