merci à tous pour vos réponse,
je comprend bien que beaucoup d'inconvenient résulte de l'utilisation des halogénés ( je pense surtout au sévo) en réanimation, la formation des ide (gros problèmes!) . A chaque nouvelle technique instaurée dans un service il faut effectuer une formation (normalement, je sais!), l'arrivée du picco, la surveillance du NO,etc... alors pourquoi pas les halogénés?! .d'autant que pour ma part je vois maintenant l'arrivé d'iade dans le service.
la question de la rentabilité peut être soulevé, en effet le gaz est cher! mais la question du réveil voulu rapide, après trois semaines, d'un patient bpco gavé aux benzo, ne reviendrait-elle pas plus cher et ne serait-elle pas plus longue, que l'utilisation des halogénés ? ne gagnerait- on pas en temps d'hospitalisation?
l'hépatotoxicité reste un problème important. il est évident que l'emploi des gazs type sévo ne peux être une généralité. la question se posait juste, d'en faire un atout de plus dans la stratégie thérapeutique,compte tenu du rapport bénéfice/ risque qu'elle peut apporté chez certains patient (bpco, sdra..)..
merci à tous pour vos réponses
et je retourne faire "dodo"
