je cite
"on ne fait pas vivre les hopitaux sans infirmieres sans soignants et considerer que les infirmieres et les soignants sont la variable d'ajustement du deficit budgetaire est proprement scandaleuse"
[video]http://www.dailymotion.com/video/xf7s1j ... -caen_news[/video] a partir de 18'30''
merci a lui
Prof Olivier Lyon Caen
Modérateur : Marc
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Allmann
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Re: Prof Olivier Lyon Caen
en une phrase il a tout résumé...bravo Monsieur 
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fp1954
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Re: Prof Olivier Lyon Caen
Un bon moment de radio, trop court selon moi, car il ne permet pas totalement à ce Professeur d'entrer dans
le détail des faits.
Un bon moment de radio qui reste superficiel tant les questions posées sont largement de deçà des capacités de l'interlocuteur.
C'est donc une radio généraliste, sans grand interet, devenant presque ennuyeuse tant le journaliste nous sert de :
... Professeur,
...oui Professeur,
...non Professeur,
...Professeur permettez ... etc etc ... avec une condescendance frôlant le mépris.
Au fond, on se trouve face à l'interview de Mozart ou on lui demanderait comment il pose ses mains sur le clavier.
Dans ces conditions le journaliste surf sur l'écume d'une vague sans jamais tenter de l'expliquer décrivant la Tour Eiffel en regardant une carte postale, assis sur la suffisance consistant de nos jours à dire :
- Au moins je lui ai donné la parole....
Lorsqu'on interroge un scientifique, il faut, tout de même, préparer l'échange, ce ne fut pas le cas.
Du pur TF1 nous servant une "soupe" bien rodée nous permettant de croire que nous avons compris quelque chose au
problème posé alors que nous sortons du studio avec un vide immense dans la tête.
Mon cerveau en sort tout bouleversé....
le détail des faits.
Un bon moment de radio qui reste superficiel tant les questions posées sont largement de deçà des capacités de l'interlocuteur.
C'est donc une radio généraliste, sans grand interet, devenant presque ennuyeuse tant le journaliste nous sert de :
... Professeur,
...oui Professeur,
...non Professeur,
...Professeur permettez ... etc etc ... avec une condescendance frôlant le mépris.
Au fond, on se trouve face à l'interview de Mozart ou on lui demanderait comment il pose ses mains sur le clavier.
Dans ces conditions le journaliste surf sur l'écume d'une vague sans jamais tenter de l'expliquer décrivant la Tour Eiffel en regardant une carte postale, assis sur la suffisance consistant de nos jours à dire :
- Au moins je lui ai donné la parole....
Lorsqu'on interroge un scientifique, il faut, tout de même, préparer l'échange, ce ne fut pas le cas.
Du pur TF1 nous servant une "soupe" bien rodée nous permettant de croire que nous avons compris quelque chose au
problème posé alors que nous sortons du studio avec un vide immense dans la tête.
Mon cerveau en sort tout bouleversé....