J'ai pas grand chose à dire sur le sujet mais je me vois mal demander aux autres d'arrêter de parler de ça.
On peut ne pas connaître tous les détails mais vouloir rebondir sur un aspect de la discussion. En ce qui me concerne c'est ce que j'ai voulu faire.
Laissons chacun faire ce dont il a envie, et que ceux qui ne se sentent plus intéressés ne demandent pas le silence...
Enfin, perso j'ai rien de plus à dire.
je n'essaye pas de défendre les médecins loin de là mais peut être cette infirmiére est totalement conne ds le sens catho qui veut une réa à tout ou qui se prend pour dieu le pére
je travaille ds un smur depuis 13 ans et avant j'ai fait d'autres services
j'ai vu pas mal d'infirmiéres"connes poufiasses" et je le dis
qui se prennent je ne sais pas pour quoi ;Une phrase a été supprimée par l'administrateur - Pas d'insultes globales contre une profession
voilà ma réflexion un peu simpliste mais trés réfléchies
Je vais vous dire comment ça s'est passé : la bouche de la dame a été refermé à coup de rangers...
Ce qui montre un manque d'expérience car on ne fait jamais ça en public !
Bien que le médecin aie dit "l'avoir refermé avec deux doigts", c'est peut-être qu'il tenait la Rangers avec deux doigts.
Ce qui reste louche quand même, parce que c'est difficile à faire.
L'ambulancier qui se dit "choqué aussi" ; l'est probablement parce que c'est justement de la rangers de l'ambulancier dont s'est servi le toubib pour fermer la bouche de la dame ; l'ambulancier a été choqué de se retrouver en chaussette en public.
Quant à l'infirmiére, chaussé de sabot, elle n'a pas compris pourquoi le médecin avait refusé sa grolle à elle.
Quant elle en a parlé de retour à la base, le médecin chef s'est tout de suite aperçu que quelque chose clochait : les rangers ne sont pas fournies par le service ; la dotation de sabot étant de régle.
Il s'est empressé de faire en sorte que ce soit une faute détachable du service par l'utilisation d'EPI non réferencés au marché.
L'hôpital étant en pleine négociation d'appel d'offre pour les dites-rangers comme EPI pour le SMUR ; sous la pression des syndicats qui tentent de démontrer que cela dégraderait les conditions de travail des camarades. Et on note que la médecine du travail lance justement une grande enquête sur les mycoses dont serait victimes le personnel soignant.
Bref... devant les risques et la probable perte de controle de la situation, le directeur à appelé l'ARH, qui a appelé le cabinet du ministre, qui en a parlé à Roselyne Bachelot qui a dit ce qui lui passé par la tête...
Et donc, en définitive : c'est encore la faute à Bachelot.
Voilà.
Tout ça restant de l'humour et des choses pas vraies que je dis là (à notre époque, mieux vaut préciser....). Mais quand on ne sait rien, tant qu'à dire des conneries autant le faire pour de vrai.