
je m'explique : à notre arivée on nous a bien fait comprendre que vu notre inexpérience, on ne serait jamais seul avec un mar en salle, ok pas de problème ; résultat au bout d'une semaine de présence, nous étions lâchés.
dire que ça ne m'était jamais arrivé ailleurs serait un mensonge, le problème est que malgré le travail fourni , un iade a trouvé le moyen de dire " si vous aviez des poches dans vos blouses, vous auriez les mains en permanence dedans ", genre on fait rien.
sachant que cet iade :
1.trouve le moyen de faire basculer un maximum de patients sur les salles où nous travaillons afin de pouvoir partir plus tôt ou consulter ses mails tranquillement en salle de réveil

2.qu'il prèfère encadrer des élèves ide de 2ème année plutôt que nous
3. qu'il est diplomé depuis moins de 4 ans mais c'est comme si ça en faisait 16 tellement il est fort.
pour résumer, j'espère ne pas devenir comme lui.
Ensuite, en général :
1. le chef de service condère les iades comme des serpillothérapeutes du mar puisqu'à la lecture des questions du de, elle s'est exclamée "mais où sont les questions d'hygiène et de matériovigilance, c'est ça l'essentiel de votre travail !!! " : c'est sûr que connaitre les conséquences de l'obésité, de la coelio, la pharamaco, ... c'est pas important

2. comme on ne travaille pas là ensuite, quelle importance de nous expliquer quelques astuces vu qu'on va ailleurs : sympa si on s'intéresse à la pédiatrie
3. si le plein des salles n'est pas fait à ras bord, risque de ne pas valider le stage, ce qui est arrivé à une collègue d'une autre école
4. avant le de, il ne nous ont pas laissé de temps pour réviser sur place, on demandait juste à avoir les après-midi au moins mais il fallait que tous les programmes soient finis sinon c'était mal vu, une iade nous a défendu, merci à elle.
Pour résumer, manque d'empathie, beaucoup de prétention de la part de certains et oubli de la condition d'étudiant préparant le de et l'ayant passé. J'ai résumé car d'autres choses m'ont choqué, mais j'espère ne plus jamais sentir ce sentiment d'oppression en me rendant sur un lieu de travail.
Heureusement que l'anesthésie est vraiment une spécialité passionnante et que le travail au côté de certains mar est plus qu'enrichissant; sinon, si c'était mon premier stage, j'aurais déprimée à mort.
Merci de m'avoir lue.